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​Vers un État supranational : affaiblir les nations pour mieux les absorber ?


Politique
Dimanche 6 Juillet 2025

Alors que l’immigration, la dette et l’effacement culturel interrogent de plus en plus de citoyens, certains y voient un plan plus vaste : celui d’une Europe supranationale construite sur l’affaiblissement volontaire des États-nations. Décryptage d’une stratégie silencieuse mais redoutablement efficace.



la confiance s'ébranle !

De plus en plus de voix s’élèvent pour interroger l’usage des fonds alloués aux associations liées à l’immigration. Pourquoi tant d’argent ? Pourquoi financer un phénomène qui, de toute façon, semble se produire naturellement ? Derrière ces questions se cache une inquiétude plus profonde : celle d’une stratégie politique délibérée pour affaiblir les États-nations, à commencer par la France.
Le projet, tel que perçu par certains observateurs, ne serait pas simplement d’intégrer les peuples dans une Europe unie, mais de dissoudre les spécificités nationales dans un grand ensemble supranational, où les États perdent leur souveraineté. Langue, culture, dette, immigration... tout serait utilisé pour fragiliser les piliers des anciennes nations.

L’effacement du français au profit d’un anglais approximatif, même chez les francophones, en serait un symptôme. L’idée serait de faire disparaître les identités pour créer des peuples plus dociles, moins résistants face aux exigences des institutions comme la BCE ou la Commission européenne.

L’endettement massif joue un rôle central dans ce mécanisme. Des États surendettés sont contraints de suivre les directives européennes sous peine d’être coupés du financement. Le cas de l’Italie et de Georgia Meloni est cité comme exemple : malgré un discours souverainiste, les marges de manœuvre ont été très réduites, faute de pouvoir économique.

Ce que certains dénoncent, c’est une forme de chantage financier : plus les pays sont dépendants, plus ils sont malléables. Et plus ils le sont, plus ils doivent faire des concessions à une gouvernance technocratique centralisée.

La conclusion est sans appel : la véritable aide viendra de nous-mêmes. De notre travail, de nos efforts, de notre capacité à nous relever sans attendre que d’autres le fassent à notre place. Car selon cette vision, l’Europe d’aujourd’hui n’est plus une union, mais un mécanisme d’absorption, où la souveraineté s’efface au nom d’un ordre supérieur.

François Orré



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