En France c'est la République, prise en otage par des intérêts de partis et non plus même partisans, qui s'est trouvée hier sanctionnée par un vote de défiance. Restaurer la confiance des françaises et des français dans la chose publique, la res publica, qui désigne l'intérêt général, est désormais la première des priorités. Les partis politiques et les responsables qui les conduisent aujourd'hui, doivent en tirer pour eux-mêmes et pour leur habituel fonctionnement toutes les conséquences.
Ce sans quoi la vie républicaine et les valeurs humanistes qui la fondent finiront par se trouver définitivement emportés. Le changement attendu par les françaises et les français est désormais plus profond que celui du seul jeu des alternances devenu pour beaucoup obsolète et manifestement inutile. "Le vieux monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître; dans ce clair-obscur surgissent les monstres" mettait en garde Antonio Gramsci.
Pour ce qui est des résultats chez nous, à la Réunion, je laisse à celles et à ceux qui appartiennent aux états-majors politiques et qui ont des intérêts partisans, le soin de commenter les résultats de la Réunion. Et de déterminer les meilleures stratégies, dans le respect des électeurs, pour le second tour. Pour ce qui me concerne, je me tiens prêt à travailler, pour la défense de la Réunion auprès des institutions européennes, avec la majorité régionale, voulue par les Réunionnaises et les Réunionnais, qui sortira définitivement des urnes dimanche prochain.
Député européen
Ce sans quoi la vie républicaine et les valeurs humanistes qui la fondent finiront par se trouver définitivement emportés. Le changement attendu par les françaises et les français est désormais plus profond que celui du seul jeu des alternances devenu pour beaucoup obsolète et manifestement inutile. "Le vieux monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître; dans ce clair-obscur surgissent les monstres" mettait en garde Antonio Gramsci.
Pour ce qui est des résultats chez nous, à la Réunion, je laisse à celles et à ceux qui appartiennent aux états-majors politiques et qui ont des intérêts partisans, le soin de commenter les résultats de la Réunion. Et de déterminer les meilleures stratégies, dans le respect des électeurs, pour le second tour. Pour ce qui me concerne, je me tiens prêt à travailler, pour la défense de la Réunion auprès des institutions européennes, avec la majorité régionale, voulue par les Réunionnaises et les Réunionnais, qui sortira définitivement des urnes dimanche prochain.
Député européen