On ne peut avoir le beurre et l'argent du beurre dit un célèbre adage français....Le gouvernement français commence à en savoir
De deux choses l'une, soit la France s'estime pleinement européenne et se conforme au droit communautaire, soit notre pays sort de l'Europe pour exercer pleinement sa souveraineté. Il ne peut y avoir de demi-mesure ou une Europe à la carte, sans nuire à sa cohésion et à sa force. Nos gouvernants du moment se montrent volontiers donneurs de leçons vis à vis des autres membres de l'Union (la Grèce par exemple...), mais devraient déjà balayer devant leur porte et se montrer irréprochables, tant sur le plan européen que sur le plan national. On est actuellement loin du compte sur les deux tableaux, loin s'en faut.
La justice européenne - une fois de plus - a rendu mercredi 2 septembre une décision qui devrait obliger le Ministère des Finances français à reconsidérer une importante partie du code des impôts. Une décision qui devrait faire jurisprudence et finalement coûter beaucoup d'argent au Fisc, par les demandes de remboursements qui ne manqueront pas d'affluer, sauf à ignorer une fois de plus, la supériorité du droit communautaire sur le droit interne français. Ce sont là encore, bien évidemment, les contribuables français qui vont devoir mettre la main à la poche. Et le mirage d'une nouvelle promesse socialiste - faite la semaine dernière par Michel Sapin _ de rendre 2 milliards d'impôts aux français en 2017, apparaît-il une fois de plus, comme une vaine promesse de campagne....
De même, malgré l'omerta imposée aux médias, et l'intimidation exercée par l'administration française envers les assurés sociaux (salariés et travailleurs indépendants) qui seraient légitimement tentés de reprendre leur liberté, on commence à entrevoir aux quatre coins de France et de Navarre, mais surtout aussi à La Réunion, qu'il est désormais possible de choisir sa caisse de sécurité sociale et de retraite au niveau européen, sans être « lors la loi ».
Au niveau national, on apprend que notre administration, dont notamment notre désormais célèbre « Justice du XXI ième siècle », emploie plus de de 50.000 personnes « au noir », sans contrat de travail, ni payer de charges sociales, ni TVA... Comme le souligne une fois de plus un de nos célèbres adages, « les bons conseilleurs ne sont pas toujours les bons payeurs.. ». Inévitablement, des procès coûteux se préparent contre notre administration, qui se voulait irréprochable. A croire que le respect des lois c'est l'affaire de tous, sauf de l'administration française !
Avec toutes ces « bonnes nouvelles », on continue à nous faire croire que demain sera meilleur et que les Français n'ont pas peur de l'avenir. Ce n'est pas tant l'avenir dont il faut nous méfier, mais surtout de ces gens qui nous le prépare. Le réveil sera rude..
De deux choses l'une, soit la France s'estime pleinement européenne et se conforme au droit communautaire, soit notre pays sort de l'Europe pour exercer pleinement sa souveraineté. Il ne peut y avoir de demi-mesure ou une Europe à la carte, sans nuire à sa cohésion et à sa force. Nos gouvernants du moment se montrent volontiers donneurs de leçons vis à vis des autres membres de l'Union (la Grèce par exemple...), mais devraient déjà balayer devant leur porte et se montrer irréprochables, tant sur le plan européen que sur le plan national. On est actuellement loin du compte sur les deux tableaux, loin s'en faut.
La justice européenne - une fois de plus - a rendu mercredi 2 septembre une décision qui devrait obliger le Ministère des Finances français à reconsidérer une importante partie du code des impôts. Une décision qui devrait faire jurisprudence et finalement coûter beaucoup d'argent au Fisc, par les demandes de remboursements qui ne manqueront pas d'affluer, sauf à ignorer une fois de plus, la supériorité du droit communautaire sur le droit interne français. Ce sont là encore, bien évidemment, les contribuables français qui vont devoir mettre la main à la poche. Et le mirage d'une nouvelle promesse socialiste - faite la semaine dernière par Michel Sapin _ de rendre 2 milliards d'impôts aux français en 2017, apparaît-il une fois de plus, comme une vaine promesse de campagne....
De même, malgré l'omerta imposée aux médias, et l'intimidation exercée par l'administration française envers les assurés sociaux (salariés et travailleurs indépendants) qui seraient légitimement tentés de reprendre leur liberté, on commence à entrevoir aux quatre coins de France et de Navarre, mais surtout aussi à La Réunion, qu'il est désormais possible de choisir sa caisse de sécurité sociale et de retraite au niveau européen, sans être « lors la loi ».
Au niveau national, on apprend que notre administration, dont notamment notre désormais célèbre « Justice du XXI ième siècle », emploie plus de de 50.000 personnes « au noir », sans contrat de travail, ni payer de charges sociales, ni TVA... Comme le souligne une fois de plus un de nos célèbres adages, « les bons conseilleurs ne sont pas toujours les bons payeurs.. ». Inévitablement, des procès coûteux se préparent contre notre administration, qui se voulait irréprochable. A croire que le respect des lois c'est l'affaire de tous, sauf de l'administration française !
Avec toutes ces « bonnes nouvelles », on continue à nous faire croire que demain sera meilleur et que les Français n'ont pas peur de l'avenir. Ce n'est pas tant l'avenir dont il faut nous méfier, mais surtout de ces gens qui nous le prépare. Le réveil sera rude..