Un certain Francis Gimenez dans un récent courrier s’est senti investi d’une mission divine pour dénoncer, non pas le fond des propositions et positions du Vice-président Pierre Vergès sur la question de la vie chère, mais sur sa personne et l’attaquer personnellement.
Il est intéressant d’analyser le comportement psychosociologique d’une telle réaction sortie d’un autre âge, d’une autre époque qu’on croyait révolue.
Tout d’abord, quand on veut tuer son chien (ou son nègre ?) on dit qu’il a la rage. C’était exactement la position des racistes des tenants du régime d’Apartheid en Afrique du Sud à propos de Nelson Mandela (condamné à plus de 27 ans de prison pour acte de terrorisme…). Comment faire confiance à un terroriste, un bagnard, un Noir, alors que celui-ci avait « quand même » des idées progressistes…
Que dire aussi de tous ces illustres hommes politiques durant la colonisation en Afrique et ailleurs condamnés pour des prétextes futiles mais dont les raisons sont éminemment politiques. La liste est longue.
Que dire de Paul Vergès, condamné à plusieurs reprise ? Son crime ? Avoir publié des articles de presse du journal Le Monde dans le journal Témoignages.
Faut il, alors que l’on a été condamné il y a plus de quinze ans, sans aucune preuve matérielle, mais suite à des accusations mensongères téléguidées, mettre en place la peine de mort politique ?
Je dirai en des termes très simple à M. Gimenez : OUI MISSIE BWANA GIMENEZ ! Moi pa assé gagné le coup, faut tapé moi encore, encore et encore !
Il est intéressant d’analyser le comportement psychosociologique d’une telle réaction sortie d’un autre âge, d’une autre époque qu’on croyait révolue.
Tout d’abord, quand on veut tuer son chien (ou son nègre ?) on dit qu’il a la rage. C’était exactement la position des racistes des tenants du régime d’Apartheid en Afrique du Sud à propos de Nelson Mandela (condamné à plus de 27 ans de prison pour acte de terrorisme…). Comment faire confiance à un terroriste, un bagnard, un Noir, alors que celui-ci avait « quand même » des idées progressistes…
Que dire aussi de tous ces illustres hommes politiques durant la colonisation en Afrique et ailleurs condamnés pour des prétextes futiles mais dont les raisons sont éminemment politiques. La liste est longue.
Que dire de Paul Vergès, condamné à plusieurs reprise ? Son crime ? Avoir publié des articles de presse du journal Le Monde dans le journal Témoignages.
Faut il, alors que l’on a été condamné il y a plus de quinze ans, sans aucune preuve matérielle, mais suite à des accusations mensongères téléguidées, mettre en place la peine de mort politique ?
Je dirai en des termes très simple à M. Gimenez : OUI MISSIE BWANA GIMENEZ ! Moi pa assé gagné le coup, faut tapé moi encore, encore et encore !