"Le constat, après un mois de fonctionnement, dresse un bilan plus que mitigé et met en évidence pas mal d’incohérences.
L'Intersyndicale de l'Education, pour sa part, a observé un défaut de sécurité pour les élèves, en fin de journée, lors du transfert entre le temps scolaire, sous la responsabilité de l’Education Nationale, et le temps consacré aux activités périscolaires, sous la responsabilité de la municipalité.
Quelques parents nous ont d’ailleurs informés qu’il semble que des élèves seraient encore aujourd’hui, sur cet espace-temps, quelque peu livrés à eux-mêmes, parfois retrouvés devant l’école par leurs parents qui les croyaient présents sur l’activité périscolaire. Ces mêmes personnes nous interpellent sur le contenu des textes en matière de taux d’encadrement… et… apparemment, sur certaines écoles, nous serions loin du compte… à voir…
En outre, il apparaît urgent de reconsidérer l’organisation du mercredi que les parents dénoncent, comme, je cite : « un véritable parcours du combattant » entre ceux qui ont leur goûter et ceux qui déjeunent sur place - ceux qui partent et ceux qui restent – ces derniers, majoritairement redirigés vers une autre école, par le biais d’un transport… Quel imbroglio ! ! !
En août 2013, aller à l'école, à la Possession, aura été un long chemin sinueux et éprouvant. Un constat de fatigue réelle et des coûts supplémentaires justifient parfaitement la colère et la déception des parents et pourraient engendrer la frustration des personnels.
D’autres parents, que nous avons l’occasion de rencontrer, regrettent que le TAP (temps d’activité périscolaire) se résume souvent à de la garderie ou à des activités simplement ludiques, sans finalité pédagogique. Nous sommes, à notre sens, très loin de l’esprit de la loi PEILLON qui peut permettre, aux collectivités qui le souhaitent, d’apporter une valeur ajoutée certaine à l’apprentissage de nos enfants lorsque les activités périscolaires s’harmonisent aux programmes éducatifs.
Là encore, la précipitation n’a pas permis une telle cohérence. Nous souhaitons vivement que la réflexion reprenne sans attendre, de manière à atteindre des objectifs qualitatifs dont nos enfants ont bien besoin. Parallèlement, tous ces jeunes, recrutés dans l’urgence, pourraient ainsi se voir proposer de véritables formations les amenant à un niveau intéressant pour la poursuite de leur cursus professionnel".
L'Intersyndicale de l'Education, pour sa part, a observé un défaut de sécurité pour les élèves, en fin de journée, lors du transfert entre le temps scolaire, sous la responsabilité de l’Education Nationale, et le temps consacré aux activités périscolaires, sous la responsabilité de la municipalité.
Quelques parents nous ont d’ailleurs informés qu’il semble que des élèves seraient encore aujourd’hui, sur cet espace-temps, quelque peu livrés à eux-mêmes, parfois retrouvés devant l’école par leurs parents qui les croyaient présents sur l’activité périscolaire. Ces mêmes personnes nous interpellent sur le contenu des textes en matière de taux d’encadrement… et… apparemment, sur certaines écoles, nous serions loin du compte… à voir…
En outre, il apparaît urgent de reconsidérer l’organisation du mercredi que les parents dénoncent, comme, je cite : « un véritable parcours du combattant » entre ceux qui ont leur goûter et ceux qui déjeunent sur place - ceux qui partent et ceux qui restent – ces derniers, majoritairement redirigés vers une autre école, par le biais d’un transport… Quel imbroglio ! ! !
En août 2013, aller à l'école, à la Possession, aura été un long chemin sinueux et éprouvant. Un constat de fatigue réelle et des coûts supplémentaires justifient parfaitement la colère et la déception des parents et pourraient engendrer la frustration des personnels.
D’autres parents, que nous avons l’occasion de rencontrer, regrettent que le TAP (temps d’activité périscolaire) se résume souvent à de la garderie ou à des activités simplement ludiques, sans finalité pédagogique. Nous sommes, à notre sens, très loin de l’esprit de la loi PEILLON qui peut permettre, aux collectivités qui le souhaitent, d’apporter une valeur ajoutée certaine à l’apprentissage de nos enfants lorsque les activités périscolaires s’harmonisent aux programmes éducatifs.
Là encore, la précipitation n’a pas permis une telle cohérence. Nous souhaitons vivement que la réflexion reprenne sans attendre, de manière à atteindre des objectifs qualitatifs dont nos enfants ont bien besoin. Parallèlement, tous ces jeunes, recrutés dans l’urgence, pourraient ainsi se voir proposer de véritables formations les amenant à un niveau intéressant pour la poursuite de leur cursus professionnel".











