Ce sera sans conteste l'un des refrains des Municipales 2014 : "Si je vois rouge, je te donne des "BAF" !" Et le PCR commence à voir rouge. Et ce n'est pas la Droite, ni le PS qui en est l'objet ou "qui fait monté son zamal", mais bel et bien ses anciens alliés. Le rassemblement réussi de toutes les sections communistes, samedi à Saint-André, montre que "battre Eric Fruteau et sa majorité municipale et le PLR en 2014", est devenue une motivation supplémentaire pour le PCR.
C'est clair, le PCR veut mettre des "BAF" à Bello, Alamélou et Fruteau. A Saint-Paul, la maison des citoyens saint-paulois a été inauguré, en grandes pompes, il y a quelques jours. Un meeting a été organisé à Sainte-Suzanne, il y a quelques semaines. Samedi, le PCR s'est à nouveau retrouvé à Saint-André. C'est une certitude. Depuis que le Conseil constitutionnel a officialisé l'inéligibilité du maire de Saint-André, il y a plus d'envie, plus de volonté de se rassembler, là où il y a ne serait-ce qu'une ombre du PLR.
Comme si le choix des ex-communistes Bello, Alamélou et Fruteau, de quitter le parti, est un affront. Une question d'honneur qu'il faut rétablir. C'est un paradoxe. "Une trahison", c'est plus difficile à avaler que des stratégies électorales qui ont pourtant conduit à des échecs cuisants. C'est d'ailleurs oublié. Un peu comme si "l'acte de la BAF" a effacé les entêtements d'avant, les errements et ces gestions "claniques ou familiales" qui ont également mené le PCR dans l'impasse des Législatives de 2012.
Que va-t-il se passer maintenant ? Que faut-il en attendre ? Une stratégie qui va remettre le PCR dans le bon sens. C'est un fait. Car, le PCR a toujours grandi et s'est développé dans l'adversité, et ses luttes sociales. Le parti a depuis l'année dernière des adversaires de renom. Des adversaires qui sont devenus peu à peu, les causes des multiples échecs du PCR. Et ce de manière consciente et inconsciente. Et à qui la plupart des communistes, fidèles au parti, a envie de mettre des "BAF"...
C'est clair, le PCR veut mettre des "BAF" à Bello, Alamélou et Fruteau. A Saint-Paul, la maison des citoyens saint-paulois a été inauguré, en grandes pompes, il y a quelques jours. Un meeting a été organisé à Sainte-Suzanne, il y a quelques semaines. Samedi, le PCR s'est à nouveau retrouvé à Saint-André. C'est une certitude. Depuis que le Conseil constitutionnel a officialisé l'inéligibilité du maire de Saint-André, il y a plus d'envie, plus de volonté de se rassembler, là où il y a ne serait-ce qu'une ombre du PLR.
Comme si le choix des ex-communistes Bello, Alamélou et Fruteau, de quitter le parti, est un affront. Une question d'honneur qu'il faut rétablir. C'est un paradoxe. "Une trahison", c'est plus difficile à avaler que des stratégies électorales qui ont pourtant conduit à des échecs cuisants. C'est d'ailleurs oublié. Un peu comme si "l'acte de la BAF" a effacé les entêtements d'avant, les errements et ces gestions "claniques ou familiales" qui ont également mené le PCR dans l'impasse des Législatives de 2012.
Que va-t-il se passer maintenant ? Que faut-il en attendre ? Une stratégie qui va remettre le PCR dans le bon sens. C'est un fait. Car, le PCR a toujours grandi et s'est développé dans l'adversité, et ses luttes sociales. Le parti a depuis l'année dernière des adversaires de renom. Des adversaires qui sont devenus peu à peu, les causes des multiples échecs du PCR. Et ce de manière consciente et inconsciente. Et à qui la plupart des communistes, fidèles au parti, a envie de mettre des "BAF"...