Jamais sans doute, Jean-Paul Virapoullé n'a été aussi populaire depuis sa défaite aux Municipales 2008 à Saint-André. "Battu" aux Cantonales 2011 puis défait aux Sénatoriales de la même année, l'homme politique a accepté le verdict des urnes, le désamour des électeurs et sa rupture avec son camp politique. L'ex-parlementaire a alors transformé sa traversée du désert en de longues vacances au sein de sa famille. "C'est un bonheur total !"
La bérézina de la Droite à la Présidentielle, son effondrement aux Législaives 2012, l'absence d'une programmation déclarée de la refondation de la Droite, pourtant annoncée, le semi-échec du renouvellement et rajeunissement de la classe politique, et la nécessité pour une partie de la population de pouvoir s'appuyer sur des "valeurs sûres et expérimentées", ont remis à flots plusieurs éléments de la vieille garde : André Thien-Ah-Koon, Joseph Sinimalé, René-Paul Victoria… et Jean-Paul Virapoullé.
A Saint-André, l'ex-maire teste sa popularité à chaque fois qu'il sort dans la rue ou faire ses courses. "C'est vrai ! Les sollicitations ne manquent pas. Les gens prennent toujours des nouvelles, et bien sûr avec la perspective des Municipales, me demandent de revenir". Il y a même ceux qui croient dur, et annoncent déjà la candidature de Jean-Paul Virapoullé pour la prochaine échéance électorale. "Ça me touche ! Mais, je n'ai pas encore pris ma décision".
"Ma candidature aux Municipales 2014 doit correspondre non pas à une attente de la population, mais à la concrétisation d'une ambition, d'un projet, et d'une vision politique pour Saint-André et La Réunion. Avec tous les Saint-Andréens et tous les Réunionnais". Ce que Jean-Paul Virapoullé ne dit pas, c'est ce que son retour conditionne aussi le devenir de son fils Jean-Marie à Saint-André. Car, il y a quelque chose que ces partisans lui soufflent souvent à l'oreille : "Oui, pour Jean-Paul, non pour Jean-Marie"...
La bérézina de la Droite à la Présidentielle, son effondrement aux Législaives 2012, l'absence d'une programmation déclarée de la refondation de la Droite, pourtant annoncée, le semi-échec du renouvellement et rajeunissement de la classe politique, et la nécessité pour une partie de la population de pouvoir s'appuyer sur des "valeurs sûres et expérimentées", ont remis à flots plusieurs éléments de la vieille garde : André Thien-Ah-Koon, Joseph Sinimalé, René-Paul Victoria… et Jean-Paul Virapoullé.
A Saint-André, l'ex-maire teste sa popularité à chaque fois qu'il sort dans la rue ou faire ses courses. "C'est vrai ! Les sollicitations ne manquent pas. Les gens prennent toujours des nouvelles, et bien sûr avec la perspective des Municipales, me demandent de revenir". Il y a même ceux qui croient dur, et annoncent déjà la candidature de Jean-Paul Virapoullé pour la prochaine échéance électorale. "Ça me touche ! Mais, je n'ai pas encore pris ma décision".
"Ma candidature aux Municipales 2014 doit correspondre non pas à une attente de la population, mais à la concrétisation d'une ambition, d'un projet, et d'une vision politique pour Saint-André et La Réunion. Avec tous les Saint-Andréens et tous les Réunionnais". Ce que Jean-Paul Virapoullé ne dit pas, c'est ce que son retour conditionne aussi le devenir de son fils Jean-Marie à Saint-André. Car, il y a quelque chose que ces partisans lui soufflent souvent à l'oreille : "Oui, pour Jean-Paul, non pour Jean-Marie"...