"Le budget du Tampon à l'équilibre, c'est une supercherie car ce résultat est la conséquence d'une cure d'austérité et d'arrêt des tous les services et dispositifs en place dans la commune : tout le long de l'année 2012, les Tamponnais ont vu s'arrêter à peu près tout : bons aux livres pour les lycéens, bourse pour les voyages scolaires, prix de l'entrée à Florilèges et Miel vert, triplement du prix de la cantine, arrêt de la publication papier du tampon-magazine, arrêt des séances de la commission d'appel d'offres, des services communaux figés dans l'inquiétude et l'attente, crise dans de nombreuses structures associatives du Tampon.
Ce sont bien plus que des sacrifices qui ont été imposés à la population, c'est une cure de pain sec.
Si l'on en croit le budget primitif 2013 qui nous est présenté ce jour, cette potion amère risque de continuer sauf pour les postes qui peuvent faire gagner des voix : la communication et les publications , les fêtes et cérémonies et les petits contrats. Mais l'investissement et l'emploi vont attendre.
Mais tous les investissements prévus sont renvoyés aux années suivantes. Le faible nombre de réalisations au Tampon est patent comparé à la plupart des communes de l'île de cette taille. Les investissement choisis sont loin d'être judicieux (grands kiosques par ex) ou peu réussis (grands kiosques, rénovations scolaires, place de la libération ; malgré l'austérité la gabegie financière continue de cette façon".
Ce sont bien plus que des sacrifices qui ont été imposés à la population, c'est une cure de pain sec.
Si l'on en croit le budget primitif 2013 qui nous est présenté ce jour, cette potion amère risque de continuer sauf pour les postes qui peuvent faire gagner des voix : la communication et les publications , les fêtes et cérémonies et les petits contrats. Mais l'investissement et l'emploi vont attendre.
Mais tous les investissements prévus sont renvoyés aux années suivantes. Le faible nombre de réalisations au Tampon est patent comparé à la plupart des communes de l'île de cette taille. Les investissement choisis sont loin d'être judicieux (grands kiosques par ex) ou peu réussis (grands kiosques, rénovations scolaires, place de la libération ; malgré l'austérité la gabegie financière continue de cette façon".
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