"Comme ils s'y étaient engagés, les entrepreneurs de manutention portuaire de La Réunion se sont rendus hier à la DIECCTE pour rencontrer les représentants du personnel du GIE Sermat dont ils sont actionnaires.
Ils ont pu détailler leurs propositions afin d'apporter des réponses concrètes pour trouver un terme au conflit qui paralyse le port depuis dix jours.
Face à ces propositions, le syndicat CGTR Ports et docks continue à défendre le principe d'internalisation de la maintenance pour protéger des personnels qui sont en situation de sureffectif notoire depuis des années.
En dehors du service de maintenance des chariots cavaliers qui est actif, le coût des personnels des autres services, est si élevé (plus de 1,5 million d'euros/an) que leur maintien en activité, met en péril l'équilibre économique des membres du GIE qui de par la loi, sont solidairement responsables des pertes de celui-ci.
Malgré la récession économique qui touche le Port depuis 4 ans, et la situation de leurs comptes, les membres du GIE sont disposés à accompagner très favorablement les personnels qui sont en fin de carrière.
Une nouvelle réunion est prévue aujourd'hui à 14h00 pour que les partenaires sociaux fixent l'ordre du jour du Comité d'entreprise qui devra, en toute transparence, traiter de la situation économique et de l'avenir du GIE.
Cela peut paraître surprenant qu'on en soit là seulement pour signer un ordre du jour, mais il faut savoir que depuis plusieurs années, la direction fait l'objet d'un blocage systématique du Syndicat lorsqu'il s'agit de réunir le Comité d'entreprise pour parler de réorganisation du GIE".
Ils ont pu détailler leurs propositions afin d'apporter des réponses concrètes pour trouver un terme au conflit qui paralyse le port depuis dix jours.
Face à ces propositions, le syndicat CGTR Ports et docks continue à défendre le principe d'internalisation de la maintenance pour protéger des personnels qui sont en situation de sureffectif notoire depuis des années.
En dehors du service de maintenance des chariots cavaliers qui est actif, le coût des personnels des autres services, est si élevé (plus de 1,5 million d'euros/an) que leur maintien en activité, met en péril l'équilibre économique des membres du GIE qui de par la loi, sont solidairement responsables des pertes de celui-ci.
Malgré la récession économique qui touche le Port depuis 4 ans, et la situation de leurs comptes, les membres du GIE sont disposés à accompagner très favorablement les personnels qui sont en fin de carrière.
Une nouvelle réunion est prévue aujourd'hui à 14h00 pour que les partenaires sociaux fixent l'ordre du jour du Comité d'entreprise qui devra, en toute transparence, traiter de la situation économique et de l'avenir du GIE.
Cela peut paraître surprenant qu'on en soit là seulement pour signer un ordre du jour, mais il faut savoir que depuis plusieurs années, la direction fait l'objet d'un blocage systématique du Syndicat lorsqu'il s'agit de réunir le Comité d'entreprise pour parler de réorganisation du GIE".
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