C'est vrai, le PS change la société française. Un couple libre à l'Elysée, c'est une première dans la cinquième République. Et le mariage homosexuel sans la procréation médicalement assistée (PMA) et surtout les mères porteuses (GPA : gestation pour autrui), ça reste malgré tout une nouveauté. Et ça c'est grâce aux socialistes. D'ailleurs, ils étaient plusieurs ministres à la noce, la semaine dernière à Montpellier, pour le premier mariage du genre.
Avec un bémol tout de même. Plusieurs se sont retenus de dire aux deux hommes tout "just married" "Ayez beaucoup d'enfants !" surtout comme c'est dans l'air du temps, ce n'est pas demain que la France va autoriser les mères porteuses. Le PS va-t-il leur faire un autre enfant dans le dos, avec le baisse du quotient familial de 2.000 à 1.500 euros ? Sans doute. Mais, pas seulement à eux. Car après le mariage pour tous, voici un barème d'imposition pour le plus grand nombre (1,3 millions de familles en plus concernées). Qu'on soit en union libre, pacsés, mariés, célibataires le jour, et reproducteurs ou reproductrices la nuit.
L'équité au sein de la République, est sauve. Et tant mieux pour l'universalité des Allocations familiales. Tant mieux pour ceux qui gagnent 4.400 euros/mois. Et tant pis pour ceux qui ont 1.200 euros/mois. L'essentiel pour les socialistes, tous les foyers sont égaux devant le quotient familial. A moins que le PS a pour objectif lui aussi, d'inverser l'objectif premier de ce barème : "favoriser une politique nataliste en France, et les ménages avec plusieurs enfants", comme l'a écrit le Figaro.fr hier.
Sournoisement, les gouvernements successifs sont-ils en train de revoir la politique de natalité en France ? Sans aucun doute. Toutefois, la décision prise hier, est motivée avant tout par le besoin de recettes (près d'1 milliard d'euros pour la branche famille de la Sécurité sociale). Le choix de baisser le quotient familial plutôt que réduire les allocations familiales, tient d'un seul élément : retenir la mesure la plus facile et la moins coûteuse à mettre en œuvre, et aussi le plus rentable.
Ça c'est une décision du PS. Ça va changer la société. Car comme toujours la Gauche a une main sur le cœur. Et une autre sur nos bourses…
Avec un bémol tout de même. Plusieurs se sont retenus de dire aux deux hommes tout "just married" "Ayez beaucoup d'enfants !" surtout comme c'est dans l'air du temps, ce n'est pas demain que la France va autoriser les mères porteuses. Le PS va-t-il leur faire un autre enfant dans le dos, avec le baisse du quotient familial de 2.000 à 1.500 euros ? Sans doute. Mais, pas seulement à eux. Car après le mariage pour tous, voici un barème d'imposition pour le plus grand nombre (1,3 millions de familles en plus concernées). Qu'on soit en union libre, pacsés, mariés, célibataires le jour, et reproducteurs ou reproductrices la nuit.
L'équité au sein de la République, est sauve. Et tant mieux pour l'universalité des Allocations familiales. Tant mieux pour ceux qui gagnent 4.400 euros/mois. Et tant pis pour ceux qui ont 1.200 euros/mois. L'essentiel pour les socialistes, tous les foyers sont égaux devant le quotient familial. A moins que le PS a pour objectif lui aussi, d'inverser l'objectif premier de ce barème : "favoriser une politique nataliste en France, et les ménages avec plusieurs enfants", comme l'a écrit le Figaro.fr hier.
Sournoisement, les gouvernements successifs sont-ils en train de revoir la politique de natalité en France ? Sans aucun doute. Toutefois, la décision prise hier, est motivée avant tout par le besoin de recettes (près d'1 milliard d'euros pour la branche famille de la Sécurité sociale). Le choix de baisser le quotient familial plutôt que réduire les allocations familiales, tient d'un seul élément : retenir la mesure la plus facile et la moins coûteuse à mettre en œuvre, et aussi le plus rentable.
Ça c'est une décision du PS. Ça va changer la société. Car comme toujours la Gauche a une main sur le cœur. Et une autre sur nos bourses…
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