Des expulsions, mais aucun accompagnement
Les impayés s’accumulent dans les logements sociaux ? Aucune mesure d’aide, aucun dispositif de soutien. La réponse est brutale : l’expulsion. Pas un mot sur les raisons profondes de ces difficultés, sur le contexte social et économique. On vire, point. Et pendant ce temps, aucune réelle politique d'aménagement ne soutient les projets alternatifs, les modes d’habiter singuliers, ancrés dans la tradition et la réalité locale.
Les habitats traditionnels ? Invisibilisés, ignorés. On ne cherche pas à sécuriser ce qui fait l’âme des territoires créoles. On ne valorise pas ces formes d’habitat qui racontent une histoire, un rapport au monde, au climat, à la terre. Pire : on les pousse à disparaître sous des normes importées, déconnectées.
Faut-il le rappeler ? Sauver la culture créole, ce n’est pas uniquement préserver des chansons, des plats ou des mots. C’est aussi défendre des manières d’habiter, de vivre ensemble, de penser l’espace et le lien. Mais ça, certains l’ont oublié. Et pourtant, des experts bien payés sont censés plancher sur ces enjeux ! Où sont les solutions ? Où est l’engagement ?
Trop facile de piocher dans des plans tout faits, standardisés, sans âme ni racines. Trop facile de répéter les mêmes schémas urbains, les mêmes logiques d’aménagement, en niant les spécificités locales. Ce qui est en jeu ici, ce n’est pas qu’une histoire de logements. C’est une lutte pour la survie d’une culture. Et certains ne se cachent même plus pour la sacrifier.
Il y a une urgence à dire stop. Une urgence à défendre le droit à exister autrement. À protéger ce qui fait la richesse, la beauté et la singularité du monde créole. Car chaque expulsion, chaque renoncement à soutenir les alternatives, chaque plan calqué, c’est une attaque de plus contre la culture créole.
Et si on arrêtait de la mettre à mort ?
Les habitats traditionnels ? Invisibilisés, ignorés. On ne cherche pas à sécuriser ce qui fait l’âme des territoires créoles. On ne valorise pas ces formes d’habitat qui racontent une histoire, un rapport au monde, au climat, à la terre. Pire : on les pousse à disparaître sous des normes importées, déconnectées.
Faut-il le rappeler ? Sauver la culture créole, ce n’est pas uniquement préserver des chansons, des plats ou des mots. C’est aussi défendre des manières d’habiter, de vivre ensemble, de penser l’espace et le lien. Mais ça, certains l’ont oublié. Et pourtant, des experts bien payés sont censés plancher sur ces enjeux ! Où sont les solutions ? Où est l’engagement ?
Trop facile de piocher dans des plans tout faits, standardisés, sans âme ni racines. Trop facile de répéter les mêmes schémas urbains, les mêmes logiques d’aménagement, en niant les spécificités locales. Ce qui est en jeu ici, ce n’est pas qu’une histoire de logements. C’est une lutte pour la survie d’une culture. Et certains ne se cachent même plus pour la sacrifier.
Il y a une urgence à dire stop. Une urgence à défendre le droit à exister autrement. À protéger ce qui fait la richesse, la beauté et la singularité du monde créole. Car chaque expulsion, chaque renoncement à soutenir les alternatives, chaque plan calqué, c’est une attaque de plus contre la culture créole.
Et si on arrêtait de la mettre à mort ?












