
"L'homme n'est pas plus fort que la femme. L'homme peut être faible et tendre quand la femme peut-être forte et dure". Aline Murin-Hoarau et Patricia Bulin, également femmes de gauche, acquiescent. "La femme qui s'engage en politique, garde le plus souvent ses valeurs. Nous restons femme dans notre façon de faire de la politique".
Yolande Pausé expulse la fumée de sa cigarette, mieux qu'un homme, et ajoute : "La femme a toujours été aux responsabilités, l'évolution de notre monde l'a souvent placée dans l'ombre. De plus en plus, la femme réclame sa part de lumière. Attention, ne mélangeons pas lumière et projecteurs, strass et paillettes". Yolande Pausé, Aline Murin-Hoarau et Patricia Bulin revendiquent leur part de féminité au quotidien.
"Une femme en politique demeure une femme. Moi, j'apprécie toujours un compliment sur ma tenue ou ma coiffure. Tout comme le regard d'un homme sur la femme que je suis". Il y a aussi la femme à la maison. "C'est l'un des meilleurs moments de la journée. La famille, les proches, le ménage, le repassage, la cuisine, là nous redevenons mères et femme".
La politique, c'est une étape. "C'est avancer avec les autres, proposer des chemins pratiques et efficaces, faire naître l'espoir et le rêve sans pour autant mentir, faire des promesses impossibles à tenir, et trahir pour un peu de pouvoir éphémère, un confort social et de l'argent qui appartient en premier au peuple".
Patricia Bulin, sans profession et mère de trois enfants, se veut aussi intransigeante. "J'habite à Deux-Rives. Je veux continuer à y marcher la tête haute. Que personne ne puisse me reprocher la moindre promesse ou paroles faite ou données lors de la campagne électorale, et qui n'auraient pas été tenues. Ce premier engagement en politique ne doit changer pas la femme que je suis".
Yolande Pausé et Aline Murin-Hoarau approuvent. "La femme gère souvent cet argent en bonne mère de famille. Elle s'évertue à demeurer équitable. Juste et pertinente dans la répartition du budget. Et, nous restons vigilantes quant à la façon dont l'argent est alors utilisé". Entre le PLU, le projet "cœur de ville" et les zones d'activités économiques, les multiples programmes à venir, et la future présidence de la Cinor, ce sont des sommes importantes qui vont circuler".
"Cet argent appartient à la population. C'est pour améliorer son cadre et sa qualité de vie. Que ce soit à la maison, au bureau ou dans sa vie politique, pour la femme, cet objectif demeure…"
Yolande Pausé expulse la fumée de sa cigarette, mieux qu'un homme, et ajoute : "La femme a toujours été aux responsabilités, l'évolution de notre monde l'a souvent placée dans l'ombre. De plus en plus, la femme réclame sa part de lumière. Attention, ne mélangeons pas lumière et projecteurs, strass et paillettes". Yolande Pausé, Aline Murin-Hoarau et Patricia Bulin revendiquent leur part de féminité au quotidien.
"Une femme en politique demeure une femme. Moi, j'apprécie toujours un compliment sur ma tenue ou ma coiffure. Tout comme le regard d'un homme sur la femme que je suis". Il y a aussi la femme à la maison. "C'est l'un des meilleurs moments de la journée. La famille, les proches, le ménage, le repassage, la cuisine, là nous redevenons mères et femme".
La politique, c'est une étape. "C'est avancer avec les autres, proposer des chemins pratiques et efficaces, faire naître l'espoir et le rêve sans pour autant mentir, faire des promesses impossibles à tenir, et trahir pour un peu de pouvoir éphémère, un confort social et de l'argent qui appartient en premier au peuple".
Patricia Bulin, sans profession et mère de trois enfants, se veut aussi intransigeante. "J'habite à Deux-Rives. Je veux continuer à y marcher la tête haute. Que personne ne puisse me reprocher la moindre promesse ou paroles faite ou données lors de la campagne électorale, et qui n'auraient pas été tenues. Ce premier engagement en politique ne doit changer pas la femme que je suis".
Yolande Pausé et Aline Murin-Hoarau approuvent. "La femme gère souvent cet argent en bonne mère de famille. Elle s'évertue à demeurer équitable. Juste et pertinente dans la répartition du budget. Et, nous restons vigilantes quant à la façon dont l'argent est alors utilisé". Entre le PLU, le projet "cœur de ville" et les zones d'activités économiques, les multiples programmes à venir, et la future présidence de la Cinor, ce sont des sommes importantes qui vont circuler".
"Cet argent appartient à la population. C'est pour améliorer son cadre et sa qualité de vie. Que ce soit à la maison, au bureau ou dans sa vie politique, pour la femme, cet objectif demeure…"