Gaël Tréport, jeune plasticien réunionnais, présente une série de huit toiles traitant des violences au sein du couple, du 30 mai au 6 juin 2013 dans le Hall d’accueil de l’Hôtel de Police de Malartic, en accès libre, 24h/24h, 7 jours sur 7.
Cette action inédite est née des partenariats tissés avec le monde associatif impliqué dans le domaine des violences conjugales. Séduite par la force des messages mis en peinture qui illustrent si bien son action quotidienne, la direction départementale de la sécurité publique a ouvert ses portes à ce jeune talent.
Gaël Tréport est né le 22 juin 1984 à Saint-Denis, il a grandi dans le quartier du Chaudron. Autodidacte et "touche à tout", il a été formé à l'Institut de l'image de l'océan Indien (ILOI) au Port. A 24 ans, il se définit comme un "débrouillard de l'art". Il trouve le terme d'artiste trop présomptueux. Son intérêt pour ce thème découle de son propre vécu : il a été témoin de violences répétées sur l'une de ses voisines qui trouvait refuge chez lui lorsque son mari la battait. Une scène en particulier, alors qu’il avait six ans, lui a laissé un souvenir douloureux qu’il a voulu extérioriser.
Il souhaite à travers ses toiles, s’adresser aux jeunes en particulier, peu réceptifs selon lui aux messages institutionnels. Cette exposition organisée au cœur du dispositif policier local devrait lui permettre de toucher un public à la fois plus large et plus concerné.
Cette action inédite est née des partenariats tissés avec le monde associatif impliqué dans le domaine des violences conjugales. Séduite par la force des messages mis en peinture qui illustrent si bien son action quotidienne, la direction départementale de la sécurité publique a ouvert ses portes à ce jeune talent.
Gaël Tréport est né le 22 juin 1984 à Saint-Denis, il a grandi dans le quartier du Chaudron. Autodidacte et "touche à tout", il a été formé à l'Institut de l'image de l'océan Indien (ILOI) au Port. A 24 ans, il se définit comme un "débrouillard de l'art". Il trouve le terme d'artiste trop présomptueux. Son intérêt pour ce thème découle de son propre vécu : il a été témoin de violences répétées sur l'une de ses voisines qui trouvait refuge chez lui lorsque son mari la battait. Une scène en particulier, alors qu’il avait six ans, lui a laissé un souvenir douloureux qu’il a voulu extérioriser.
Il souhaite à travers ses toiles, s’adresser aux jeunes en particulier, peu réceptifs selon lui aux messages institutionnels. Cette exposition organisée au cœur du dispositif policier local devrait lui permettre de toucher un public à la fois plus large et plus concerné.