C'est peu. C'est même navrant lorsque l'on sait que Jean-Jacques Vlody est venu du Tampon avec une trentaine de militants, et que Saint-Joseph était également bien représenté. Et si l'on ajoute à ce constat que St-Benoît est un fief socialiste, Jean-Claude Fruteau y a été élu maire en 2008, et ce dès le premier tour, il est important de s'interroger sur le réel intérêt de ces cantonales auprès des électeurs.
S'il est vrai qu'on ne pourra pas reprocher aux municipalités socialistes d'avoir utiliser les employés et les moyens communaux pour remplir la salle du cinéma Montfleuri, hier, il est urgent d'informer, de communiquer et de mobiliser la population pour cette échéance électorale.
“Ce sera difficile de mobiliser sur ces élections cantonales”, a reconnu Michel Vergoz, ancien patron du PS, à l'issue de la manifestation. Et ce ne sont pas les quelques roses brandies par les socialistes et les quelques pas de danse effectués par Jean-Claude Fidji, conseiller général, qui vont inverser la tendance actuelle.
Cela ressemble une fois de plus au rejet de la politique et de ses représentants. Trop peu d'élus sont encore crédibles. Trop de promesses électorales ne sont pas tenues. trop d'affaires judiciaires : détournement de fonds, abus de biens sociaux, enrichissement personnel, favoritisme, népotisme, condamnation à répétition des élus…, ont jeté le discrédit et le déshonneur sur la politique et les élus.
Les 20 et 27 mars prochains, la classe politique va prendre une énième gifle. A moins que ça ne soit le début d'une série de coups de pied au culte des politiques...
S'il est vrai qu'on ne pourra pas reprocher aux municipalités socialistes d'avoir utiliser les employés et les moyens communaux pour remplir la salle du cinéma Montfleuri, hier, il est urgent d'informer, de communiquer et de mobiliser la population pour cette échéance électorale.
“Ce sera difficile de mobiliser sur ces élections cantonales”, a reconnu Michel Vergoz, ancien patron du PS, à l'issue de la manifestation. Et ce ne sont pas les quelques roses brandies par les socialistes et les quelques pas de danse effectués par Jean-Claude Fidji, conseiller général, qui vont inverser la tendance actuelle.
Cela ressemble une fois de plus au rejet de la politique et de ses représentants. Trop peu d'élus sont encore crédibles. Trop de promesses électorales ne sont pas tenues. trop d'affaires judiciaires : détournement de fonds, abus de biens sociaux, enrichissement personnel, favoritisme, népotisme, condamnation à répétition des élus…, ont jeté le discrédit et le déshonneur sur la politique et les élus.
Les 20 et 27 mars prochains, la classe politique va prendre une énième gifle. A moins que ça ne soit le début d'une série de coups de pied au culte des politiques...