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UN CRIME ECONONOMIQUE ET SOCIAL : 7 000 Contrats aidés sacrifiés au 31 décembre …


Politique
Lundi 22 Décembre 2014

Plus jamais ça !
130 000 Réunionnais au chômage
7 000 Contrats sacrifiés : Où va La Réunion ?


CONTRATS EN DANGER : JOUR J MOINS 8

Les Jeunes de Ste Marie, Ste Suzanne et de  Saint Denis demanderont des comptes à La Direction de Pôle Emploi, ce mardi 23 décembre à 10 h 00, avec le soutien du Collectif 974.

Une motion sera ensuite déposée en Préfecture …

 

De quoi se préoccupe –t- on dans Les Collectivités locales, Etablissements publics, Communes, Sociétés d’Economie Mixte ?

Des départementales et des Régionales de 2015 et des comptes de  campagne de Thierry Robert ?

Et pourquoi pas une mobilisation républicaine pour sauver des contrats aidés en danger ?

 

On a sauvé les « emplois jeunes » il y a quelques années, avec l’appui des élus locaux, des collectivités locales, des Communes … Pourquoi une démarche de même envergure, devant une situation plus dramatique, serait-elle impossible ?

Le Collectif 974 veut encore croire à l’esprit de responsabilité des acteurs concernés et à une mobilisation républicaine, toute sensibilité confondue !

Les S.D.F on eu la chance de bénéficier d’une réelle couverture médiatique que nous saluons :

 

Nous sollicitons l’ensemble des rédactions de la presse écrite, radios et télévisions publiques presse en ligne, pour une couverture médiatique à la hauteur de l’enjeu, de manière susciter la réaction des coupables en cause, et  à sauver les contrats en danger avant qu’il ne soit trop tard … On parle de 7 000 contrats à ce jour …

Cette médiatisation demeure la condition indispensable, pour amener les employeurs potentiels  à prendre toutes leurs responsabilités.


Le Collectif 974



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Les commentaires

1.Posté par tiloot le 23/12/2014 06:10
tous ses élus de bas classe ont rien a foutre de nous chômeur leur seul souci en se fin d année c est de ne pas tomber
dans bouchon a Gillot pour allée se gaver en métropole le pire C EST AVEC LA PLUPART DU TEMPS AVEC NOTRE
ARGENT

2.Posté par KPLV le 24/12/2014 12:40
Nous sommes employeurs (associations et très petites entreprises). Sachez que pour signer des contrats aidés, Pôle Emploi et Mission Locale exigent que l'employeur soit à jour de ses dettes sociales. Mais : 1) l'employeur est une association à but non lucratif, donc sans capital...2) l'employeur signe un document le portant garant des salaires à verser, donc est 100 % responsable du salarié, 3) L'aide est versée au moins dans un délai de 3 mois après l'embauche du salarié. Entre temps, l'employeur a payé les 3 mois de salaire et les 3 mois de charges. Si 3 mois après, l'aide n'est toujours pas versée (en règle générale, pour cause de lourdeurs administratives car les conditions d'attribution sont vérifiées avant signature...), vous vous retrouvez dans le "rouge". Vous n'êtes plus à jour de vos cotisations. Logique, vous ne disposez pas des mêmes flux financiers d'une société du CAC 40... Vous souhaitez réembaucher parce que vous gérez "en bon père de famille" et que votre activité fonctionne. Mais cette fois-ci vous ne pouvez plus. Pour quelle raison ? Parce que les services administratifs publiques ne sont pas à jour. Et c'est le serpent qui se mord la queue. Parce que entretemps, l'employeur a perdu de sa crédibilité auprès de son client...SVP, arrêtez de jeter la pierre aux petits employeurs, car nous n'avons pas le poids du CAC 40, et encore moins celui des politiques (surtout lorsque vous souhaitez travailler honnêtement..). Président d'une association, j'ai souhaité recruté 20 jeunes en chantiers d'insertion, sur 2 beaux projets de développement local, avec l'appui de la commune concernée. Nos dossiers ont été rejeté, non pas pour dettes sociales impayées mais parce qu'il manquait "un papier" dans le dossier : Le chômage continuera comme tel car c'est la raison même de l'existence de nos décideurs, et de nos élites. Pour quelle raison enrayer la misère quand c'est votre gagne pain...Courage à ceux qui ont encore de l'espoir...

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