La presse a fait un compte-rendu mi-figue, mi raisin du forum sur "la décolonisation équitable" de Thierry Robert qui s'est déroulé dimanche dernier à Saint-Leu. "La mobilisation a été un échec" (entre 100 et 200 personnes). "C'est quoi la décolonisation équitable ?" "La décolonisation équitable stigmatise certaines professions voire une des composantes de la société réunionnaise". Et à la quasi unanimité, la presse a pointé du doigt le populisme de la manifestation.
C'est sûr, Thierry Robert ne veut pas être un politique comme les autres. Il ne veut pas avoir un comportement semblable à ses pairs. Thierry Robert fait du Thierry Robert. Grande gueule, employeur du préfet, frondeur, prétentieux, direct, parfois arrogant, populaire, populiste… Et qui sait parler à une partie de la population qui a besoin qu'on l'écoute. Qu'on l'entend. Et qu'on lui répond.
Dans une île plongée dans une crise profonde, et où Radio Freedom fait 40 % de parts d'audience, politiquement parlant, Thierry Robert est dans le vrai pour ceux qui veulent un interlocuteur. Surtout quand il s'agit de "défendre les spécificités de La Réunion". Dimanche, les "victimes" de la Réserve marine, du Parc national, et de la gestion du foncier local, ont fait quelque chose d'inhabituel en public, ils ont dit ce qu'ils avaient sur le cœur. Seulement pour ça, Thierry Robert a marqué des points.
Et même si pour certains, cette mobilisation est "un échec", le forum de dimanche n'est qu'un début. Le député-maire de Saint-Leu va continuer sur un créneau qu'il connaît et qu'il maîtrise : "porter la parole des Réunionnais à Paris. Et échanger avec la population. Il le fait déjà sur sa politique municipale, chaque samedi matin sur Kréol FM. C'est sûr, c'est aussi du populisme. Dans le contexte actuel, ça peut s'avérer efficace et payant pour Thierry Robert...
C'est sûr, Thierry Robert ne veut pas être un politique comme les autres. Il ne veut pas avoir un comportement semblable à ses pairs. Thierry Robert fait du Thierry Robert. Grande gueule, employeur du préfet, frondeur, prétentieux, direct, parfois arrogant, populaire, populiste… Et qui sait parler à une partie de la population qui a besoin qu'on l'écoute. Qu'on l'entend. Et qu'on lui répond.
Dans une île plongée dans une crise profonde, et où Radio Freedom fait 40 % de parts d'audience, politiquement parlant, Thierry Robert est dans le vrai pour ceux qui veulent un interlocuteur. Surtout quand il s'agit de "défendre les spécificités de La Réunion". Dimanche, les "victimes" de la Réserve marine, du Parc national, et de la gestion du foncier local, ont fait quelque chose d'inhabituel en public, ils ont dit ce qu'ils avaient sur le cœur. Seulement pour ça, Thierry Robert a marqué des points.
Et même si pour certains, cette mobilisation est "un échec", le forum de dimanche n'est qu'un début. Le député-maire de Saint-Leu va continuer sur un créneau qu'il connaît et qu'il maîtrise : "porter la parole des Réunionnais à Paris. Et échanger avec la population. Il le fait déjà sur sa politique municipale, chaque samedi matin sur Kréol FM. C'est sûr, c'est aussi du populisme. Dans le contexte actuel, ça peut s'avérer efficace et payant pour Thierry Robert...
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