Le Département, la Région et les cinq EPCI (Etablissement public de coopération intercommunale : Cinor, Cirest, TCO, Civis et CCSud) sont parvenus à définir la plus grande partie du cadre règlementaire du futur syndicat mixte de transport et de déplacement. Les sept partenaires sont d'accord sur les différentes modalités, y compris la présidence tournante.
Le principe de la représentation égalitaire tant sur le nombre de représentants que sur le financement, est acquis. Le Syndicat mixte comptera sur un budget de fonctionnement de départ d'environ 4 à 500.000 €. "Il y a unanimité sur les compétences, nous avons la majorité sur la gouvernance".
"Le Département était absent lorsqu'une majorité d'EPCI et la Région ont décidé que le futur Syndicat mixte sera composé de 14 membres", a indiqué Fabienne Couapel-Sauret. “Manifestement, nous n'avons pas la même approche. Nous voulons une participation des représentants des Réunionnais, la plus large possible", a répété Pierre Vergès.
"Pour nous, il est essentiel que les communes y soient représentées, cela est déterminant pour la réussite de notre projet pour La Réunion". Pour ce faire, le vice-président délégué au Transport au Conseil général, a proposé six représentants par partenaire (Région, Département, CCSud, Civis, Cirest, Cinor, TCO), soit un Syndicat mixte à 42 membres.
Que ce soit à 14 ou 42, il s'agit ici de déterminer les moyens de la gouvernance. A 14, la présidence reviendra à coup sûr à la Région Réunion. A 42, le Département a plus d'opportunité pour prendre la première présidence. Une première présidence qui devra établir le diagnostic du transport et du déplacement à La Réunion.
Des analyses qui en résulteront, le Syndicat mixte déterminera le schéma régional de transport et de déplacement, et la programmation des projets. C'est dire si cette première présidence revêt une importance capitale. Et ce à l'image les enjeux à venir. Cela explique aussi la stratégie développée par la Région et le Département.
Et, l'impasse dans laquelle se trouve le futur Syndicat mixte. L'impasse étant une voie sans issue, la préfecture en trouvera peut-être une (d'issue) lors de la rencontre prévue fin septembre et début octobre.
Le principe de la représentation égalitaire tant sur le nombre de représentants que sur le financement, est acquis. Le Syndicat mixte comptera sur un budget de fonctionnement de départ d'environ 4 à 500.000 €. "Il y a unanimité sur les compétences, nous avons la majorité sur la gouvernance".
"Le Département était absent lorsqu'une majorité d'EPCI et la Région ont décidé que le futur Syndicat mixte sera composé de 14 membres", a indiqué Fabienne Couapel-Sauret. “Manifestement, nous n'avons pas la même approche. Nous voulons une participation des représentants des Réunionnais, la plus large possible", a répété Pierre Vergès.
"Pour nous, il est essentiel que les communes y soient représentées, cela est déterminant pour la réussite de notre projet pour La Réunion". Pour ce faire, le vice-président délégué au Transport au Conseil général, a proposé six représentants par partenaire (Région, Département, CCSud, Civis, Cirest, Cinor, TCO), soit un Syndicat mixte à 42 membres.
Que ce soit à 14 ou 42, il s'agit ici de déterminer les moyens de la gouvernance. A 14, la présidence reviendra à coup sûr à la Région Réunion. A 42, le Département a plus d'opportunité pour prendre la première présidence. Une première présidence qui devra établir le diagnostic du transport et du déplacement à La Réunion.
Des analyses qui en résulteront, le Syndicat mixte déterminera le schéma régional de transport et de déplacement, et la programmation des projets. C'est dire si cette première présidence revêt une importance capitale. Et ce à l'image les enjeux à venir. Cela explique aussi la stratégie développée par la Région et le Département.
Et, l'impasse dans laquelle se trouve le futur Syndicat mixte. L'impasse étant une voie sans issue, la préfecture en trouvera peut-être une (d'issue) lors de la rencontre prévue fin septembre et début octobre.











