
Qu'est-ce qui explique que vous avez mieux réussi l'union de la Droite que d'autres ?
Il y a d'abord la configuration politique de la cinquième circonscription. Il n'y a pas d'antagonismes forts entre les élus. Notre environnement rural, sa convivialité et l'envie de travailler et de trouver ensemble des solutions pérennes pour la population, est plus visible. La Droite de la cinquième circonscription, est attachée aux valeurs de la terre, et de la famille. Le maire de Salazie que je suis incarne les valeurs de la terre et de la famille.
Les sondages publiés ces derniers jours ont-ils eu une incidence quelconque sur la dynamique de votre campagne ?
Bien sûr ! Les enquêtes menées sur les intentions de vote, ont redonné un coup de fouet aux militants et à la population, comme vous avez pu le voir hier soir lors de notre meeting à la rivières des Roches. D'une part, on ne s'attendait pas que 60 % de l'électorat allaient rejeter le député sortant. Deux électeurs sur trois ne veulent plus de Jean-Claude Fruteau. D'autre part, la mobilisation sur le terrain confirme que la Droite dans la cinquième circonscription, vote de manière traditionnelle, et non pas pour un nom.
C'est-à-dire ?
Que ce soit à Saint-André, Bras-Panon, Saint-Benoît, Sainte-Rose, ou Saint-Philippe, la Droite possède un vivier de voix. Ces électeurs font preuve d'une fidélité sans faille, surtout lorsque la bataille menée s'appuie sur toute la famille de la Droite, et que tous ses membres portent ensemble un vrai projet de développement économique et social pour notre région. La Droite va redevenir le premier parti politique dans la cinquième circonscription.
Grâce ou à cause de la division de la Gauche ?
Je ne sais ce qui passe vraiment entre tous les candidats de Gauche et de la majorité présidentielle. C'est leur problème. Est-ce que Fruteau va se désister en faveur de Fruteau ? Ce n'est pas là-dessus que nous construisons la victoire de la Droite. Nous allons gagner parce que la population en assez des querelles futiles, des ralé-poussé, un jour on s'aime et demain "Ti fleur l'a fané". Les Réunionnais ont choisi d'être solidaires pour affronter les épreuves de demain et les défis de leur avenir. Ils savent que je veux incarner cette démarche. Ce cheminement.
En cas de second tour, quel sera votre réserve de voix ?
Ce n'est pas une bonne question, je suis déjà au second tour. La bonne question est : qui a le meilleur projet de développement économique et social qui apporte des solutions ou qui améliore le quotidien des Réunionnais ? Nous avons demandé à l'électorat de comparer les projets. Il n'y a pas photo. Notre projet, c'est le cœur et l'action. Notre projet, c'est de rester au cœur de la vie des Réunionnais, pour que nos actions soient pertinentes et efficaces pour chaque Réunionnais.
Il y a d'abord la configuration politique de la cinquième circonscription. Il n'y a pas d'antagonismes forts entre les élus. Notre environnement rural, sa convivialité et l'envie de travailler et de trouver ensemble des solutions pérennes pour la population, est plus visible. La Droite de la cinquième circonscription, est attachée aux valeurs de la terre, et de la famille. Le maire de Salazie que je suis incarne les valeurs de la terre et de la famille.
Les sondages publiés ces derniers jours ont-ils eu une incidence quelconque sur la dynamique de votre campagne ?
Bien sûr ! Les enquêtes menées sur les intentions de vote, ont redonné un coup de fouet aux militants et à la population, comme vous avez pu le voir hier soir lors de notre meeting à la rivières des Roches. D'une part, on ne s'attendait pas que 60 % de l'électorat allaient rejeter le député sortant. Deux électeurs sur trois ne veulent plus de Jean-Claude Fruteau. D'autre part, la mobilisation sur le terrain confirme que la Droite dans la cinquième circonscription, vote de manière traditionnelle, et non pas pour un nom.
C'est-à-dire ?
Que ce soit à Saint-André, Bras-Panon, Saint-Benoît, Sainte-Rose, ou Saint-Philippe, la Droite possède un vivier de voix. Ces électeurs font preuve d'une fidélité sans faille, surtout lorsque la bataille menée s'appuie sur toute la famille de la Droite, et que tous ses membres portent ensemble un vrai projet de développement économique et social pour notre région. La Droite va redevenir le premier parti politique dans la cinquième circonscription.
Grâce ou à cause de la division de la Gauche ?
Je ne sais ce qui passe vraiment entre tous les candidats de Gauche et de la majorité présidentielle. C'est leur problème. Est-ce que Fruteau va se désister en faveur de Fruteau ? Ce n'est pas là-dessus que nous construisons la victoire de la Droite. Nous allons gagner parce que la population en assez des querelles futiles, des ralé-poussé, un jour on s'aime et demain "Ti fleur l'a fané". Les Réunionnais ont choisi d'être solidaires pour affronter les épreuves de demain et les défis de leur avenir. Ils savent que je veux incarner cette démarche. Ce cheminement.
En cas de second tour, quel sera votre réserve de voix ?
Ce n'est pas une bonne question, je suis déjà au second tour. La bonne question est : qui a le meilleur projet de développement économique et social qui apporte des solutions ou qui améliore le quotidien des Réunionnais ? Nous avons demandé à l'électorat de comparer les projets. Il n'y a pas photo. Notre projet, c'est le cœur et l'action. Notre projet, c'est de rester au cœur de la vie des Réunionnais, pour que nos actions soient pertinentes et efficaces pour chaque Réunionnais.