Actualité oblige, commençons par les sénatoriales. "Ce n'est pas encore arrivé jusqu'à nous, nous n'avons eu la visite d'aucun candidat potentiel. L'homme gauche que je suis reste ouvert à toutes discussions". L'édile de Trois-Bassins a tout de même un penchant pour les postulants dont le parti politique est une composante de la majorité départementale.
C'est le cas du "Modéré" Thierry Robert. "C'est vrai, il est venu nous expliquer sa candidature aux Législatives de 2012, dans la septième circonscription. A Trois-Bassins, il a également rencontré des acteurs politiques et professionnels". Pour Roland Ramakistin, l'ambition du maire de St-Leu ne va pas à l'encontre des intérêts de la députée-maire de Saint-Paul, Huguette Bello.
"Huguette Bello a toujours été candidate sur la deuxième circonscription, je ne vois pas pourquoi cela va changer l'année prochaine. Notre relation est basée sur le respect et la confiance. Ainsi lorsque la presse a écrit qu'il y avait des tensions entre nous, le jour même, elle m'a appelé pour renouveler son estime et sa confiance".
Les soucis de Roland Ramakistin sont ailleurs. "Ma priorité est Trois-Bassins. Nous faisons face à des obstacles administratifs, juridiques et politiques particuliers. Il nous faut d'abord raccorder Trois-Bassins à la route des Tamarins. Il faut relier la Montée Panon à cette route située à mi-pente".
"C'est essentiel pour nous, cela va permettre de poursuivre le désenclavement de Trois-Bassins et de ses hauteurs. Ce qui donnera un coup de pouce au tourisme. En matière de développement touristique, il y a aussi le littoral. Nous aurions aimé faire quelques aménagements, rendre le site plus attrayant et augmenter son attractivité".
"Nous avons également besoin de 40 hectares de foncier pour répondre aux 400 demandes de logement, et créer de nouvelles zones d'activités et économiques. Malheureusement, la géologie de notre territoire joue contre nous, l'application de PPR, Plan de prévention des risques, nous met encore plus de barrières".
"L'Etat devrait adapter la règlementation à certaines réalités du terrain, ce serait une bonne chose pour les petites communes des Hauts. Le milieu rural nécessite aujourd'hui une gestion plus appropriée et mieux adaptée à son contexte social et économique, et à son environnement géologique".
"Car ce n'est pas simple non plus en matière d'assainissement et de distribution d'eau. Il y a encore beaucoup à faire…", a déclaré Roland Ramakistin, maire et conseiller général de Trois-Bassins.
C'est le cas du "Modéré" Thierry Robert. "C'est vrai, il est venu nous expliquer sa candidature aux Législatives de 2012, dans la septième circonscription. A Trois-Bassins, il a également rencontré des acteurs politiques et professionnels". Pour Roland Ramakistin, l'ambition du maire de St-Leu ne va pas à l'encontre des intérêts de la députée-maire de Saint-Paul, Huguette Bello.
"Huguette Bello a toujours été candidate sur la deuxième circonscription, je ne vois pas pourquoi cela va changer l'année prochaine. Notre relation est basée sur le respect et la confiance. Ainsi lorsque la presse a écrit qu'il y avait des tensions entre nous, le jour même, elle m'a appelé pour renouveler son estime et sa confiance".
Les soucis de Roland Ramakistin sont ailleurs. "Ma priorité est Trois-Bassins. Nous faisons face à des obstacles administratifs, juridiques et politiques particuliers. Il nous faut d'abord raccorder Trois-Bassins à la route des Tamarins. Il faut relier la Montée Panon à cette route située à mi-pente".
"C'est essentiel pour nous, cela va permettre de poursuivre le désenclavement de Trois-Bassins et de ses hauteurs. Ce qui donnera un coup de pouce au tourisme. En matière de développement touristique, il y a aussi le littoral. Nous aurions aimé faire quelques aménagements, rendre le site plus attrayant et augmenter son attractivité".
"Nous avons également besoin de 40 hectares de foncier pour répondre aux 400 demandes de logement, et créer de nouvelles zones d'activités et économiques. Malheureusement, la géologie de notre territoire joue contre nous, l'application de PPR, Plan de prévention des risques, nous met encore plus de barrières".
"L'Etat devrait adapter la règlementation à certaines réalités du terrain, ce serait une bonne chose pour les petites communes des Hauts. Le milieu rural nécessite aujourd'hui une gestion plus appropriée et mieux adaptée à son contexte social et économique, et à son environnement géologique".
"Car ce n'est pas simple non plus en matière d'assainissement et de distribution d'eau. Il y a encore beaucoup à faire…", a déclaré Roland Ramakistin, maire et conseiller général de Trois-Bassins.
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