En effet, cette position est motivée par une volonté de recueillir le consensus le plus large possible autour des enjeux et impacts de la charte. Sans vouloir remettre en cause les principes qui guident la mise en place d’un tel cadre, il s’agit de mieux faire partager ce texte par l’ensemble des acteurs publics et privés concernés.
Or, nous avons à prendre en compte l’inquiétude de la population et en particulier celle des publics concernés comme par exemple les agriculteurs. Nous avons à faire face à une inquiétude des élus locaux sur les conséquences de ce texte. Dans le même temps des opérateurs majeurs tel que l’ONF émettent des réserves. Avant toute décision définitive prise par les instances du parc, il nous a semblé utile que les réponses soient apportées afin de dissiper ces craintes.
Le Conseil général, acteur majeur de la préservation de l’environnement et de la biodiversité, et propriétaire à 80% du territoire du Parc investit chaque année 10 millions d’euros en fonds propres sur la zone couverte par le parc. Cet effort permet de mobiliser les fonds européens pour un investissement global de 14 millions d’euros.
La contribution de la collectivité en fait donc le principal investisseur dans ce domaine. Le Conseil Général a considéré, comme de nombreuses autres collectivités représentées à cette séance, qu’il est nécessaire de mieux mesurer les impacts d’un tel projet. A ce titre, il a été convenu de poursuivre les concertations autour de cette charte avant toute décision définitive.
- Gérald Incana, vice-président,
- Robert Nativel, vice-président délégué aux forêts, aux Espaces Naturels Sensibles et à la Ruralité,
- André Thien Ah Koon, représentant de la Présidente du Conseil Général au CA du Parc,
- Jean-Jacques Vlody, vice-président.
Or, nous avons à prendre en compte l’inquiétude de la population et en particulier celle des publics concernés comme par exemple les agriculteurs. Nous avons à faire face à une inquiétude des élus locaux sur les conséquences de ce texte. Dans le même temps des opérateurs majeurs tel que l’ONF émettent des réserves. Avant toute décision définitive prise par les instances du parc, il nous a semblé utile que les réponses soient apportées afin de dissiper ces craintes.
Le Conseil général, acteur majeur de la préservation de l’environnement et de la biodiversité, et propriétaire à 80% du territoire du Parc investit chaque année 10 millions d’euros en fonds propres sur la zone couverte par le parc. Cet effort permet de mobiliser les fonds européens pour un investissement global de 14 millions d’euros.
La contribution de la collectivité en fait donc le principal investisseur dans ce domaine. Le Conseil Général a considéré, comme de nombreuses autres collectivités représentées à cette séance, qu’il est nécessaire de mieux mesurer les impacts d’un tel projet. A ce titre, il a été convenu de poursuivre les concertations autour de cette charte avant toute décision définitive.
- Gérald Incana, vice-président,
- Robert Nativel, vice-président délégué aux forêts, aux Espaces Naturels Sensibles et à la Ruralité,
- André Thien Ah Koon, représentant de la Présidente du Conseil Général au CA du Parc,
- Jean-Jacques Vlody, vice-président.
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