
Dans le contexte de crise actuel qui place une majorité de notre population dans des situations difficiles, confrontée au chômage massif, Il serait totalement incompréhensible que le gouvernement dit progressiste décide de manière aussi brutale et surtout sans concertation de la suppression de ces acquis, largement issus de la lutte des travailleurs et de leurs organisations.
Puis, dans la presse, le ministre n’a plus été si clair sur le sujet. Peut-être oui, peut-être non ? "Nawar" ? Une chose est sure c’est qu’il est loin d’avoir été clair, et qu’il est difficile de dire si une orientation réelle anime l’action de l’exécutif, alors même que nous sommes censés être engagés dans une large concertation, annoncée par le Président de la République lui-même.
Impensable retour en arrière
Nous sommes, à La Réunion, engagés dans une longue et difficile bataille contre la vie chère, contre les monopoles, contre les profiteurs. Un tel retour en arrière ne peut être envisageable. Il s’opposerait à tous les buts que nous poursuivons, dans l’action politique et dans la reconstruction de notre Parti : augmenter le pouvoir d’achat des Réunionnaises et des Réunionnais, créer une société de travail autour des activités porteuses et connues de tous. Nous devons créer une dynamique autour du développement de notre pays.
Ne pas créer d’obstacles supplémentaires
Le rôle d’un Gouvernement progressiste, pour lequel nous avons de surcroît appelé à voter massivement, est de nous accompagner dans cette démarche impérieuse et nécessaire. Non pas, de créer des difficultés supplémentaires, en coupant par-ci par-là dans les quelques dispositifs, difficilement conquis, qui permettent à peine aux plus pauvres d’ éviter le pire. En ces temps de crise, La Réunion doit trouver ses propres voies de développement pour sortir de ses dépendances aux importations massives de biens de consommation et surtout de carburants fossiles qui gangrènent toute notre économie.
Impensable, dès lors, de mettre la charrue avant les bœufs. Les suppressions envisagées, si elles visent à limiter la dépendance de la population vis-à-vis des dispositifs de solidarité publique, ne peuvent intervenir qu’après la création d’une réelle dynamique de développement, de création d’emplois et d’augmentation du pouvoir d’achat de la population.
En aucun cas ils pourront l’être dans un avenir proche et surtout pas dans la situation actuelle de notre pays. Pareilles mesures seraient, dès lors, une atteinte délibérée au peuple de La Réunion, et à ceux qui pâtissent le plus de la crise qui fait rage dans notre pays.
Puis, dans la presse, le ministre n’a plus été si clair sur le sujet. Peut-être oui, peut-être non ? "Nawar" ? Une chose est sure c’est qu’il est loin d’avoir été clair, et qu’il est difficile de dire si une orientation réelle anime l’action de l’exécutif, alors même que nous sommes censés être engagés dans une large concertation, annoncée par le Président de la République lui-même.
Impensable retour en arrière
Nous sommes, à La Réunion, engagés dans une longue et difficile bataille contre la vie chère, contre les monopoles, contre les profiteurs. Un tel retour en arrière ne peut être envisageable. Il s’opposerait à tous les buts que nous poursuivons, dans l’action politique et dans la reconstruction de notre Parti : augmenter le pouvoir d’achat des Réunionnaises et des Réunionnais, créer une société de travail autour des activités porteuses et connues de tous. Nous devons créer une dynamique autour du développement de notre pays.
Ne pas créer d’obstacles supplémentaires
Le rôle d’un Gouvernement progressiste, pour lequel nous avons de surcroît appelé à voter massivement, est de nous accompagner dans cette démarche impérieuse et nécessaire. Non pas, de créer des difficultés supplémentaires, en coupant par-ci par-là dans les quelques dispositifs, difficilement conquis, qui permettent à peine aux plus pauvres d’ éviter le pire. En ces temps de crise, La Réunion doit trouver ses propres voies de développement pour sortir de ses dépendances aux importations massives de biens de consommation et surtout de carburants fossiles qui gangrènent toute notre économie.
Impensable, dès lors, de mettre la charrue avant les bœufs. Les suppressions envisagées, si elles visent à limiter la dépendance de la population vis-à-vis des dispositifs de solidarité publique, ne peuvent intervenir qu’après la création d’une réelle dynamique de développement, de création d’emplois et d’augmentation du pouvoir d’achat de la population.
En aucun cas ils pourront l’être dans un avenir proche et surtout pas dans la situation actuelle de notre pays. Pareilles mesures seraient, dès lors, une atteinte délibérée au peuple de La Réunion, et à ceux qui pâtissent le plus de la crise qui fait rage dans notre pays.