Précisions. Le manifeste pour la reconstruction du PCR a rappelé : "L'organisation du PCR doit reposer sur l'existence et la vie de cellules à créer dans toute île. Il s'agit non seulement les échanges permanents, des dirigeants vers la base, mais aussi de la base vers les dirigeants : c'est cela le centralisme démocratique". C'est à partir de cette idée, cette "révélation" et cette révolution que le PCR veut se construire un nouveau socle. Une nouvelle base. Une base que ses dirigeants ont mise vingt ans à faire disparaître.
Autre bonne intention : "Ce qui doit prévaloir dans la pratique militante, interne et externe, est le souci du respect mutuel, le souci de solidarité et de la fraternité, le respect de son organisation, l'assiduité aux réunions, la responsabilité dans l'exercice des missions confiées". Et on y revient : "les responsabilités sont collectives et individuelles, sans oublier la fidélité à des valeurs, la discipline face aux règles établies en commun, le refus de tout dogmatisme, la culture de l'autocritique, et enfin le désintéressement personnel : servir et non se servir".
Le manifeste ne dit pas si ce dernier point ne concerne que la base, ça peut marcher, mais s'il implique aussi les élus et les dirigeants communistes, c'est que plusieurs parmi eux, ne connaissent pas le désintéressement personnel et "servir et non se servir". Il serait temps qu'ils l'apprennent. "Ces principes trouvent leur application notamment dans le respect des règles concernant le versement des indemnités par les élu(e)s du parti, du non cumul des mandats et la place faites aux jeunes dans la solidarité inter-générationnelle".
Sur cet ultime élément, il faut rencontre hommage au travail du conseil de reconstruction et de la direction collégiale. Ensemble, ils ont pointé le comportement d'un homme, celui de Paul Vergès. Respect de la parole donnée : il a annoncé sa démission de son poste de sénateur, le soir même de son élection, il ne l'a pas fait. Le parlementaire cumule deux mandats (conseiller régional et sénateur). Et enfin à 87 ans, il a du mal à laisser la place à la relève…
Saluons ici le travail et le courage du conseil de reconstruction...
Autre bonne intention : "Ce qui doit prévaloir dans la pratique militante, interne et externe, est le souci du respect mutuel, le souci de solidarité et de la fraternité, le respect de son organisation, l'assiduité aux réunions, la responsabilité dans l'exercice des missions confiées". Et on y revient : "les responsabilités sont collectives et individuelles, sans oublier la fidélité à des valeurs, la discipline face aux règles établies en commun, le refus de tout dogmatisme, la culture de l'autocritique, et enfin le désintéressement personnel : servir et non se servir".
Le manifeste ne dit pas si ce dernier point ne concerne que la base, ça peut marcher, mais s'il implique aussi les élus et les dirigeants communistes, c'est que plusieurs parmi eux, ne connaissent pas le désintéressement personnel et "servir et non se servir". Il serait temps qu'ils l'apprennent. "Ces principes trouvent leur application notamment dans le respect des règles concernant le versement des indemnités par les élu(e)s du parti, du non cumul des mandats et la place faites aux jeunes dans la solidarité inter-générationnelle".
Sur cet ultime élément, il faut rencontre hommage au travail du conseil de reconstruction et de la direction collégiale. Ensemble, ils ont pointé le comportement d'un homme, celui de Paul Vergès. Respect de la parole donnée : il a annoncé sa démission de son poste de sénateur, le soir même de son élection, il ne l'a pas fait. Le parlementaire cumule deux mandats (conseiller régional et sénateur). Et enfin à 87 ans, il a du mal à laisser la place à la relève…
Saluons ici le travail et le courage du conseil de reconstruction...