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Louis-Bertrand Grondin : "Hommes et femmes de Gauche, nous soutenons Nicolas Sarkozy"


Invité(e)
Jeudi 19 Avril 2012

"La Gauche Moderne appelle à se rassembler largement autour de Nicolas Sarkozy pour réformer et moderniser pour une France plus juste et plus forte !"



Louis-Bertrand Grondin : "Hommes et femmes de Gauche, nous soutenons Nicolas Sarkozy"
"Sociaux-libéraux, Radicaux, Républicains laïques, Ecologistes humanistes, nous nous étions retrouvés, nombreux en 2007 aux côtés de Nicolas Sarkozy, portés par la promesse de réformes justes et convaincus que la France forte avait besoin de modernité.

Si nous avions été ailleurs qu'en France, en tant que réformistes, universalistes et solidaristes, soucieux de justice sociale, nous serions sans doute restés dans nos partis politiques respectifs.

Hélas, ces derniers, contrairement à ceux des pays qui nous entourent, n'ont pas su ni voulu s'adapter aux formidables défis qu'imposent un monde en constante métamorphose.

Nous aurions été aux côtés de l'ancien chancelier Gerhard Schröder pour mener les réformes courageuses, parfois douloureuses et pourtant nécessaires, qui font de la rigueur financière allemande sa meilleure arme dans la globalisation.



Nous n'aurions très certainement pas hésité à soutenir la politique de moralisation de la vie publique italienne engagée par Mario Monti aujourd'hui, par Romano Prodi hier.

Nous aurions été avec Tony Blair en Grande-Bretagne, pour promouvoir une gauche moderne, pragmatique et non sectaire, loin de l'archaïsme qui caractérise le Parti Socialiste français.

Nous aurions bien évidemment été aux côtés de Barack Obama dans sa politique réformiste et progressiste, qui nous rappelle qu'une puissance n'est grande que quand elle regarde vers le monde autant qu'elle veille à protéger ses citoyens, premières victimes de la crise.



Nous avons longuement mûri ce choix de raison, malgré nos divergences idéologiques passées, nos légitimes combats politiques qui nous avaient divisés par le passé, notamment sur la question européenne.

Le constat d'alors, est toujours la vérité d'aujourd'hui : une crise économique, financière et monétaire d'une ampleur sans précédent est venue confirmer la nécessité de réformer la France à la manière dont Gerhard Schröder l'a fait avec courage et détermination en Allemagne entre 1998 et 2005.

Nicolas Sarkozy a raison quand il en appelle à s'inspirer du modèle rhénan - qui du SPD à la CDU, souvent réunis dans une unité politique qui amplifie sa voix sur la scène mondiale - fait de l'Allemagne le champion économique de l'Europe.



Il a également raison quand il consulte l'ancien Premier ministre socialiste espagnol Felipe Gonzalez pour engager le vaste chantier de la démocratisation de l'UE, que réclament les citoyens européens, soucieux que leur voix soit prise en compte en toute transparence et sans l'opacité technocratique qui caractérise parfois la Respublica européenne, et qui engage pourtant 500 millions d'entre eux.

Il a enfin évidemment raison quand il s'entoure des meilleurs experts, pourtant éloignés de sa famille politique, pour comprendre et mieux définir la place de la France dans la "complexité" du monde qui nous entoure.



Il a raison quand il sollicite l'ancien ministre des Affaires étrangères, Hubert Védrine sur le volet de la réforme des institutions financières, vecteurs d'une mondialisation à "adoucir" ; quand il confie à l'ancien premier ministre Michel Rocard une mission sur les enjeux du futur - notamment ceux liés à l'Arctique et aux océans, démultiplicateurs de puissance pour "'Archipel France", puissance maritime présente sur les 5 océans.

Il voit loin quand il demande à l'ancien ministre Brice Lalonde, de veiller au sein des Nations Unies, à ce que la gouvernance écologique soit une solution face aux dérèglements climatiques et aléas environnementaux et ce à l'aune du prochain Sommet de la terre de Rio.



Nous nous reconnaissons en lui quand il demande aux économistes libéraux de gauche, Jacques Attali, au prix Nobel d'économie indien Amartya Sen et à l'américain "néo keynésien" Joseph Stiglitz, de penser les fondamentaux de la croissance française de demain.

C'est souvent dans les tempêtes que se révèle le courage du Capitaine ! Les présidences françaises de l'UE en 2008, du G8-G20 en 2011, les crises géorgiennes, ivoiriennes, libyennes et économiques et monétaires dans la zone Euro sont venues le démontrer avec acuité.



C'est aussi et surtout face aux formidables défis du futur que se mesure la prégnance de notre choix visant à soutenir Nicolas Sarkozy en 2012.

Comme lui, nous voulons engager une politique de l'innovation, qui garantira, demain, notre souveraineté et notre indépendance.

 Comme lui, il faut dire la vérité aux Français et avoir le courage de faire les choix nécessaires pour que l'équilibre des finances publiques soit atteint en 2016.



Comme lui, nous voulons, que les Français reprennent leur destin entre leurs mains.
Nous croyons que la France, pour être forte, doit se réformer encore et continuer à se moderniser, sans laisser quiconque sur le côté, et regagner en compétitivité, seule voie pour amener croissance et emplois.

Fidèles à nos origines, sans jamais renier nos convictions, notre culture politique et l'âme de nos combats passées, légitimés par la prise en compte de nos divergences, nous sommes plus que jamais aux côtés de Nicolas Sarkozy, seul candidat à même de faire résonner nos valeurs progressistes et réformistes, comme il l'a énoncé dans sa Lettre aux Français".

Coordonateur Régional La Gauche Moderne Réunion



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Les commentaires

1.Posté par Droite déguisée en gauche le 19/04/2012 04:05
Gauche moderne ou gauche perdue ?

2.Posté par Paul(St Gilles) le 19/04/2012 05:16
Quel zembrocal cette déclaration du représentant-péi de la "gauche moderne" !
Des soit-disant arguments sur des actions du président sortant !!!!!
Mais,M Grondin,vous oubliez de rappeler :
.le bouclier fiscal,le chômage ou la perte du triple A (pas seulement dûe à la crise),la très forte baisse du pouvoir d'achat,....
.les promesses non tenues....
Par ailleurs,M Grondin combien d'élus-"gauche moderne" au suffrage direct à la Réunion au cours de ce quinquennat ? et en métropole ?
Alors,heureusement que l'électorat de gauche sait reconnaitre et faire confiance à ceux et celles qui portent et défendent les valeurs d'humanisme et de progrès social.
Votre mouvement c'est le "cirque moderne" !

3.Posté par Reu974 le 19/04/2012 06:52
HaHaHA...Mais vous ne représentez strictement rien, vous êtes des gens de droite qui se cache derrière l'étiquette "Gauche Moderne".

Pour vos inspiration:

Tony Blair : Néo-Thatcher qui n'a jamais appliqué une politique de gauche.

Gerhard Schröder : qui a fait connaitre à sont parti la plus grande vague de défection de son histoire

Mario Monti : Technocrate non élu par le peuple, ancien de Goldman Sach

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