Si Manuels Valls est le chouchou de la Droite au niveau national, à Saint-Denis de La Réunion, c'est sûr la majorité municipale respecte le travail de Dominique Fournel, "l'homme à tout faire de René-Paul Victoria". Difficile de dire si c'était volontaire, Monique Orphé a dit du bien de "l'homme" de René-Paul Victoria, alors que l'ex-édile, lui était critiqué pour son comportement "condescendant" (ou gros blanc) par exemple lors de la réception du public, lorsqu'il était maire.
Philippe Naillet lui, a insisté sur le fait que le duo Victoria-Nassimah Dindar n'a sorti aucun projet d'envergure lorsqu'ils étaient aux affaires. "Ils ont passé leur temps à se disputer, à se quereller et à régler des comptes. L'ancienne équipe était incompétente. Saint-Denis est une ville qui doit avoir une longueur d'avance. C'est vrai aussi en matière d'animation du week-end. Aujourd'hui, Saint-Denis continue à vivre le week-end". Et de faire alors un aparté sur Michel Lagourgue.
"Lorsque j'entends un candidat qui a été au Modem, qui s'est fait ensuite élire sur la liste de l'Alliance, puis a rompu cette alliance, dire qu'il veut réveiller Saint-Denis, c'est plutôt lui qui était endormi. En mars 2014, les Dionysiens vont le remettre bien au chaud". Et dire que Michel Lagourgue aurait pu être de la majorité municipale, s'il avait accepté la proposition de Gilbert Annette, c'était entre les deux tours des Municipales 2008. Comme quoi loin des yeux, loin du cœur.
Pas tout à fait. Rappelons que Gilbert Annette et les conseillers généraux socialistes font toujours partie de la majorité départementale de la présidente Nassimah Dindar. Là-aussi depuis quelque temps déjà, il y a des querelles régulières. Le divorce semble inévitable. Car en politique, rien ne résiste aux Municipales. En 2008, René-Paul Victoria en a fait l'amère expérience. Cette fois-ci, le contexte est différent. Et, il n'y aura plus l'Arast, et les moyens de l'habitat ou les crèches pour départager tout ce petit monde.
Philippe Naillet lui, a insisté sur le fait que le duo Victoria-Nassimah Dindar n'a sorti aucun projet d'envergure lorsqu'ils étaient aux affaires. "Ils ont passé leur temps à se disputer, à se quereller et à régler des comptes. L'ancienne équipe était incompétente. Saint-Denis est une ville qui doit avoir une longueur d'avance. C'est vrai aussi en matière d'animation du week-end. Aujourd'hui, Saint-Denis continue à vivre le week-end". Et de faire alors un aparté sur Michel Lagourgue.
"Lorsque j'entends un candidat qui a été au Modem, qui s'est fait ensuite élire sur la liste de l'Alliance, puis a rompu cette alliance, dire qu'il veut réveiller Saint-Denis, c'est plutôt lui qui était endormi. En mars 2014, les Dionysiens vont le remettre bien au chaud". Et dire que Michel Lagourgue aurait pu être de la majorité municipale, s'il avait accepté la proposition de Gilbert Annette, c'était entre les deux tours des Municipales 2008. Comme quoi loin des yeux, loin du cœur.
Pas tout à fait. Rappelons que Gilbert Annette et les conseillers généraux socialistes font toujours partie de la majorité départementale de la présidente Nassimah Dindar. Là-aussi depuis quelque temps déjà, il y a des querelles régulières. Le divorce semble inévitable. Car en politique, rien ne résiste aux Municipales. En 2008, René-Paul Victoria en a fait l'amère expérience. Cette fois-ci, le contexte est différent. Et, il n'y aura plus l'Arast, et les moyens de l'habitat ou les crèches pour départager tout ce petit monde.