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Les inquiétudes de Nathalie Bassire "quant au projet de loi concernant le mariage des homosexuels"


Invité(e)
Mercredi 12 Septembre 2012

"En qualité d’élue conseillère générale et municipale, j’aimerais porter à votre connaissance mon inquiétude et ma profonde consternation quant aux projets de lois concernant le mariage des homosexuels, l’adoption, l’euthanasie".


Les inquiétudes de Nathalie Bassire "quant au projet de loi concernant le mariage des homosexuels"
"Ceux-ci nuisent gravement  aux valeurs humaines et portent atteinte à la dignité de l’homme ou encore à l’éthique.

Avant de vous exposer mon point de vue sur ledit mariage, je tiens à rappeler combien je respecte toute personne et mon intention n’est nullement de faire le procès de qui que ce soit !

Mais j’estime que notre devoir en tant qu’élus et citoyens est de prendre position, aussi dérangeante soit-elle, dans ce combat dont les conséquences fragiliseraient encore plus une société en perte de repères et de valeurs.

On sait tous que l’union d’un homme et d’une femme avec leurs différences est  génératrice de richesses au sein de la famille. En effet, pour grandir et s’épanouir, l’enfant puise chez son père et sa mère la part de masculinité et de féminité dont il a besoin pour être un adulte accompli.

On ne doute pas que tout couple homosexuel puisse aimer un enfant autant qu’un couple hétérosexuel mais l’aimer ne veut pas dire qu’on le structure, d’autant qu’il n’y a aucune filiation.  

Or, en le privant de ces besoins fondamentaux, l’enfant rencontre des difficultés dans la construction de son identité ; tel est l’avis de bon nombre de spécialistes de l’enfance : pédopsychiatres, psychologues ou encore des philosophes, sociologues, écrivains… car ces sujets intéressent de très près  les Français qui se rendent bien compte que ce sont les fondements même de la société qui sont remis en cause.

Pouvons-nous avancer aveuglément et sans réagir en prenant en otage les enfants ?

Pouvons-nous libéraliser les mœurs en occultant toute raison humaine ?

Avons- nous le droit de priver des enfants de ce repère essentiel apporté tout naturellement par la différence que constituent des parents naturels ou adoptifs ?

Ces questions méritent une réflexion plus approfondie et sérieuse d’autant que des études menées récemment aux Etats Unis  révèlent le mal être de beaucoup d’enfants élevés par des couples homosexuels. C’est ce qu’a souligné Michel Pinton, ancien secrétaire général de l’UDF, dans sa lettre adressée à Monsieur le président de la République  le 24 août 2012.

Il est plus urgent aujourd’hui de protéger les familles à travers une politique et des lois qui visent à sauvegarder ses valeurs, à travailler à une reconstruction plus sécurisante de la société puisque la mission d’un chef de l’Etat, ainsi que des députés et sénateurs que vous êtes, est de veiller au respect et à la dignité de tout être humain.

Je vous remercie pour l’attention que vous m’avez accordée et ose espérer votre soutien et votre participation dans ce grand débat".

Commentaires



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Les commentaires

1.Posté par Demain est un autre monde le 12/09/2012 07:43
De quelles valeurs humaines parle-t-elle, qui n'a pas réussi à se présenter aux dernières élections tamponnaises ?
C'est ici une illustration de la pensée de droite qui fait perdre la droite !
C'est la droite bête qui ne comporte que du conservatisme et aucune dynamique qui fait la vie…

2.Posté par Bayoune le 12/09/2012 08:02
. Epi an kwésa la vi privé domoune, inn lote i agarde azot. Sate i fé dan la sanb, ou dosi tapi sale de bin, dan karo bwa, ou kann, inpé an kasiète, pou kwésa zot toute i viyin boure zot né dodan. Eske zot i kri la morale, kan dann in koup di normal, na dé kopilasiyon konte natire, sodomi, mi vé dire dann lo kanon ou biyin ankor konm si sa té fé pou mètt dan la bouss, toute bann pozisiyon animal pou fé sà, koman i di, an brouète etc.. konm lo siyin. Na pwin inn, i viyin kriy la "morale", zot minm i pratike, kèl loson zot na pou doné, kan lé fézèr de moral, bann présèr i sèye kasiète lekzanpe. Arète kass lé kuy, sate mi fé dan la sanb èk mon tantine ou mon kopin i yagarde pa zot, fé parèye si zot i ginye épi ferme la gèl. Si mi vé uni amwin èk in bononm ou in fanm pou la vi, kosa i pé foute azot, sate i rante èk mwin, i rante pa èk zot. Mintnan, mi estime, ke domoune konm zot, mwin lo minm drwa ke zot, rode mon plézir koté mi trouve bann grenouye bénitiyé, ipokrite, moralis la taye din ote tan.


3.Posté par Arno le 12/09/2012 11:40
Jismi,
Pourkwa tu t'évertu a fèr pasé dé post an peti nègr pour fèr krwar ke sé du kréol ?
Mersi d'avwar plus de konsidération pour té lekteur.
Mwa, jan li mèm pa une lign !

4.Posté par Alfred le 13/09/2012 11:47
Coça boug post 2 y raconte? Totoche , quel qualité langage ça?

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