Courrier des lecteurs
Ils ont développe depuis maintenant quelques années, la notion "d'irresponsabilité totale" des élus nationaux. D'abord au niveau constitutionnel, en s'attaquant a la "responsabilité pénale" du Président de la République, puis insidieusement dans leur pratique des institutions dévoyées de la Vième République. Contrairement aux petits élus locaux, qui eux, paient souvent plein pot, la facture en cas de "manquements" à leur obligations, relevant même souvent du "pénal", les caciques nationaux semblent s'exonérer totalement de leurs responsabilités d'élus, sans pour autant en refuser les indemnités, ni les avantages et prébendes cependant. Bien au contraire.
On assiste aujourd'hui, sans aucune pudeur, à un véritable bal des "ni responsables, ni coupables" ! Ils sont devenus "champions du monde" dans la culture de l'excuse, du "c'est pas moi, c'est lui ! ", se refusant à endosser, toute responsabilité, toute faute, si minime soit-elle.
Cette "culture de l'excuse", s'est parallèlement exfiltrée dans les institutions sensées pourtant nous protéger. Elle suinte ainsi, largement, au-delà même des actes immoraux, amoraux, voire délictueux qu'ils accomplissent. Il en est ainsi par exemple dans le domaine de la police et de la justice.
Dans le premier cas, un parlementaire, malmenant la Loi qu'il concourt à générer, lors d'un contrôle routier avec alcoolémie positive, n'est la plupart du temps en rien inquiété. Dans le second cas, l'affaiblissement par exemple, de la " témébélité » " de la peine en matière pénale, erreur monumentale, est une constante socialiste. On crée toujours plus d'infractions pour faire illusion, pour finalement punir toujours moins, voire éviter de punir. Un corps de magistrats, "ultra-politise", syndicalisé à outrance et à dominante largement gauchiste, est déjà dans la place. On ne parlera même pas de la politique pénale irresponsable, générée par l'ancienne Garde des "sots", Christiane TAUBIRA. Celle dont on dit qu'elle n'aimait pas la Loi.
On ne s'attardera pas non plus sur le cas de la "Ceaucescu" du Poitou, bien que montrée du doigts et confondue par la Cour des Comptes et les différents audits, réalises suite à sa non-réélection à la Région Poitou-Charentes, et qui ne s'inquiète pas plus que cela, des constats et dégâts alarmants, faits sur sa gestion calamiteuse de la région, qui frôle la faillite.
Mais il faut bien avouer qu'en ce qui concerne "l'irresponsabilité"', une palme spéciale peut être décernée au "Premier Sinistre" Manuel VALLS. " Il va falloir apprendre à vivre avec le terrorisme " affirme-t-il, sans honte aucune, à la jeunesse de France. S'interroger sur les raisons de ce constat et son éventuelle "responsabilité" dans ce fiasco, est le dernier de ses soucis.
Mais pourtant...oui pourtant, il y a encore pire dans le déni, dans l'outrecuidance, dans l'innommable. Plus de 250 victimes civiles de la barbarie terroriste intégriste musulmane, ont été dénombrées en France, depuis 18 mois. Combien de "Je suis Charlie", " Je suis Paris", "Je suis Nice", faudra-t-il, pour que Bernard CAZENEUVE, ministre de l'Intérieur", accepte les responsabilités de sa fonction, celles qui sont les siennes, mais aussi réagisse simplement comme un homme ? Dans tout autre pays dit "démocratique", n'importe quel ministre aurait, devant un tel parcours d'échecs, remis sa démission. Le ministre belge l'a fait, pour bien moins que cela, il y a quelques mois, dans l'affaire du Bataclan.
L'honneur et les responsabilités en France, au gouvernement en particulier, ne s'assument pas. Pire encore, droit dans ses bottes (le terme est à dessein), le Ministre Bernard CAZENEUVE refuse même de tenir compte du rapport de la Commission parlementaire, qui avait été nommée, suite à la tuerie du Bataclan. Obstiné et complètement dans sa bulle, il conspue et vilipende, ceux qui le critique, pourtant avec raison.
Ce gouvernement est devenu totalement étranger aux Français. Nul doute que les neuf mois qu'ils leur restent au pouvoir, vont avoir les allures d'un siècle.
On assiste aujourd'hui, sans aucune pudeur, à un véritable bal des "ni responsables, ni coupables" ! Ils sont devenus "champions du monde" dans la culture de l'excuse, du "c'est pas moi, c'est lui ! ", se refusant à endosser, toute responsabilité, toute faute, si minime soit-elle.
Cette "culture de l'excuse", s'est parallèlement exfiltrée dans les institutions sensées pourtant nous protéger. Elle suinte ainsi, largement, au-delà même des actes immoraux, amoraux, voire délictueux qu'ils accomplissent. Il en est ainsi par exemple dans le domaine de la police et de la justice.
Dans le premier cas, un parlementaire, malmenant la Loi qu'il concourt à générer, lors d'un contrôle routier avec alcoolémie positive, n'est la plupart du temps en rien inquiété. Dans le second cas, l'affaiblissement par exemple, de la " témébélité » " de la peine en matière pénale, erreur monumentale, est une constante socialiste. On crée toujours plus d'infractions pour faire illusion, pour finalement punir toujours moins, voire éviter de punir. Un corps de magistrats, "ultra-politise", syndicalisé à outrance et à dominante largement gauchiste, est déjà dans la place. On ne parlera même pas de la politique pénale irresponsable, générée par l'ancienne Garde des "sots", Christiane TAUBIRA. Celle dont on dit qu'elle n'aimait pas la Loi.
On ne s'attardera pas non plus sur le cas de la "Ceaucescu" du Poitou, bien que montrée du doigts et confondue par la Cour des Comptes et les différents audits, réalises suite à sa non-réélection à la Région Poitou-Charentes, et qui ne s'inquiète pas plus que cela, des constats et dégâts alarmants, faits sur sa gestion calamiteuse de la région, qui frôle la faillite.
Mais il faut bien avouer qu'en ce qui concerne "l'irresponsabilité"', une palme spéciale peut être décernée au "Premier Sinistre" Manuel VALLS. " Il va falloir apprendre à vivre avec le terrorisme " affirme-t-il, sans honte aucune, à la jeunesse de France. S'interroger sur les raisons de ce constat et son éventuelle "responsabilité" dans ce fiasco, est le dernier de ses soucis.
Mais pourtant...oui pourtant, il y a encore pire dans le déni, dans l'outrecuidance, dans l'innommable. Plus de 250 victimes civiles de la barbarie terroriste intégriste musulmane, ont été dénombrées en France, depuis 18 mois. Combien de "Je suis Charlie", " Je suis Paris", "Je suis Nice", faudra-t-il, pour que Bernard CAZENEUVE, ministre de l'Intérieur", accepte les responsabilités de sa fonction, celles qui sont les siennes, mais aussi réagisse simplement comme un homme ? Dans tout autre pays dit "démocratique", n'importe quel ministre aurait, devant un tel parcours d'échecs, remis sa démission. Le ministre belge l'a fait, pour bien moins que cela, il y a quelques mois, dans l'affaire du Bataclan.
L'honneur et les responsabilités en France, au gouvernement en particulier, ne s'assument pas. Pire encore, droit dans ses bottes (le terme est à dessein), le Ministre Bernard CAZENEUVE refuse même de tenir compte du rapport de la Commission parlementaire, qui avait été nommée, suite à la tuerie du Bataclan. Obstiné et complètement dans sa bulle, il conspue et vilipende, ceux qui le critique, pourtant avec raison.
Ce gouvernement est devenu totalement étranger aux Français. Nul doute que les neuf mois qu'ils leur restent au pouvoir, vont avoir les allures d'un siècle.