Le Conseil politique du PCR apporte sa solidarité aux camarades de Sainte-Suzanne, notamment Maurice Gironcel, cibles d’un acharnement complaisamment relayé dans des médias. Ces attaques ne font que renforcer la détermination et la solidarité des communistes.
Soutien des travailleurs, et notamment de ceux du BTP, le PCR salue la solidarité des dockers et l’intervention de son sénateur Paul Vergès auprès du président de la République. Ces événements ont obligé le gouvernement à intervenir. Refusant jusqu’alors de négocier, le patronat est venu à la table des discussions. Au 8e jour de grève, l’accord a débouché sur une augmentation de 1,9 % des salaires, ce sont près des deux tiers de la revendication des grévistes.
Le PCR se félicite de cette victoire des travailleurs qui ont fait respecter le principe de la démocratie.
La multiplication des grèves à La Réunion concerne toutes les couches de la population. Les échéances comme la fin des quotas sucriers l’année prochaine, les accords de partenariat économique (APE) entre les pays de notre région et l’Union européenne, la remise en cause de la sur-rémunération dans le rapport Lurel et le programme des Républicains sont toujours là, malgré le silence des responsables politiques, à l’exception des communistes, sur ces sujets.
C’est pourquoi le PCR va intensifier la campagne d’explications lancée depuis le 19 mars dernier, autour de la publication du document « Un nouveau rassemblement pour une nouvelle politique : mettre fin au néo-colonialisme » présenté ce jour-là.
Le PCR va également travailler à renforcer sa structure et son organisation. En effet, au moment où La Réunion connaît une accélération de la crise sociale, et à la veille de décisions importantes qui vont engager son avenir pour 25 ans comme l’annonce le rapport Lurel, le mutisme des autres organisations politiques sur ces questions essentielles est édifiant. C’est pourquoi le Conseil politique souligne que le Parti communiste réunionnais est le seul outil à partir duquel peut s’organiser la défense des intérêts des Réunionnais.
Soutien des travailleurs, et notamment de ceux du BTP, le PCR salue la solidarité des dockers et l’intervention de son sénateur Paul Vergès auprès du président de la République. Ces événements ont obligé le gouvernement à intervenir. Refusant jusqu’alors de négocier, le patronat est venu à la table des discussions. Au 8e jour de grève, l’accord a débouché sur une augmentation de 1,9 % des salaires, ce sont près des deux tiers de la revendication des grévistes.
Le PCR se félicite de cette victoire des travailleurs qui ont fait respecter le principe de la démocratie.
La multiplication des grèves à La Réunion concerne toutes les couches de la population. Les échéances comme la fin des quotas sucriers l’année prochaine, les accords de partenariat économique (APE) entre les pays de notre région et l’Union européenne, la remise en cause de la sur-rémunération dans le rapport Lurel et le programme des Républicains sont toujours là, malgré le silence des responsables politiques, à l’exception des communistes, sur ces sujets.
C’est pourquoi le PCR va intensifier la campagne d’explications lancée depuis le 19 mars dernier, autour de la publication du document « Un nouveau rassemblement pour une nouvelle politique : mettre fin au néo-colonialisme » présenté ce jour-là.
Le PCR va également travailler à renforcer sa structure et son organisation. En effet, au moment où La Réunion connaît une accélération de la crise sociale, et à la veille de décisions importantes qui vont engager son avenir pour 25 ans comme l’annonce le rapport Lurel, le mutisme des autres organisations politiques sur ces questions essentielles est édifiant. C’est pourquoi le Conseil politique souligne que le Parti communiste réunionnais est le seul outil à partir duquel peut s’organiser la défense des intérêts des Réunionnais.