Comment vivez-vous cette seconde place sur la liste socialiste conduite par Michel Vergoz ?
Je le vis comme un honneur et une marque de confiance que me témoigne la Fédération socialiste de la Réunion et mes camarades socialistes.
Que représente pour vous, cet accessit ?
Cet accessit représente pour moi la possibilité de rajouter une voix pour faire entendre la Réunion au niveau Nationale, une voix socialiste, une voix qui représente une nouvelle génération de femmes et d’hommes politique.
Cela représente aussi l'opportunité de travailler sur des dossiers de fond et d’intervenir à un plus haut niveau pour changer les choses. Car c’est bien pour ça que j’ai décidé un jour de m’investir en politique : «Changer les choses».
Quel regard avez-vous aujourd'hui sur la politique ?
Avec le recul que j’ai aujourd’hui, je pense qu’en politique «quand on veut, on peut», c’est la volonté politique. Beaucoup se réfugie derrière : «ça on ne peut pas faire pour telle ou telle raison» qui sont souvent des excuses pour ne pas dire qu’ils ne veulent pas faire.
Je précise pour ceux qui pourraient mal interpréter mes propos «quand on veut, on peut à condition de rester dans la légalité». On ne peut pas tout non plus.
Je continue de penser que la politique est le meilleur moyen d’améliorer le quotidien de chacun et c’est quelque chose de noble.
Par contre mon regard sur les femmes et hommes politiques est beaucoup moins positif. Je suis toujours écœurée de voir certains comportements qui font passer des intérêts personnels avant les intérêts de la population. Je n’en dirai pas plus…
La femme a un regard différent de celui d'un homme ?
C’est ce que j’ai toujours pensé, et que j’aimerais pouvoir continuer de penser. Mais à force, je me dis que ça dépend des femmes et que ça dépend des hommes.
Comment conciliez-vous votre vie de famille, votre profession et votre action politique ?
J’essaie de gérer au mieux. Ce n’est pas facile tous les jours. La politique nous sollicite en permanence, il n’y a pas d’heures, il n’y a pas de jours. J’essaie tout de même de cadrer tout cela, et de réserver mes soirées et mes dimanches à ma vie privée. Il est très important pour moi de bien cloisonner «ces trois mondes».
Je le vis comme un honneur et une marque de confiance que me témoigne la Fédération socialiste de la Réunion et mes camarades socialistes.
Que représente pour vous, cet accessit ?
Cet accessit représente pour moi la possibilité de rajouter une voix pour faire entendre la Réunion au niveau Nationale, une voix socialiste, une voix qui représente une nouvelle génération de femmes et d’hommes politique.
Cela représente aussi l'opportunité de travailler sur des dossiers de fond et d’intervenir à un plus haut niveau pour changer les choses. Car c’est bien pour ça que j’ai décidé un jour de m’investir en politique : «Changer les choses».
Quel regard avez-vous aujourd'hui sur la politique ?
Avec le recul que j’ai aujourd’hui, je pense qu’en politique «quand on veut, on peut», c’est la volonté politique. Beaucoup se réfugie derrière : «ça on ne peut pas faire pour telle ou telle raison» qui sont souvent des excuses pour ne pas dire qu’ils ne veulent pas faire.
Je précise pour ceux qui pourraient mal interpréter mes propos «quand on veut, on peut à condition de rester dans la légalité». On ne peut pas tout non plus.
Je continue de penser que la politique est le meilleur moyen d’améliorer le quotidien de chacun et c’est quelque chose de noble.
Par contre mon regard sur les femmes et hommes politiques est beaucoup moins positif. Je suis toujours écœurée de voir certains comportements qui font passer des intérêts personnels avant les intérêts de la population. Je n’en dirai pas plus…
La femme a un regard différent de celui d'un homme ?
C’est ce que j’ai toujours pensé, et que j’aimerais pouvoir continuer de penser. Mais à force, je me dis que ça dépend des femmes et que ça dépend des hommes.
Comment conciliez-vous votre vie de famille, votre profession et votre action politique ?
J’essaie de gérer au mieux. Ce n’est pas facile tous les jours. La politique nous sollicite en permanence, il n’y a pas d’heures, il n’y a pas de jours. J’essaie tout de même de cadrer tout cela, et de réserver mes soirées et mes dimanches à ma vie privée. Il est très important pour moi de bien cloisonner «ces trois mondes».