"En 2010, pendant le débat parlementaire sur les retraites, la gauche a expliqué qu’elle allait, une fois revenue aux affaires, abroger la reforme votée et le PS s’était engagé pour un retour à la retraite à 60 ans.
Or, aujourd’hui, le pouvoir socialiste revient sur ses déclarations puisque le retour à la retraite à 60 ans ne devrait concerner que ceux, relativement peu nombreux, qui ont commencé à travailler à 18 ans. C’est clair, les électeurs ont été dupés avec les effets d’annonces non tenues des socialistes !
Par ailleurs, vouloir imposer une réforme, ou plutôt un aménagement, des retraites par décret, comme veut le faire le gouvernement, sans passer par un vote du parlement, montre un profond mépris du PS vis à vis de la représentation nationale qui va être désignée lors des élections législatives les 10 et 17 juin prochain.
Le PS a-t-il peur des résultats de ce scrutin où il risquerait de se retrouver en minorité à l’Assemblée ?"
Or, aujourd’hui, le pouvoir socialiste revient sur ses déclarations puisque le retour à la retraite à 60 ans ne devrait concerner que ceux, relativement peu nombreux, qui ont commencé à travailler à 18 ans. C’est clair, les électeurs ont été dupés avec les effets d’annonces non tenues des socialistes !
Par ailleurs, vouloir imposer une réforme, ou plutôt un aménagement, des retraites par décret, comme veut le faire le gouvernement, sans passer par un vote du parlement, montre un profond mépris du PS vis à vis de la représentation nationale qui va être désignée lors des élections législatives les 10 et 17 juin prochain.
Le PS a-t-il peur des résultats de ce scrutin où il risquerait de se retrouver en minorité à l’Assemblée ?"