Dans l'attente de l'extension du Revenu de Solidarité Active (RSA) et suite aux troubles qui avaient agité les Antilles et La Réunion, cette mesure avait été prise afin de soutenir le pouvoir d'achat des salariés les plus modestes ( salaires jusqu'à 1,4 SMIC).
A La Réunion, cette suppression va faire perdre jusqu'à 100 € de revenus mensuels à près de 35 000 salariés. L'ensemble des forces politiques de La Réunion a demandé ces dernières semaines le maintien de cette mesure, sans succès.
Si la disparition de la mesure était attendue, il est anormal que le Gouvernement ne l'ait pas anticipée.
Debout La République propose de compenser la perte du RSTA par un dispositif plus équitable, en mobilisant les sommes considérées ( environ 42 000 000 € annuels) dans le cadre d'un fonds d'aide à la continuité territoriale économique qui viendrait financer la baisse des prix des produits de première nécessité.
Les prix des produits concernés seraient simultanément réglementés, conformément aux dispositions de l'article 1er de la loi pour le développement économique des outre-mer (LODEOM), afin de garantir l'impact de cette aide publique sur les prix pratiqués par les distributeurs.
C'est l'objet du courrier au Ministre des Outre-mer qui vient d'être co-signé par Teiva Manutahi, délégué national à l'Outre-mer de Debout La République, et moi même, en qualité de Secrétaire départemental à La Réunion.
A La Réunion, cette suppression va faire perdre jusqu'à 100 € de revenus mensuels à près de 35 000 salariés. L'ensemble des forces politiques de La Réunion a demandé ces dernières semaines le maintien de cette mesure, sans succès.
Si la disparition de la mesure était attendue, il est anormal que le Gouvernement ne l'ait pas anticipée.
Debout La République propose de compenser la perte du RSTA par un dispositif plus équitable, en mobilisant les sommes considérées ( environ 42 000 000 € annuels) dans le cadre d'un fonds d'aide à la continuité territoriale économique qui viendrait financer la baisse des prix des produits de première nécessité.
Les prix des produits concernés seraient simultanément réglementés, conformément aux dispositions de l'article 1er de la loi pour le développement économique des outre-mer (LODEOM), afin de garantir l'impact de cette aide publique sur les prix pratiqués par les distributeurs.
C'est l'objet du courrier au Ministre des Outre-mer qui vient d'être co-signé par Teiva Manutahi, délégué national à l'Outre-mer de Debout La République, et moi même, en qualité de Secrétaire départemental à La Réunion.