
Poussée par l’opinion publique, la presse locale rivalise d’ingéniosité pour nous relater des décisions qui visiblement ne sont pas arrêtées, voire pas évoquées du tout... Le sujet amené : Les têtes de listes pour 2014.
L’union est faite, nous dit la presse, voici la liste. Autour de qui, autour de quel projet, sur quel socle de valeurs, cela ne semble pas être essentiel. L’union est sur le papier, le papier a fait l’union. La liste est dressée…Il y a des noms pour les 24, voire pour les 25 ; soyons sérieux.
L’union ne se décrète pas, elle se construit. L’union se construit dans le respect des uns et des autres et surtout dans le respect de la population. L’union doit avoir un objectif clair, partagé, visible et lisible par tous. Toute autre démarche ne serait pas sérieuse, voire contre-productive ; attention danger…
A vouloir crier tous les jours "l’union de la droite, l’union de la droite" nous contribuons à l’affaiblir et à développer chez les électeurs le syndrome du loup. Le jour où cette union sera réelle personne n’y croira plus, c’est le risque encouru…
Les attentes de la population nous les connaissons ; et nous sommes toujours attendus sur les mêmes thématiques, valeurs et principes.
L’union tant réclamée reste néanmoins difficile à construire.
Souvenons-nous des dernières élections régionales, ou la condition de réussite était déjà la nécessaire «union de la droite» . Le cheminement pour y arriver a connu des moments épiques et peu glorieux par certains aspects...
La presse titrait à l’époque « L’union de la droite explose en vol ». Le moral des troupes en avait pris un coup. Et puis, il y eut cette rencontre à "Mon caprice" à Saint-Pierre. C’est là, à "Mon caprice", que tous ensemble, avec les militants, d’une seule et même voix, nous avons réussi cette union qui nous a conduit à la réussite pour cette étape..
Il y eut l’explosion de la droite en plein vol à Saint-Gilles puis la réalisation de l’union de la droite à "Mon caprice" ! Cela n’a pas été simple mais on l’a fait ! Ce qui a été possible hier pourrait l’être encore aujourd’hui si la notion de respect est une réalité…
Des valeurs ont été arrêtées, des engagements ont été pris avec et pour la population : Où en sommes-nous ? Nous ne pouvons pas faire l’économie de cette question…
L’union a été facilitée à cette époque par la conjoncture qui était globalement défavorable à la droite. Aujourd’hui, la gauche est en déperdition. Les sondages sont impitoyables. Tout redevient possible ; mais les dangers aussi...
Le danger pour la droite, c’est ce vieux réflexe qui consiste à balayer d’un revers de la main tous ces engagements et toutes ces valeurs partagées avec la population sur des thématiques fondamentales et attendues par les électeurs pour redonner du sens à la politique et du crédit aux politiques.
La droite peut gagner ! Elle est en mesure de proposer des solutions en adéquation avec la réalité d’aujourd’hui ; mais attention aux reniements. Ce sujet amené par la presse nous permet de dire que la conjoncture ne nous autorise pas tout et n’importe quoi…
A droite, nous avons les compétences nécessaires pour couvrir tous les besoins en termes de représentation et d’investissement à tous les niveaux du système politique ; recherchons l’efficience. Plaçons nos compétences (qui sont réelles) là où elles doivent être ; sortons de la logique infernale du "tout pouvoir"…
L’union s’impose, un "Mon caprice 2" s’avère nécessaire...
L’union est faite, nous dit la presse, voici la liste. Autour de qui, autour de quel projet, sur quel socle de valeurs, cela ne semble pas être essentiel. L’union est sur le papier, le papier a fait l’union. La liste est dressée…Il y a des noms pour les 24, voire pour les 25 ; soyons sérieux.
L’union ne se décrète pas, elle se construit. L’union se construit dans le respect des uns et des autres et surtout dans le respect de la population. L’union doit avoir un objectif clair, partagé, visible et lisible par tous. Toute autre démarche ne serait pas sérieuse, voire contre-productive ; attention danger…
A vouloir crier tous les jours "l’union de la droite, l’union de la droite" nous contribuons à l’affaiblir et à développer chez les électeurs le syndrome du loup. Le jour où cette union sera réelle personne n’y croira plus, c’est le risque encouru…
Les attentes de la population nous les connaissons ; et nous sommes toujours attendus sur les mêmes thématiques, valeurs et principes.
L’union tant réclamée reste néanmoins difficile à construire.
Souvenons-nous des dernières élections régionales, ou la condition de réussite était déjà la nécessaire «union de la droite» . Le cheminement pour y arriver a connu des moments épiques et peu glorieux par certains aspects...
La presse titrait à l’époque « L’union de la droite explose en vol ». Le moral des troupes en avait pris un coup. Et puis, il y eut cette rencontre à "Mon caprice" à Saint-Pierre. C’est là, à "Mon caprice", que tous ensemble, avec les militants, d’une seule et même voix, nous avons réussi cette union qui nous a conduit à la réussite pour cette étape..
Il y eut l’explosion de la droite en plein vol à Saint-Gilles puis la réalisation de l’union de la droite à "Mon caprice" ! Cela n’a pas été simple mais on l’a fait ! Ce qui a été possible hier pourrait l’être encore aujourd’hui si la notion de respect est une réalité…
Des valeurs ont été arrêtées, des engagements ont été pris avec et pour la population : Où en sommes-nous ? Nous ne pouvons pas faire l’économie de cette question…
L’union a été facilitée à cette époque par la conjoncture qui était globalement défavorable à la droite. Aujourd’hui, la gauche est en déperdition. Les sondages sont impitoyables. Tout redevient possible ; mais les dangers aussi...
Le danger pour la droite, c’est ce vieux réflexe qui consiste à balayer d’un revers de la main tous ces engagements et toutes ces valeurs partagées avec la population sur des thématiques fondamentales et attendues par les électeurs pour redonner du sens à la politique et du crédit aux politiques.
La droite peut gagner ! Elle est en mesure de proposer des solutions en adéquation avec la réalité d’aujourd’hui ; mais attention aux reniements. Ce sujet amené par la presse nous permet de dire que la conjoncture ne nous autorise pas tout et n’importe quoi…
A droite, nous avons les compétences nécessaires pour couvrir tous les besoins en termes de représentation et d’investissement à tous les niveaux du système politique ; recherchons l’efficience. Plaçons nos compétences (qui sont réelles) là où elles doivent être ; sortons de la logique infernale du "tout pouvoir"…
L’union s’impose, un "Mon caprice 2" s’avère nécessaire...