Il y a eu ses quelques secondes. Fugaces. "Il y a des regrets. C'est un moment emprunt d'émotions". L'émotion a surpris Jean-Yves Langenier. Surpris de s'être laissé surprendre. Submerger. Il a alors écarquillé ses yeux rougis. Le maire du Port a souri de cet instant. Puis, s'est repris. Et a repris son explication. "Lorsque l'on décide de passer le relais, cela est aussi l'aboutissement d'une longue et mûre réflexion". Avec une seule priorité : l'intérêt général.
C'est l'atout de son jeu. "Ne jamais perdre de vue l'enjeu : se mettre au service de la population". De toute la population. Et pour ce faire, un chef de file doit minimiser le "je" et privilégier le collectif. "D'un mandat à l'autre, l'équipe municipales fait converger ses efforts pour assurer la poursuite du projet de ville". Et ce souci permanent de la continuité d'un ensemble. "Il s'agit de trouver un équilibre entre une génération et celle qui suit, de marier l'expérience acquise et l'inventivité féconde. Ainsi la continuité sera préservée de la routine et sera même vivifiée".
Le chimiste est devenu alchimiste. Il a aiguillé les "locomotives". Il a transcendé des individualités. Il a brisé des chaînes. Il a libéré les énergies. Il a optimisé des synergies. Et, il a mené, avec l'équipe municipale, des projets à bon port. Avec comme seul carburant : "des valeurs essentielles que j'ai reçues de ma mère et de mon père, cheminot". Jean-Yves Langenier a valorisé cet héritage, "à travers les liens que j'ai tissés avec la population". Des liens indicibles.
L'ultime étape, c'est la transmission. Ne rien cassé. Ne rien gâché. Mais développé de manière exponentielle. Tout est une question de dimension. Si possible dans la discrétion. Une très grande discrétion. Loin des caméras et des médias. "Je n'ai pas été élu l'homme de l'année, mais je saurai être à la hauteur de la tâche". Sans cesse, Jean-Yves Langenier a pris de la hauteur. Et à chaque fois, un peu plus d'envergure. Sa façon de cultiver son jardin… en secret. Jusqu'à décrocher la lune. Ou la Une.
C'est l'atout de son jeu. "Ne jamais perdre de vue l'enjeu : se mettre au service de la population". De toute la population. Et pour ce faire, un chef de file doit minimiser le "je" et privilégier le collectif. "D'un mandat à l'autre, l'équipe municipales fait converger ses efforts pour assurer la poursuite du projet de ville". Et ce souci permanent de la continuité d'un ensemble. "Il s'agit de trouver un équilibre entre une génération et celle qui suit, de marier l'expérience acquise et l'inventivité féconde. Ainsi la continuité sera préservée de la routine et sera même vivifiée".
Le chimiste est devenu alchimiste. Il a aiguillé les "locomotives". Il a transcendé des individualités. Il a brisé des chaînes. Il a libéré les énergies. Il a optimisé des synergies. Et, il a mené, avec l'équipe municipale, des projets à bon port. Avec comme seul carburant : "des valeurs essentielles que j'ai reçues de ma mère et de mon père, cheminot". Jean-Yves Langenier a valorisé cet héritage, "à travers les liens que j'ai tissés avec la population". Des liens indicibles.
L'ultime étape, c'est la transmission. Ne rien cassé. Ne rien gâché. Mais développé de manière exponentielle. Tout est une question de dimension. Si possible dans la discrétion. Une très grande discrétion. Loin des caméras et des médias. "Je n'ai pas été élu l'homme de l'année, mais je saurai être à la hauteur de la tâche". Sans cesse, Jean-Yves Langenier a pris de la hauteur. Et à chaque fois, un peu plus d'envergure. Sa façon de cultiver son jardin… en secret. Jusqu'à décrocher la lune. Ou la Une.