
Quels enseignements tirez-vous des derniers faits politiques de Saint-André ?
Je répondrai par une phrase de Gandhi : "La vérité et la justice l'emporteront toujours sur la haine et le mensonge". Eric Fruteau, devenu maire, s'est trompé de mission. Quant il a été élu, il a recruté deux employés pour vider les placards des cadavres qu'aurait laissé Virapoullé. Il n'a rien trouvé. Et au bout de quelque temps, certains en ont fabriqué.
A votre avis, Eric Fruteau s'est trompé dans sa mission ?
Eric Fruteau a oublié que les Saint-Andréens l'ont élu pour faire mieux que moi. Il a perdu du temps à se tromper de combat. Il fallait absolument tourner la page Virapoullé, au lieu de consacrer son temps à recevoir la population. Etre maire n'est pas une fonction comme les autres. C'est la fonction la plus noble de la République.
C'est aussi une relation particulière entre un maire et ses administrés ?
Eric Fruteau n'a pas su me chasser du cœur des Saint-Andréens. Son comportement et ses attitudes ont mis en relief mes qualités d'humaniste et de promoteur. Avec gène, je constate que la population se met à réévoquer nos meilleurs moments et réussites. C'est elle qui tourne la page des déceptions. Car, ce pouvoir lui appartient. Dans ces conditions, il est difficile de lui tourner le dos. Et, de ne pas tendre la main.
A quel moment prendrez-vous la décision en ce qui concerne le rôle précis que vous allez jouer aux Municipales 2014 ?
C'est sûr, je serai dans la bataille des Municipales 2014, avec une équipe dévouée et efficace. Je prends encore le temps de la réflexion pour savoir quelle sera ma place.
Vous avez 69 ans, vous avez encore de l'énergie pour une campagne municipale ?
Je me sens capable d'animer un grand débat d'idées et de booster les jeunes. L'état civil étant ce qu'il est, l'objectif reste de promouvoir nos convictions. Ce sont les méthodes qui vont changer.
C'est-à-dire ?
Nous travaillons à la mise en place d'une liste d'ouverture, peu importe les étiquettes politiques des uns et des autres. Ce qui va compter, c'est la diversité des compétences, la capacité des uns et des autres à se faire entendre sur le terrain. A y consacrer du temps et à réaliser les objectifs.
Jean-Marie Virapoullé sera un plus ou un moins pour la liste ?
Jean-Marie Virapoullé a progressé. A force du travail, il a conquis une place dans le cœur des Saint-Andréens. Il est un chef de file de l'opposition assidu aux conseils municipaux. Il s'est imposé grâce à son courage, sa ténacité et ses compétences. Il doit maintenant trouver le temps de se faire aimer des Saint-Andréens. Car, le socle de la confiance, ce sont les relations humaines.
Il sera sur votre liste aux Municipales 2014 ?
Il a créé sa place sur la liste.
Vous exposerez votre démarche et votre projet à la "commission d'investiture" de l'union de la Droite ?
Cette commission sera la bienvenue à Saint-André. L'union reste la meilleure solution, lorsqu'elle est possible dès le premier tour. Si ce n'est pas le cas, ce n'est pas la peine de bousculer les événements. Il faut alors définir une méthode de rassemblement objective au deuxième tour. Les clés de la méthode appartiennent au peuple et au peuple seul. Car, l'investiture ne provient que du peuple.
A 69 ans, qu'est-ce qui porte ou motive encore Jean-Paul Virapoullé ?
Je suis bien à la retraite, je serai mieux à la mairie.
Je répondrai par une phrase de Gandhi : "La vérité et la justice l'emporteront toujours sur la haine et le mensonge". Eric Fruteau, devenu maire, s'est trompé de mission. Quant il a été élu, il a recruté deux employés pour vider les placards des cadavres qu'aurait laissé Virapoullé. Il n'a rien trouvé. Et au bout de quelque temps, certains en ont fabriqué.
A votre avis, Eric Fruteau s'est trompé dans sa mission ?
Eric Fruteau a oublié que les Saint-Andréens l'ont élu pour faire mieux que moi. Il a perdu du temps à se tromper de combat. Il fallait absolument tourner la page Virapoullé, au lieu de consacrer son temps à recevoir la population. Etre maire n'est pas une fonction comme les autres. C'est la fonction la plus noble de la République.
C'est aussi une relation particulière entre un maire et ses administrés ?
Eric Fruteau n'a pas su me chasser du cœur des Saint-Andréens. Son comportement et ses attitudes ont mis en relief mes qualités d'humaniste et de promoteur. Avec gène, je constate que la population se met à réévoquer nos meilleurs moments et réussites. C'est elle qui tourne la page des déceptions. Car, ce pouvoir lui appartient. Dans ces conditions, il est difficile de lui tourner le dos. Et, de ne pas tendre la main.
A quel moment prendrez-vous la décision en ce qui concerne le rôle précis que vous allez jouer aux Municipales 2014 ?
C'est sûr, je serai dans la bataille des Municipales 2014, avec une équipe dévouée et efficace. Je prends encore le temps de la réflexion pour savoir quelle sera ma place.
Vous avez 69 ans, vous avez encore de l'énergie pour une campagne municipale ?
Je me sens capable d'animer un grand débat d'idées et de booster les jeunes. L'état civil étant ce qu'il est, l'objectif reste de promouvoir nos convictions. Ce sont les méthodes qui vont changer.
C'est-à-dire ?
Nous travaillons à la mise en place d'une liste d'ouverture, peu importe les étiquettes politiques des uns et des autres. Ce qui va compter, c'est la diversité des compétences, la capacité des uns et des autres à se faire entendre sur le terrain. A y consacrer du temps et à réaliser les objectifs.
Jean-Marie Virapoullé sera un plus ou un moins pour la liste ?
Jean-Marie Virapoullé a progressé. A force du travail, il a conquis une place dans le cœur des Saint-Andréens. Il est un chef de file de l'opposition assidu aux conseils municipaux. Il s'est imposé grâce à son courage, sa ténacité et ses compétences. Il doit maintenant trouver le temps de se faire aimer des Saint-Andréens. Car, le socle de la confiance, ce sont les relations humaines.
Il sera sur votre liste aux Municipales 2014 ?
Il a créé sa place sur la liste.
Vous exposerez votre démarche et votre projet à la "commission d'investiture" de l'union de la Droite ?
Cette commission sera la bienvenue à Saint-André. L'union reste la meilleure solution, lorsqu'elle est possible dès le premier tour. Si ce n'est pas le cas, ce n'est pas la peine de bousculer les événements. Il faut alors définir une méthode de rassemblement objective au deuxième tour. Les clés de la méthode appartiennent au peuple et au peuple seul. Car, l'investiture ne provient que du peuple.
A 69 ans, qu'est-ce qui porte ou motive encore Jean-Paul Virapoullé ?
Je suis bien à la retraite, je serai mieux à la mairie.