"Tout en remerciant les sections, j’ai demandé à ce que l’on me libère de cette tâche afin de rester auprès de la population pour mener le combat sur le terrain. Pour moi, être candidat sous une étiquette divise la population. J’ai donc demandé à la direction du PCR de désigner un autre candidat sans me prononcer pour Eric Fruteau car je suis contre le cumul de mandats.
Le dimanche 18 Mars, en s’appuyant sur des faits nouveaux − qui sont, entre autres, les questions de ma représentativité remise en cause par le Préfet de La Réunion et l'absence des députés de La Réunion aux côtés de la population − l’ARCP me demande alors d’être candidat. Pour ma part, je reconnais que des faits nouveaux sont apparus et je prends acte de cette demande.
Qu’est ce que je constate actuellement ? Ici et là, la plupart des hommes et des femmes, déjà élus, avec de lourdes responsabilités, proposent encore leur candidature. Je trouve cela indécent!
Notamment lorsque l’on pratique la politique de la chaise vide sur des situations de crises (dernièrement, lors des évènements sur la vie chère). Ou ça zot lété ? Zot la parti cachièt !
À moins que nous ne soyons surpris d'une nouvelle attitude de ces personnes qui consisterait à se démettre du ou des mandats de trop !Ou bien encore ces mêmes personnes étaient-elles très prises par leurs occupations en lien avec leurs multiples mandats ?!
Face à cela, je ne souhaite pas m’inscrire dans cette mouvance qui est celle de la course au mandat et de surcroît sans véritablement se soucier de la souffrance de la population !
Nous sommes à un mois de l’élection présidentielle. C’est l’avenir de la France et de La Réunion qui se joue actuellement. J’estime que la responsabilité de chaque Réunionnaise et Réunionnais est engagée, que notre priorité est d’interpeller les candidats pour que les graves problèmes de La Réunion soient pris en compte.
Pour ma part, je souhaite participer à ce grand débat et je vais mettre tout en œuvre avec les actions de l’ARCP, pour que chacun des candidats soit interpellé directement ou indirectement en mettant en avant nos problématiques que sont, entre autres, les problèmes d’emploi, de logement, de vie chère, etc. En accord ou pas avec moi, j’encourage quand même la population à maintenir la pression sur le terrain pour une vraie justice sociale.
Concernant une mobilisation dans l’urne sur la problématique du pouvoir d’achat, je continue mon travail de terrain. Car la présidentielle est l'enjeu prioritaire pour la cause de la population. C'est seulement ensuite, que je donnerai ma position pour les législatives".
Le dimanche 18 Mars, en s’appuyant sur des faits nouveaux − qui sont, entre autres, les questions de ma représentativité remise en cause par le Préfet de La Réunion et l'absence des députés de La Réunion aux côtés de la population − l’ARCP me demande alors d’être candidat. Pour ma part, je reconnais que des faits nouveaux sont apparus et je prends acte de cette demande.
Qu’est ce que je constate actuellement ? Ici et là, la plupart des hommes et des femmes, déjà élus, avec de lourdes responsabilités, proposent encore leur candidature. Je trouve cela indécent!
Notamment lorsque l’on pratique la politique de la chaise vide sur des situations de crises (dernièrement, lors des évènements sur la vie chère). Ou ça zot lété ? Zot la parti cachièt !
À moins que nous ne soyons surpris d'une nouvelle attitude de ces personnes qui consisterait à se démettre du ou des mandats de trop !Ou bien encore ces mêmes personnes étaient-elles très prises par leurs occupations en lien avec leurs multiples mandats ?!
Face à cela, je ne souhaite pas m’inscrire dans cette mouvance qui est celle de la course au mandat et de surcroît sans véritablement se soucier de la souffrance de la population !
Nous sommes à un mois de l’élection présidentielle. C’est l’avenir de la France et de La Réunion qui se joue actuellement. J’estime que la responsabilité de chaque Réunionnaise et Réunionnais est engagée, que notre priorité est d’interpeller les candidats pour que les graves problèmes de La Réunion soient pris en compte.
Pour ma part, je souhaite participer à ce grand débat et je vais mettre tout en œuvre avec les actions de l’ARCP, pour que chacun des candidats soit interpellé directement ou indirectement en mettant en avant nos problématiques que sont, entre autres, les problèmes d’emploi, de logement, de vie chère, etc. En accord ou pas avec moi, j’encourage quand même la population à maintenir la pression sur le terrain pour une vraie justice sociale.
Concernant une mobilisation dans l’urne sur la problématique du pouvoir d’achat, je continue mon travail de terrain. Car la présidentielle est l'enjeu prioritaire pour la cause de la population. C'est seulement ensuite, que je donnerai ma position pour les législatives".