J'ai découvert la sociale-démocratie lorsque j'étais à Paris. J'avais 22 ans. C'était en 1974. J'étais employé des PTT. Et je faisais des études en littérature. A cette époque je revendiquais déjà mes affinités socialistes. Cela ne m'empêchait pas de reconnaître à Valery Giscard d'Estaing ses valeurs et ses actions sociales. Je n'oublie pas les mesures prises en faveurs des enfants, des femmes et des personnes âgées et de la famille d'une manière générale.
C'es un fait, la gauche n'a pas le monopole du social. Giscard avait raison lorsqu'il a dit à Mitterrand que vous n'avez pas le monopole du coeur. Je suis toujours d'accord avec lui. Seulement en trente ans de gauche ou de droite les deux camps n'ont fait qu'une chose : ils ont passé leur temps à marquer leur différence. Le social n'appartient ni à la gauche ni à la droite, le "social-démocrate" appartient à chaque société capable de se transcender, pour offrir à chaque citoyen le meilleur de son pays.
La social-démocratie permet donc des actions et des politiques pratiques et efficaces, au-delà des querelles stériles et des stratégies politiciennes. Ne penser que de manière positive est sans doute la première valeur de la social-démocratie. Il est évident aujourd'hui que notre manière de faire de la politique à la Réunion, est très éloignée de la social-démocratie. Les unions ou les alliances de circonstance, toujours éphémères, ont montré leur limite depuis des décennies.
Il faut proposer un autre espace de pensée, de rencontre et d'échange politique pour réussir un projet novateur et adapté à un contexte réunionnais condamné à évoluer pour ne pas mourir. Je propose un cadre social-démocrate pour sortir la réflexion et les projets du carcan d'une tradition politique rejetée par plus 50% des électeurs lors des récentes consultations populaires
A bientôt……
C'es un fait, la gauche n'a pas le monopole du social. Giscard avait raison lorsqu'il a dit à Mitterrand que vous n'avez pas le monopole du coeur. Je suis toujours d'accord avec lui. Seulement en trente ans de gauche ou de droite les deux camps n'ont fait qu'une chose : ils ont passé leur temps à marquer leur différence. Le social n'appartient ni à la gauche ni à la droite, le "social-démocrate" appartient à chaque société capable de se transcender, pour offrir à chaque citoyen le meilleur de son pays.
La social-démocratie permet donc des actions et des politiques pratiques et efficaces, au-delà des querelles stériles et des stratégies politiciennes. Ne penser que de manière positive est sans doute la première valeur de la social-démocratie. Il est évident aujourd'hui que notre manière de faire de la politique à la Réunion, est très éloignée de la social-démocratie. Les unions ou les alliances de circonstance, toujours éphémères, ont montré leur limite depuis des décennies.
Il faut proposer un autre espace de pensée, de rencontre et d'échange politique pour réussir un projet novateur et adapté à un contexte réunionnais condamné à évoluer pour ne pas mourir. Je propose un cadre social-démocrate pour sortir la réflexion et les projets du carcan d'une tradition politique rejetée par plus 50% des électeurs lors des récentes consultations populaires
A bientôt……