Eddie Adekalom garde le cap. Son objectif demeure la mairie de Sainte-Suzanne. Le candidat de La Réunion en confiance des Cantonales de mars 2011, se prépare pour une nouvelle bataille. Celle des Municipales partielles de Sainte-Suzanne. Le contexte est toutefois différent. Il n'a pas encore reçu le soutien de son camp politique.
Deux raisons à cela. D'une part, son score modeste de l'année dernière (11,41 %) aux Cantonales de mars 2011, et d'autre part, l'échec d'une liste d'union à Droite, placent le candidat Adekalom dans une situation complexe. Il y a d'abord la question de l'étiquette. ". Je n'ai pas de réponse de mon parti politique. Il y a eu des discussions avec Jean-Louis Lagourgue, mais pour l'heure ça ne bouge pas".
S'il est évident que la Droite veut préserver toutes les chances d'une liste d'union entre Eddie Adekalom et Antonio Grondin au deuxième tour, il est encore plus évident que Jean-Louis Lagourgue a également un œil, au moins un, sur les Législatives du mois de juin. Il n'est pas question pour lui de se mettre à dos Antonio Grondin, un éventuel partenaire.
"C'est vrai qu'une liste d'une union, aurait permis à la Droite d'arriver en tête au premier tour. C'était aussi mon objectif. J'ai proposé la construction de cette union autour d'un projet pour Sainte-Suzanne. Ce n'est qu'après que nous aurions désigné la tête de liste. Etait-ce vraiment l'ambition du ledit partenaire, surtout lorsqu'au mois de novembre de l'année dernière, il déclare vouloir travailler avec Daniel Alamélou et Yolande Pausé".
Eddie Adekalom veut avant tout réussir son projet pour Sainte-Suzanne. "L'un des éléments essentiels, c'est la production de richesse. Sainte-Suzanne a besoin d'une vraie zone économique créatrice d'activités et d'emplois. Cela implique également une formation adaptée au marché donc d'une forte employabilité", explique Eddie Adekalom.
Deux raisons à cela. D'une part, son score modeste de l'année dernière (11,41 %) aux Cantonales de mars 2011, et d'autre part, l'échec d'une liste d'union à Droite, placent le candidat Adekalom dans une situation complexe. Il y a d'abord la question de l'étiquette. ". Je n'ai pas de réponse de mon parti politique. Il y a eu des discussions avec Jean-Louis Lagourgue, mais pour l'heure ça ne bouge pas".
S'il est évident que la Droite veut préserver toutes les chances d'une liste d'union entre Eddie Adekalom et Antonio Grondin au deuxième tour, il est encore plus évident que Jean-Louis Lagourgue a également un œil, au moins un, sur les Législatives du mois de juin. Il n'est pas question pour lui de se mettre à dos Antonio Grondin, un éventuel partenaire.
"C'est vrai qu'une liste d'une union, aurait permis à la Droite d'arriver en tête au premier tour. C'était aussi mon objectif. J'ai proposé la construction de cette union autour d'un projet pour Sainte-Suzanne. Ce n'est qu'après que nous aurions désigné la tête de liste. Etait-ce vraiment l'ambition du ledit partenaire, surtout lorsqu'au mois de novembre de l'année dernière, il déclare vouloir travailler avec Daniel Alamélou et Yolande Pausé".
Eddie Adekalom veut avant tout réussir son projet pour Sainte-Suzanne. "L'un des éléments essentiels, c'est la production de richesse. Sainte-Suzanne a besoin d'une vraie zone économique créatrice d'activités et d'emplois. Cela implique également une formation adaptée au marché donc d'une forte employabilité", explique Eddie Adekalom.