
La refondation de la Droite. Didier Robert, président de La Réunion en confiance, l'a évoquée au moins à quatre reprises, lors des deux tours de la Présidentielle et des Législatives. Aujourd'hui sans l'appui de l'Elysée qui a désormais un locataire de Gauche, et affaibli par des résultats catastrophiques à l'élection présidentielle, et des scores modestes aux Législatives, Didier Robert va devoir adapter ses stratégies.
Le président de La Réunion en confiance a déjà commencé à le faire. Il a appelé à voter Nassimah Dindar au second tour des Législatives. Il a accepté de revoir sa position au conseil municipal du Tampon. Il a ainsi recommencé à recoller les morceaux avec le maire Paulet Payet. A ce climat d'apaisement réussi par le président de La Réunion en confiance, s'ajoute l'action politique du président de la Région Réunion.
Le Conseil régional, déjà très présent sur le volet économique, semble vouloir accentuer son action surtout dans la lutte contre la vie chère. Didier Robert a décidé de s'attaquer au monopole de la SRPP. Un sujet de choix. Très politique (ou populiste). Très à l'aise dans ce rôle, il ne doit toutefois pas oublié un élément essentiel : consolider la base de la Droite. C'est ce qu'il aurait du faire dès 2006 au Tampon, et dès 2008 pour toute La Réunion. Ce qu'il n'a pas fait.
Et c'est regrettable pour lui, car depuis 2010, Didier Robert, leader de la Droite, doit aussi être le porteur d'un projet de développement au moins équivalent à celui de l'ancien président de la Région Réunion, Paul Vergès. Ce n'est pas le cas pour l'heure si l'on en croit la presse politique et les élus même de Droite. Il est évident que la tâche du président de La Réunion en confiance et du président de la Région Réunion, n'est pas simple.
Car, d'une part, le contexte politique n'est plus en sa faveur, et d'autre part, il devra fonctionner différemment et s'appuyer plus souvent sur ses partenaires qui composent La Réunion en confiance. La refondation de la Droite sera également à ce prix...
Le président de La Réunion en confiance a déjà commencé à le faire. Il a appelé à voter Nassimah Dindar au second tour des Législatives. Il a accepté de revoir sa position au conseil municipal du Tampon. Il a ainsi recommencé à recoller les morceaux avec le maire Paulet Payet. A ce climat d'apaisement réussi par le président de La Réunion en confiance, s'ajoute l'action politique du président de la Région Réunion.
Le Conseil régional, déjà très présent sur le volet économique, semble vouloir accentuer son action surtout dans la lutte contre la vie chère. Didier Robert a décidé de s'attaquer au monopole de la SRPP. Un sujet de choix. Très politique (ou populiste). Très à l'aise dans ce rôle, il ne doit toutefois pas oublié un élément essentiel : consolider la base de la Droite. C'est ce qu'il aurait du faire dès 2006 au Tampon, et dès 2008 pour toute La Réunion. Ce qu'il n'a pas fait.
Et c'est regrettable pour lui, car depuis 2010, Didier Robert, leader de la Droite, doit aussi être le porteur d'un projet de développement au moins équivalent à celui de l'ancien président de la Région Réunion, Paul Vergès. Ce n'est pas le cas pour l'heure si l'on en croit la presse politique et les élus même de Droite. Il est évident que la tâche du président de La Réunion en confiance et du président de la Région Réunion, n'est pas simple.
Car, d'une part, le contexte politique n'est plus en sa faveur, et d'autre part, il devra fonctionner différemment et s'appuyer plus souvent sur ses partenaires qui composent La Réunion en confiance. La refondation de la Droite sera également à ce prix...