Quel regard portez-vous sur la Droite aujourd'hui ?
Je suis et nous sommes en attente. Il y a eu des données importantes, c'est-à-dire, les résultats de la Présidentielle et des Législatives, et bien sûr il y a la perspective des Municipales de 2014 et des Cantonales et des Régionales 2015, que nous devons prendre en compte.
Quelle est cette attente ?
Nous attendons que les leaders de notre camp politique, nous réunissent. Car, il y a d'une part un débriefing et une analyse des scrutins précédents à faire. Il y a d'autre part une remise en cause et une reconstruction à réussir avec filigrane les échéances électorales à venir.
Et si la reconstruction produit une Droite à trois têtes ?
C'est-à-dire ?
C'est-à-dire l'UMP, le Centre droit et le futur parti politique de Didier Robert ?
Je ne trouverais pas ça judicieux. Je préfère une Droite à deux jambes, plutôt qu'une Droite à trois têtes. La Droite a fonctionné avec le RPR et l'UDF puis l'UMP et le Centre droit. La Droite doit continuer à reposer sur deux socles solides.
C'est le cas à La Réunion avec Michel Fontaine et Didier Robert ?
Le contexte local n'est pas simple. Michel Fontaine et Didier Robert sont deux chefs de file légitimes et crédibles. Ce sont deux garçons intelligents. Aujourd'hui, ils doivent repartir sur des résultats électoraux qui ont affaibli la Droite. Et, ils sont aussi pressés par des échéances à court. Toute reconstruction devra nécessairement passer par un projet.
Quelle sera la place de Cyrille Hamilcaro dans cette reconstruction ?
Sincèrement, je ne sais pas. Je suis pour l'heure en retrait. Je souhaite simplement que l'Union des démocrates indépendants, l'UDI, y trouve aussi sa place.
Avec qui faut-il créer le Centre droit à La Réunion ?
Il y a d'abord la structure à définir. A mon avis, il faut une fédération. Nous devons rassembler toutes les personnes possibles.
Y compris Thierry Robert ?
C'est vrai que ce n'est pas le grand amour entre le maire de St-Leu et moi. Toutefois, je reconnais des valeurs à Thierry Robert. Mais si je rends hommage à son engagement, il a parfois des comportements avec lesquels je ne suis pas en accord. Cela ne m'empêchera d'être solidaire avec lui, pour un projet pour La Réunion.
Quels sont vos objectifs à court terme ?
Je reste dans l'attente de décisions de justice. Ma priorité demeure mes enfants, et avoir les moyens de subvenir à leurs besoins. Mon avenir politique passe après...
Je suis et nous sommes en attente. Il y a eu des données importantes, c'est-à-dire, les résultats de la Présidentielle et des Législatives, et bien sûr il y a la perspective des Municipales de 2014 et des Cantonales et des Régionales 2015, que nous devons prendre en compte.
Quelle est cette attente ?
Nous attendons que les leaders de notre camp politique, nous réunissent. Car, il y a d'une part un débriefing et une analyse des scrutins précédents à faire. Il y a d'autre part une remise en cause et une reconstruction à réussir avec filigrane les échéances électorales à venir.
Et si la reconstruction produit une Droite à trois têtes ?
C'est-à-dire ?
C'est-à-dire l'UMP, le Centre droit et le futur parti politique de Didier Robert ?
Je ne trouverais pas ça judicieux. Je préfère une Droite à deux jambes, plutôt qu'une Droite à trois têtes. La Droite a fonctionné avec le RPR et l'UDF puis l'UMP et le Centre droit. La Droite doit continuer à reposer sur deux socles solides.
C'est le cas à La Réunion avec Michel Fontaine et Didier Robert ?
Le contexte local n'est pas simple. Michel Fontaine et Didier Robert sont deux chefs de file légitimes et crédibles. Ce sont deux garçons intelligents. Aujourd'hui, ils doivent repartir sur des résultats électoraux qui ont affaibli la Droite. Et, ils sont aussi pressés par des échéances à court. Toute reconstruction devra nécessairement passer par un projet.
Quelle sera la place de Cyrille Hamilcaro dans cette reconstruction ?
Sincèrement, je ne sais pas. Je suis pour l'heure en retrait. Je souhaite simplement que l'Union des démocrates indépendants, l'UDI, y trouve aussi sa place.
Avec qui faut-il créer le Centre droit à La Réunion ?
Il y a d'abord la structure à définir. A mon avis, il faut une fédération. Nous devons rassembler toutes les personnes possibles.
Y compris Thierry Robert ?
C'est vrai que ce n'est pas le grand amour entre le maire de St-Leu et moi. Toutefois, je reconnais des valeurs à Thierry Robert. Mais si je rends hommage à son engagement, il a parfois des comportements avec lesquels je ne suis pas en accord. Cela ne m'empêchera d'être solidaire avec lui, pour un projet pour La Réunion.
Quels sont vos objectifs à court terme ?
Je reste dans l'attente de décisions de justice. Ma priorité demeure mes enfants, et avoir les moyens de subvenir à leurs besoins. Mon avenir politique passe après...