
"Ces résultats du premier tour confirment que :
- contrairement aux fantasmes d'observateurs subjectifs, le PCR est loin d'être mort
- en politique, le terrain, la stratégie, les convictions et l'organisation payent.
Aussi, le PCR a réussi son pari de lancer trois signaux forts :
- en démocratie, le peuple est seul responsable du maintien ou pas d'un élu : les juges judiciaires ne doivent pas se substituer au peuple, au nom de ce dernier, en déclarant un élu inéligible;
- le Parti gagne en étant soudé et solidaire autour de ses valeurs communistes et progressistes: certains devront choisir entre être dedans et accepter les règles, ou se mettre en dehors; chaque mandat d'un élu PCR appartient pour partie à l'élu mais aussi et surtout au Parti ;
- tout allié du PCR ne doit pas oublié qui l'a fait roi, et les Législatives seront le moment de remettre à plat les alliances.
Je me questionnais aussi le 14 décembre sur la droite dans cette commune. Sur ce point, je fus catastrophé d'apprendre qu'un candidat que nous soutenions au Nouveau Centre a souhaité que je ne vienne pas à Sainte-Suzanne, bien que j'y sois populaire, parce que j'avais des problèmes avec la Justice. Jusqu'à ce que je comprenne qu'il roulait en fait, en sous main, pour Alamélou.
Sa stratégie suicidaire lui a fait perdre la raison: bien qu'ayant des ennuis judiciaires, j'ai été réélu conseiller général et je vais reconquérir la mairie de Saint-Louis en 2014 si les juges judiciaires ne viennent pas troubler le jeu électoral.
Gironcel ne s'est pas embarrassé de ces questions de salon avec les élus communistes, et il se retrouve en tête et gagnera avec au moins 53% dimanche prochain. C'est la réalité démocratique!
La Droite devrait réfléchir moins, ou mieux, et agir plus !
Car ces résultats du premier tour à Sainte-Suzanne a montré que soutenir Alamélou, même en sous-main, n'est pas accepté par les électeurs: la trahison n'est pas une valeur! En tout cas, la Droite doit tout rebâtir dans cette commune et dans bien d'autres. Je suis prêt à y contribuer, dans la clarté d'un vrai débat idéologique et d'un projet..."
- contrairement aux fantasmes d'observateurs subjectifs, le PCR est loin d'être mort
- en politique, le terrain, la stratégie, les convictions et l'organisation payent.
Aussi, le PCR a réussi son pari de lancer trois signaux forts :
- en démocratie, le peuple est seul responsable du maintien ou pas d'un élu : les juges judiciaires ne doivent pas se substituer au peuple, au nom de ce dernier, en déclarant un élu inéligible;
- le Parti gagne en étant soudé et solidaire autour de ses valeurs communistes et progressistes: certains devront choisir entre être dedans et accepter les règles, ou se mettre en dehors; chaque mandat d'un élu PCR appartient pour partie à l'élu mais aussi et surtout au Parti ;
- tout allié du PCR ne doit pas oublié qui l'a fait roi, et les Législatives seront le moment de remettre à plat les alliances.
Je me questionnais aussi le 14 décembre sur la droite dans cette commune. Sur ce point, je fus catastrophé d'apprendre qu'un candidat que nous soutenions au Nouveau Centre a souhaité que je ne vienne pas à Sainte-Suzanne, bien que j'y sois populaire, parce que j'avais des problèmes avec la Justice. Jusqu'à ce que je comprenne qu'il roulait en fait, en sous main, pour Alamélou.
Sa stratégie suicidaire lui a fait perdre la raison: bien qu'ayant des ennuis judiciaires, j'ai été réélu conseiller général et je vais reconquérir la mairie de Saint-Louis en 2014 si les juges judiciaires ne viennent pas troubler le jeu électoral.
Gironcel ne s'est pas embarrassé de ces questions de salon avec les élus communistes, et il se retrouve en tête et gagnera avec au moins 53% dimanche prochain. C'est la réalité démocratique!
La Droite devrait réfléchir moins, ou mieux, et agir plus !
Car ces résultats du premier tour à Sainte-Suzanne a montré que soutenir Alamélou, même en sous-main, n'est pas accepté par les électeurs: la trahison n'est pas une valeur! En tout cas, la Droite doit tout rebâtir dans cette commune et dans bien d'autres. Je suis prêt à y contribuer, dans la clarté d'un vrai débat idéologique et d'un projet..."