Vous n'avez pas attendu l'adoubement des chefs de file de la Droite d'une part pour faire l'union, et d'autre part, pour vous déclarer ?
C'est un schéma de travail que j'ai mis en place. Tout simplement, parce que je crois que l'union de la Droite se fera avant tout sur le terrain. J'y travaille à Saint-Louis. Et puis, il y a un moment, il faut prendre une décision. Je l'ai prise. Il s'agit aussi de fédérer l'ensemble des forces de Droite : l'UDI, Objectif Réunion et UMP de Saint-Louis. C'est à nous de trouver la bonne démarche.
Cette union de la Droite saint-louisienne intègre Nassimah et Ibrahim Dindar ?
Notre schéma d'union intègre tous ceux qui sont à l'UDI. J'aurais aimé que lors de la présentation de la candidature de Valérie Auber qui est UDI, que l'ensemble de la famille UDI soit présente au Port.
Cette fois-ci à Saint-Louis et pour les Municipales, vous n'avez plus Claude Hoarau face à vous. Il va vous manquer ?
Le climat sera sans doute plus apaisé. Mais, ce n'est pas parce que Claude Hoarau ne sera pas candidat qu'il ne pèsera pas dans la campagne. Il sera ou directeur de campagne, ou conseiller de la liste communiste sur Saint-Louis. Je ne me fais pas d'illusion. Claude Hoarau reste un adversaire de taille. Et, il est encore plus redoutable quand il fait partie de l'organisation.
Claude Hoarau va aider Jean Piot et Yvon Bello, vraiment ?
C'est ce que Claude Hoarau a dit. C'est une décision qui lui appartient.
Un des éléments de ces Municipales 2014, c'est la création ou non de cette 25e commune de La Réunion ?
Les choses sont simples pour moi. Un moment donné, le gouvernement a laissé croire qu'il y aurait une 25e commune. Si cela se fait, cela signifie que Matignon a tenu son engagement. Si le projet n'aboutit pas, ce sera la plus grande trahison d'un gouvernement à l'égard d'une population, et des élus qui portent un projet. Bien sûr, s'il n'y a pas la 25e commune, ce sera encore plus un des éléments de la campagne.
Revenons à l'UDI et à l'actualité de la semaine dernière, cette fronde est aussi motivée par les antagonismes qu'il y a entre vous et Thierry Robert ?
On réduit cette prise de position de six courants de l'UDI à une querelle de personnes. Non. Je le dis et je le répète : le problème, c'est la transparence et la ligne politique définie, et surtout les objectifs à atteindre. Qu'importe les femmes et les hommes qui doivent à un moment se parler, l'important, c'est qu'il y ait une ligne politique.
C'est-à-dire ?
Nous sommes dans un parti politique, pas une association de quartier. Et un parti politique a des règles de fonctionnement. La démocratie impose une règlementation et des méthodes. Ce que nous demandons, c'est le respect de notre règlement intérieur. Ce que nous souhaitons : une ligne politique, des objectifs, un projet et des hommes et des femmes qui partagent les mêmes valeurs, et les mêmes idéaux.
Y-a-t-il encore une possibilité d'accord avec Nassimah Dindar qui est pour une ouverture sur le Centre ?
La réponse sur la vidéo où Cyrille Hamilcaro parle aussi de Jean-Paul Virapoullé.
C'est un schéma de travail que j'ai mis en place. Tout simplement, parce que je crois que l'union de la Droite se fera avant tout sur le terrain. J'y travaille à Saint-Louis. Et puis, il y a un moment, il faut prendre une décision. Je l'ai prise. Il s'agit aussi de fédérer l'ensemble des forces de Droite : l'UDI, Objectif Réunion et UMP de Saint-Louis. C'est à nous de trouver la bonne démarche.
Cette union de la Droite saint-louisienne intègre Nassimah et Ibrahim Dindar ?
Notre schéma d'union intègre tous ceux qui sont à l'UDI. J'aurais aimé que lors de la présentation de la candidature de Valérie Auber qui est UDI, que l'ensemble de la famille UDI soit présente au Port.
Cette fois-ci à Saint-Louis et pour les Municipales, vous n'avez plus Claude Hoarau face à vous. Il va vous manquer ?
Le climat sera sans doute plus apaisé. Mais, ce n'est pas parce que Claude Hoarau ne sera pas candidat qu'il ne pèsera pas dans la campagne. Il sera ou directeur de campagne, ou conseiller de la liste communiste sur Saint-Louis. Je ne me fais pas d'illusion. Claude Hoarau reste un adversaire de taille. Et, il est encore plus redoutable quand il fait partie de l'organisation.
Claude Hoarau va aider Jean Piot et Yvon Bello, vraiment ?
C'est ce que Claude Hoarau a dit. C'est une décision qui lui appartient.
Un des éléments de ces Municipales 2014, c'est la création ou non de cette 25e commune de La Réunion ?
Les choses sont simples pour moi. Un moment donné, le gouvernement a laissé croire qu'il y aurait une 25e commune. Si cela se fait, cela signifie que Matignon a tenu son engagement. Si le projet n'aboutit pas, ce sera la plus grande trahison d'un gouvernement à l'égard d'une population, et des élus qui portent un projet. Bien sûr, s'il n'y a pas la 25e commune, ce sera encore plus un des éléments de la campagne.
Revenons à l'UDI et à l'actualité de la semaine dernière, cette fronde est aussi motivée par les antagonismes qu'il y a entre vous et Thierry Robert ?
On réduit cette prise de position de six courants de l'UDI à une querelle de personnes. Non. Je le dis et je le répète : le problème, c'est la transparence et la ligne politique définie, et surtout les objectifs à atteindre. Qu'importe les femmes et les hommes qui doivent à un moment se parler, l'important, c'est qu'il y ait une ligne politique.
C'est-à-dire ?
Nous sommes dans un parti politique, pas une association de quartier. Et un parti politique a des règles de fonctionnement. La démocratie impose une règlementation et des méthodes. Ce que nous demandons, c'est le respect de notre règlement intérieur. Ce que nous souhaitons : une ligne politique, des objectifs, un projet et des hommes et des femmes qui partagent les mêmes valeurs, et les mêmes idéaux.
Y-a-t-il encore une possibilité d'accord avec Nassimah Dindar qui est pour une ouverture sur le Centre ?
La réponse sur la vidéo où Cyrille Hamilcaro parle aussi de Jean-Paul Virapoullé.