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Cyclone Bejisa : Jean Jacques Vlody demande la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle et la création d’un fond de secours pour la Réunion


Politique
Vendredi 3 Janvier 2014

Alors que la Réunion vient d’être frappée par un des cyclones les plus violents depuis 20 ans, Jean Jacques Vlody appelle le gouvernement à reconnaître très rapidement l’état de catastrophe naturelle pour l’ensemble de l’île afin de permettre l’indemnisation rapide des victimes.


Pour faire face à l’urgence humaine, économique et sociale, le député du Tampon appelle également le gouvernement à créer un « fond de secours pour la Réunion » qui prévoirait notamment une aide d’urgence à la replantation au bénéfice des agriculteurs qui ont vu leurs exploitations dévastées par le cyclone.
 
Pour Jean Jacques Vlody, « notre île a été très durement touchée. La priorité est aujourd’hui de réparer et de reconstruire. C’est pourquoi les aides de l’Etat doivent arriver sur le terrain sans attendre une seconde ». 
 
Après la précédente saison cyclonique survenue en janvier 2013, beaucoup d’agriculteurs réunionnais avaient dû attendre plus de 9 mois pour se voir indemnisés par l’Etat.  « Une telle situation ne doit pas se reproduire aujourd’hui, alors que les dégâts ont été beaucoup plus importants. Il en va de la survie de notre agriculture locale.  Il est impératif de mettre en place une aide qui permette un retour aussi rapide que possible à l’activité sans pertes pour les populations réunionnaises. »

 

collaboratrice de Jean Jacques Vlody



Laura Buck



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Les commentaires

1.Posté par Papang le 04/01/2014 08:12 (depuis mobile)
Nos chers parlementaires ne sont mêmes pas foutus de faire front commun pour surmonter cette épreuve? Il faut toujours qu'il y en ai un qui veule tirer la couverture à lui seul? Ce ne sont que des opportunistes!!

2.Posté par Jacky L-Mody le 04/01/2014 09:13
C'est très bien de reconnaître l'incapacité de votre gouvernement à réagir efficacement dans des délais raisonnables ! Il faut donc démissionner de votre mandat de député puisque vous avez été un relais mauvais et insuffisant. En mars 2014, les tamponnais ne manqueront pas de sanctionner les conséquences locales des décisions mauvaises et tardives prises à Paris !

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