C'est un fait : l'argent reste une motivation au cours de ces Sénatoriales. "Pas beaucoup", rectifie un vieux briscard de la politique locale, "cela ne concerne que 5 à 15 % des grands électeurs. Restons sur cette fourchette, c'est-à-dire de 50 à 200 grands électeurs. Ce n'est pas si mal lorsqu'on sait que le quotient électoral est de 303.
Maintenant entre les rumeurs, les rêves et les fantasmes, il y a une marge. Une sacrée marge. "Nous avons été contacté par plusieurs têtes de liste ou leurs intermédiaires. Ceux qui sont dans les collectivités locales, proposent d'apporter un soutien financier à nos projets. Là-aussi, le tout est d'y croire. Il y a également ceux qui offrent un emploi…"
"Il y a bien sûr ceux qui demandent : combien ? Dans ce cas précis, il y a toujours intermédiaire qui se balade avec du "cash". Là, les négociations sont ardues. Et, différents critères entrent en jeu : faire gagner leur liste, faire perdre une liste précise, vous faire voter pour une autre liste que la leur. Certaines stratégies sont vraiment tordues…"
Quelles sommes sont alors déboursées ? Difficile d'avoir une certitude. "Je vais demander 30 à 50.000 €". L'a-t-il eu ? Notre interlocuteur n'a pas voulu répondre. Seule certitude, la rumeur va bon train. Et chaque représentant de liste interrogé "a entendu la rumeur venue de chez l'adversaire, chez nous ça ne se fait pas, les grands électeurs votent pour une liste, un projet, des convictions…"
C'est beau !
Maintenant entre les rumeurs, les rêves et les fantasmes, il y a une marge. Une sacrée marge. "Nous avons été contacté par plusieurs têtes de liste ou leurs intermédiaires. Ceux qui sont dans les collectivités locales, proposent d'apporter un soutien financier à nos projets. Là-aussi, le tout est d'y croire. Il y a également ceux qui offrent un emploi…"
"Il y a bien sûr ceux qui demandent : combien ? Dans ce cas précis, il y a toujours intermédiaire qui se balade avec du "cash". Là, les négociations sont ardues. Et, différents critères entrent en jeu : faire gagner leur liste, faire perdre une liste précise, vous faire voter pour une autre liste que la leur. Certaines stratégies sont vraiment tordues…"
Quelles sommes sont alors déboursées ? Difficile d'avoir une certitude. "Je vais demander 30 à 50.000 €". L'a-t-il eu ? Notre interlocuteur n'a pas voulu répondre. Seule certitude, la rumeur va bon train. Et chaque représentant de liste interrogé "a entendu la rumeur venue de chez l'adversaire, chez nous ça ne se fait pas, les grands électeurs votent pour une liste, un projet, des convictions…"
C'est beau !











