
Christine Soupramanien a alterné raison et cœur lors de son intervention. "Mettez-vous à la place des Réunionnais qui prennent cet axe tous les jours. Leur émotion quand ils sont ralentis ou arrêtés, quand ils regardent vers la falaise. Ça fait 60 ans qu'on leur promet une route du Littoral sécurisée. Aussi, imaginer leur ras-le-bol".
Michel Vergoz n'est pas remonté aussi loin. Le conseiller régional socialiste s'est arrêté à 1998. "Cette année-là, on nous a promis une route réalisée en six mois. J'ai eu la naïveté de le croire. C'était il y a treize ans". S'adressant à Didier Robert, "Il faut y aller Monsieur le président, il faut prendre ses responsabilités".
Les deux socialistes soutiennent la décision de la majorité régionale de supprimer le péage et le passage de la route de 2 x 2 voies à 2 x 3 voies. "C'est une nécessité . Il faut cela pour éviter l'asphyxie et la mort de La Réunion. Il s'agit ici de l'avenir économique de La Réunion".
Michel Vergoz n'est pas remonté aussi loin. Le conseiller régional socialiste s'est arrêté à 1998. "Cette année-là, on nous a promis une route réalisée en six mois. J'ai eu la naïveté de le croire. C'était il y a treize ans". S'adressant à Didier Robert, "Il faut y aller Monsieur le président, il faut prendre ses responsabilités".
Les deux socialistes soutiennent la décision de la majorité régionale de supprimer le péage et le passage de la route de 2 x 2 voies à 2 x 3 voies. "C'est une nécessité . Il faut cela pour éviter l'asphyxie et la mort de La Réunion. Il s'agit ici de l'avenir économique de La Réunion".