Ce livret est une contribution à une connaissance pédagogique sur l’esclavage et en particulier un phénomène qui lui est inhérent, le maronnage ou la fuite des esclaves.
L’ouvrage s’adresse aux scolaires et à un large public.
Le propos est illustré par des artistes inspirés par la poétique historique de la résistance des esclaves et de leur « espace refuge sacralisé ».
Longtemps, l’ histoire de notre passé esclavagiste relevait encore du silence et ce déni n’était pas sans renforcer les stéréotypes racistes.
Aujourd’hui encore, certains disent que cette fuite était l’apanage des criminels et des voleurs. C’est méconnaître le contexte de l’ultra violence du système esclavagiste.
L’esclave, fuit surtout pour échapper à la dépersonnalisation physique traumatique.
Cette fuite est une quête de l’être pour retrouver l’exercice des rites qui le relie a ces ancêtres.
Le maron est un résistant.
C’est un ancêtre dont le courage et l’abnégation doivent nous rendre fiers de notre passé, si atroce et implacable fut-il.
Ils nous rappellent que la profonde nature de l’homme est la quête de la liberté.
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Ces proverbes, ces « Zedmo » ( devinettes) ornent « nout lang kreol », la langue du peuple réunionnais.
Ces nombreux ouvrages ont mis en lumière « nout kozé » qui n\'était surtout pas pour lui une langue patois.
Membre actif de l’association Union pour la Défense de l’Identité Réunionnaise, ( UDIR), Daniel Honoré a été l’initiateur du concours « Lankréol » qui organise des stages de « rakontèr zistoir », des animations dans les écoles, collèges, lycées, médiathèques.
Kriké, kraké, Daniel
Zistoir Ti Jean, zistoir Gran diable
Rakonter zistoir le touzour paré
Sincères condoléances à toute la famille.
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Le grand livre de l\'histoire réunionnaise était ouvert pour le plus grand plaisir de tous…
Ségas, romances et maloya, seggea étaient au rendez vous…
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