Hier, l’histoire nous le rappelle souvent.
Il a été mis en opposition le Séga et le Maloya pour des besoins de pouvoir.
Il est alors venu le temps de la réconciliation.
Il s’agit de faire la paix avec soi-même… avec notre histoire
Le Réunionnais doit faire la paix avec lui même.
C’est sûr que ce n’est pas une chose facile… Comment faire la paix avec moi-même ?
C’est le chemin d’une nouvelle respiration à l’air libre… un pas de plus vers cette émancipation voulue.
Alors il faut tenter de comprendre… Comment cette musique est arrivée jusqu’à nous et pourquoi…
et que transporte t-elle de si important pour avoir réussi à traverser notre temps…
Beaucoup de questions avec lesquelles nous devrons encore nous familiariser…
Dans une société de plantation ou le rapport à l’écrit était toujours à l’avantage des possédants, il a fallu trouver des codes pour transmettre hors de l’écrit nos fonnkér et nos zistoir
Le Séga, comme le Maloya, ont été les pages du grand livre de notre vraie histoire, celles de l’histoire de notre peuple.
Le Séga est né des rythmes du Maloya. Romances créoles des « tiblancs « des hauts, musique européenne, polka, violon, accordéon diatonique, banjo ..
De nouvelles pistes seront explorées avec des tentatives de mixage avec d’autres musiques venues d’ailleurs…
Aujourd’hui c’est tournant important dans la culture réunionnaise, l’acceptation du Séga et du Maloya ensemble mais non plus en opposition.
Alors une stratégie de reconnaissance et de diffusion peut se mettre en place dès le plus jeune âge pour nos enfants.
Sans honte et avec fierté le Séga et le Maloya main dans la main s’activent à construire La Réunion de demain.
Le Séga retrouve ainsi ses lettres de noblesse à travers cette exposition au musée Stella Matutina. Une scénographie polymorphe permettant de voyager dans la richesse des Séga de l’Océan Indien.
Une pensée forte pour mes amis
Raymond Vergoz, Chantal Nirlo, Frantz Ferrere, Daniel Vabois et l\'incontournable Orre François, n\'oubliant pas William Zitte.
Nous avons beaucoup parlé autour du Séga, chanté le Séga.
Cette exposition répond à nos attentes.
IL faut désormais poursuivre cette transmission.
N\'oublions pas non plus Jean Pierre la Selve avec son ouvrage, histoire du Séga.
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Loin de moi de vouloir tomber dans la critique facile.
Mais l’occasion nous est offerte de dire halte à cette politique dépassée et perçue comme une « manipulation ». La population de Sainte-Suzanne a grandi.
Les membres qui la composent dans sa grande majorité, s’ attachent de plus en plus d’importance à ce sur quoi ils vont pouvoir agir !
Nous avons compris.
Il faut désormais arrêter d’user de cette politique politicienne qui nous pollue depuis tant d’années.
Les promesses n’engagent que ceux qui les tiennent, et elles ne retardent plus la lecture de nos horloges.
A quelques mois des prochaines élections municipales, le premier magistrat sortant nous annonce sans état d’âme ses démissions à son poste de secrétaire Général au PCR et celui de Conseiller départemental.
Il peut donc s’occuper enfin des devoirs et des responsabilités qui lui incombent .
Il est donc légitime de croire que durant toutes les années écoulées, il n’a pas eu beaucoup de temps pour s’occuper correctement de sa municipalité !
Cette annonce faite par monsieur le Maire sortant révèle d’une malhonnêteté intellectuelle politique.
Sur le terrain, son bilan est peu glorieux, en particulier sur le plan du développement économique et environnemental, de l’éducation de nos enfants et de l’épanouissement de notre population.
Aujourd’hui, nous ne tombons plus dans cette communication instrumentalisée.
Les gens, pour une grande partie, n’ont plus envie d’être manipulés à leur insu !
Le citoyen qui évolue et qui s’est adapté en partie à cette nouvelle société de consommation et du numérique, est devenu capable de décrypter les intentions cachées.
L’honnêteté politique en phase avec cette évolution sociétale, se cultive tout au long de la mandature, ce qui permet naturellement d’instaurer ce climat de confiance et surtout de respecter l’ensemble des concitoyens.
On ne trompe plus les gens en 2019, surtout après ces manifestations populaires récentes des Gilets Jaunes qui nous demandent de faire de la politique autrement. Ils ont raison.
Nous avons bien compris.
Le bilan de cette majorité actuelle ne peut pas se modifier en six mois.
On attend pas la veille d’une élection pour entretenir les espaces verts, draguer les mauvaises herbes de la rivière du Bocage, pour recevoir les administrés ou encore passer à son domicile.
On attend pas la veille d’une élection pour apporter de l’animation dans les quartiers.
Des actions sont menées aujourd’hui, c’est bien, vaut mieux tard que jamais, mais les gens ne sont pas dupes !
Force est de constater que le premier magistrat et sa majorité municipale n’ont pas été les maîtres des horloges !
La population de Sainte-Suzanne comme celle de notre belle île, sont désormais en capacité de faire leur propre constat et balayer les vieilles pratiques politiques, aujourd’hui dépassées !
J’ai compris : « Ensemble, on y va ».
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