Cette absence de conscience et honnêteté politiques a des conséquences concrètes sur les populations. Continuer sur ce chemin conduira à notre "autodestruction" à petit feu !
Il existe probablement une confusion entre politique et activités politiques des partis et des élus dont ils sont issus ! C\'est le premier obstacle à cette prise de conscience politique.
La société réunionnaise ne peut plus continuer ainsi.
Faut-il alors accepter ce fatalisme politique qui consiste à dire qu\'il est inutile de faire de la politique pour changer le fond des choses car rien n\'évolue en profondeur et de se contenter de quelques améliorations à la marge ?
Nous avons besoin de reconstruire le réel et d\'impliquer davantage les populations au sens politique.
Les populations déplorent et s\'indignent contre l’inefficacité, l\'incompétence, le non respect des engagements, la corruption et autres pratiques illégales qui impactent la morale, d\'une partie des personnalités politiques actuelles et passées, trop longtemps au pouvoir.
Ce pouvoir si recherché et usant, a fait oublié auprès de certains qu\'il fallait changer de logiciel. Aujourd\'hui ils recherchent inlassablement les mises à jour mais elles n’existent plus sur le marché. Il faut tout simplement changer de logiciel et de culture politique.
Malheureusement le processus est à bout de souffle, pollué par l’archaïsme politique des partis qui eux mêmes ne se sont pas remis en question lorsque le train du développement est passé et surtout celui de l\'évolution probablement trop rapide de notre société.
Monde de vaines gesticulations, la politique n\'a plus de sens auprès de beaucoup de populations à la recherche de repères et de reconnaissance. Ce sentiment d\'abandon existe bien et chez nous encore plus qu\'ailleurs !
Pour les populations, nous devons répondre à ces deux besoins essentiels que sont celui de l\'appartenance et l’accomplissement. Ces besoins doivent permettre à rééquilibrer notre société fragilisée, fracturée ou la précarité continue inexorablement de gagner du terrain.
Aujourd’hui la population s\'informe, s\'instruit, ne veut plus être manipulée et demande à être respectée.
Elle commence à comprendre les mécanismes et à posséder cette conscience politique qui leur a fait défaut depuis tellement longtemps.
Il est grand temps pour ces populations plus éclairées, de contrecarrer cette spirale infernale qui condamne depuis des décennies, ces mêmes populations sous tutelle politique à "souffrir" et qui ont accepté avec fatalisme et "contrainte" cette politique des partis qui enferme.
Ces populations grandies, veulent reprendre le contrôle de leurs destinées. Elles ont maintenant les capacités de mettre en œuvre des stratégies de représentations sociales formées et signifiantes pour dicter une nouvelle manière de faire de la politique qui doit s\'appuyer sur une véritable puissance organisationnelle qui commence au niveau de chaque commune.
Les populations doivent par un apprentissage à la politique des valeurs, être en capacité de créer des structures organisationnelles démocratiques et fonctionnelles en tenant compte des aspirations, de la culture et des identités historiques et vécues de chaque communautés de vie.
Il s\'agit en l’espèce de construire une conscience politique réunionnaise dans le plus grand respect de la personne humaine, dans son environnement à protéger et surtout être en capacité de s\'adapter au contexte et à la conjoncture.
Les citoyens veulent maintenant être plus formellement intégrés à la matrice des acteurs.
Ils sont des vrais parties prenantes avec lesquelles il va falloir compter.
Une organisation unitaire et puissante, ouverte à une plus large audience populaire et représentative, intégrée dans un processus de formation à l\'action publique pour porter les projets innovants et de développements sociaux et économiques, permettrait d\'insuffler cette conscience et honnêteté politiques qui fait tellement défaut à ce monde politique réunionnais qui n\'a pas su se remettre en question et qui doit grandir et se reconstruire.
J\'ai également compris cela !
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Ce qui prime dans toutes les dimensions de notre existence c’est la liberté !
Notre société est comme bloquée, fragmentée et de plus en plus instable et inégalitaire. Notre modèle républicain semble à la dérive.
La France et davantage La Réunion, sont incapables de se projeter réellement. La vision n\'est pas claire ! Pourquoi ? Quels sont les freins ?
Elles vivent en quelque sorte et beaucoup trop dans la mélancolie et la paranoïa. Un modèle à repenser. De facto, elles ne savent plus bien qui elles sont !
« Deviens ce que tu es »
Un rappel à la Mémoire et de nos valeurs profondes doit nous guider pour remettre cette société fragilisée sur ce chemin de la liberté et surtout de l\'épanouissement social en luttant avec conviction contre les inégalités, la pauvreté et cette fracture générationnelle.
Nous vivons bien une crise d’identité qui vient de la difficulté de notre société à affronter sa mémoire et sa vérité marquée par la montée inexorable de la précarité et l\'individualisme.
Aujourd’hui s’entrechoquent les différents pouvoirs politiques, économiques, médiatiques, sociaux et intellectuels.
La France et notre belle île, doivent affronter leurs passés si elles veulent avancer avant que notre modèle explose. C’est la logique de l’action qui doit primer, de même que le courage politique d’entreprendre pour tendre à modifier le cours des choses.
Nous devons nous poser une question essentielle à savoir si la nouvelle génération n’est pas en passe de devenir « une nouvelle clé de lecture des fractures générationnelles centrales de la société française dont l’outre mer est une variante prononcée et spécifique ».
Les clivages liés à l’âge connaissent une progression fulgurante. Il ne faut pas ignorer que les différentes générations connaissent déjà un destin social inégal.
C’est un mal profond qui nous ronge et nous n’avons toujours pas trouvé le remède.
Il est donc urgent de réfléchir ensemble et intelligemment, pour trouver cette clé de régulation, car il existe bien un manque de correspondance entre les valeurs et les idées que reçoit la nouvelle génération : liberté individuelle, réussite professionnelle, valorisation des loisirs etc... et les réalités auxquelles elle est confrontée : centralité du marché, pénurie, ennui, le manque d’emploi etc. (l\'impact des réseaux sociaux). À cela s’ajoutent les difficultés psychosociales : comportement violents, agressivité, incivilité, le mal être, le suicide etc....
La tâche est énorme et ce mal fragilise et fracture notre environnement de vie, déstabilise notre société et la basculera à terme dans un climat d’insécurité de tous les dangers devant l’absence d\'un réel courage politique.
Une seule parade : l’intelligence collective à l’assaut d’une société malade. « garantissons l’avenir de nos enfants ».
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Le Lien social se joue entre le marché du travail et l’école.
Les territoires sont de plus en plus marqués par des fractures sociales et sont voués à l’isolement.
Ils deviennent un terreau propice à cette nouvelle forme de délinquance sociétale d’exclusion que certains ont du mal à regarder en face.
« Beaucoup le dise, une révolution sournoise de classe se joue sur notre territoire et sur le territoire national » comment la juguler ?
Comme l’indiquait avec justesse, il y a plus de 20 ans, Denis SALAS, ancien juge pour enfant :
«Depuis des années émerge une nouvelle délinquance massive, territorialisée liée aux quartiers, de la relégation et chronicisée par le chômage longue durée et autres. Elle se caractérise par des formes de survie, liée à la débrouille individuelle, aux lois du business et finit par créer une manière de vivre ! C’est la nouvelle forme de délinquance, celle qu’on nomme communément délinquance socialisante ». Qu\'avons nous fait depuis, de concret, pour sortir de cela ? Comment se sortir de cette situation avant que le système explose !
Nous cumulons erreurs après erreurs, en mettant en œuvre beaucoup trop de politiques conjoncturelles qui ont apporté que des pansements mais n’ont pas réglé ce mal profond qui asphyxie nos territoires.
A Sainte -Suzanne se joue cette réalité glaçante et aujourd’hui il y a urgence.
Avec elle, d’autres villes présentent les mêmes contagions. Que faire ?
Tout le monde doit assumer cette responsabilité coupable. Notre société réunionnaise continue de créer des situations de précarité, d’abandon, vécues au sein du milieu familial et autres communautés qui tentent de s’organiser, mais nous pêchons dans l’organisation structurelle, l’accompagnement et l’absence de courage politique tournée vers plus de justice sociale. Il nous faut revoir probablement nos fondements culturels et notre modèle de société réunionnaise pour que chaque individu sur ce territoire soit considéré comme une partie prenante à part entière.
Désorientés, nous continuons de créer de véritables carences de génération en génération, processus infernal qu’on ne peut plus contrer !
Par ailleurs, nous n’accablerons pas totalement le dispositif des emplois aidés devenus PEC (parcours emploi compétence) que l’on peut considérer effectivement comme des emplois
« indignes » mais l’espoir c’est qu’avec ce nouveau dispositif il a été intégré le mot « compétence » (formation professionnelle). On ne doit plus s’attaquer à la cause du chômage mais à la situation du chômeur lui même. Apporter une compétence correspondante à chaque situation de travail. Il s’agit là d’une avancée et peut-être un éclairci. Il faudra absolument que le dispositif fonctionne pour augmenter le nombre de ces contrats pour nos communes et collectivités, très insuffisants aujourd’hui.
Il va falloir se mettre au travail et recréer la nouvelle matrice des acteurs politiques et que certains arrêtent de protéger leur pré carré et changent absolument leur système d’exploitation pour l’intérêt général et la cohésion sociale. Terminer les postulats, il faut arrêter de tromper les gens !
Plus de carriériste en politique, personnes honorables certes, mais qui avec le temps et usés par « le système » ont fini par perdre certaines valeurs humanistes et n\'arrivent plus à cerner la vraie réalité dans nos quartiers et territoires dans le besoin. A cela, s\'ajoute ce constat détestable que ces mêmes personnes ne peuvent plus se passer de mauvaises habitudes corporatives qui les enferment et bloquent leurs capacités d\'agir!
J’invite avec humilité les hommes et les femmes à s’engager avec conviction, force et désintéressement, pour sortir La Réunion de ce marasme social et de la pauvreté qui pèsent sur beaucoup trop de nos concitoyens.
La Réunion vous le demande, c’est le souhait d’une population qui doit retrouver sa dignité et sa fierté.
Il est important que tout le monde se retrouve pour recréer de l’intelligence collective. La matrice des acteurs doit se renouveler et porter ce nouveau projet de développement individuel et collectif que La Réunion a tant besoin.
La fragilisation de notre société et cet effritement du vrai Vivre Ensemble nous obligent !
Merci pour elle.
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« L\'inventivité de l\'esprit destructeur est illimité chez certains hommes qui font de la politiquedepuis trop longtemps et qui perdent pied »
Dans le dernier bastion du PCR, Sainte- Suzanne essaye de tenir par vent fort et houles de travers. Le bateau tangue dangereusement, il faut tout faire pour sortir de la tempête et retrouver une mer plus clémente.
Sur le plan politique tous les coups sont permis ! Des pratiques de désinformation de l\'ancien monde sont de nouveau d’actualité à Sainte- Suzanne, pratiques qui nous rappellent une certaine époque heureusement révolue.
La commémoration récente de la chute du mur de Berlin ravive nos mémoires meurtries et nous invite davantage à balayer d\'un revers de main cette époque terrible de notre histoire, comme celle de l\'esclavage, pour continuer à cultiver cette soif de liberté démocratique dans le respect de la personne humaine.
Candidate à cette élection municipale 2020 à Sainte-Suzanne où j\'aspire à porter haut mon programme pour une nouvelle politique pensée et portée par cette population qui a besoin de se réaliser et retrouver sa dignité, je pensais avoir tout vu et ne plus être témoin de ce genre de pratiques exercés par les militants de Monsieur le Maire de Sainte-Suzanne auprès de la population.
Sur le terrain depuis plusieurs semaines, je fais du porte à porte et je rencontre beaucoup de gens, des jeunes, familles, seniors etc...qui sont dans le besoin et qui veulent se sortir de la précarité.
Une politique de proximité et du quotidien est une demande forte pour retrouver tout simplement leur dignité.
Je me donne sans compter pour expliquer, échanger, proposer et dessiner avec eux le nouveau modèle politique, économique, social et environnemental qui permettra à Sainte- Suzanne de sortir de sa léthargie.
Mais aujourd\'hui trop c\'est trop, je ne peux plus accepter des agissements et le colportage de fausses informations sur les intentions de ma candidature.
Comment les militants de Monsieur le Maire, dans une stratégie de déstabilisation et de manipulation, distillent savamment à qui veut l’entendre et à toutes les occasions lors des portes à portes et dans les lieux publics que "Aline Murin Hoarau mène uniquement cette campagne pour occuper le poste de premier adjoint au Maire actuel". Inadmissible et inconcevable.
Cette désinformation notoire n\'est pas digne et impacte personnellement ma personne et la femme politique que je suis qui a compris beaucoup de choses.
Je ne vais pas me laisser dicter ma conduite et je n\'ai aucunement peur.
Je vous le dis Monsieur le Maire, je mène ce combat comme tête de liste, sans étiquette, pour que la population de Sainte- Suzanne retrouve sa dignité et pour occuper ce poste de premier magistrat que vous occupiez depuis trop longtemps.
Sainte-Suzanne doit rattraper ce temps perdu en comblant ce gros problème d\'équité territoriale qui laisse depuis temps d\'années des quartiers en errance économique et sociale.
C’est bien une grande partie de notre jeunesse, nos familles dans le besoins et nos seniors qui payent ce laxiste politique et ce manque de courage et de perspective.
Vous avez un petit problème Monsieur le Maire, si je peux me permettre, avec ces méthodes qui consistent à désinformer la population sur mes convictions profondes d\'occuper le poste de premier magistrat.
Avez vous des craintes monsieur le Maire ?
Moi certainement pas ! Je n\'ai aucune crainte pour demain car j\'ai vécu hier et j’adore ce que je fais aujourd\'hui pour l’intérêt général de cette municipalité et de ces concitoyens qui ont de la ressource et qui ne se laisseront pas tromper par ces manipulations et ce manque de respect.
Oui Monsieur le Maire, je m\'engage complètement pour cette population qui a bien compris ce jeu utilisé depuis tant d\'années. Elle a du caractère aujourd\'hui et on ne la manipule plus comme avant !
Vous n\'avez pas daigné changer de «Système d\'exploitation» lorsqu\'il était encore temps en faisant de la protection de votre "pré carré" et une politique de conjoncture, qui n\'ont pas permis à Sainte- Suzanne de se développer structurellement. Vous cherchez à changer quelques applications mais cela ne fonctionne pas car pour créer de la valeur il fallait changer le système d\'exploitation plus performant et actuel.
Plus de place pour vendre du rêve aujourd\'hui !
Vous avez été dépassé par le temps qui passe et vous savez qu\'il ne se rattrape pas. Vous semblez perdre de la maîtrise comme lors du dernier conseil municipal et maintenant vous envoyez vos militants faire de la désinformation à mon endroit.
Les choses ne fonctionnement plus comme avant Monsieur le Maire.
Méthode de l\'ancien monde et de l\'autre côté de l\'Europe, vous semblez dépasser, user et un peu perdu d\'une certaine manière, après des années au pouvoir qui vous ont fait perdre le sens de la réalité du terrain.
"Un homme d\'une certaine époque, fermez le ban" Désolant !
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