La pression sur le personnel : "flicage", liberté syndicale restreinte, harcèlement, brimades, vexation, humiliation…, est le lot quotidien des travailleurs, que ce soit dans les entreprises privées ou les collectivités publiques. Cette mauvaise habitude reprend de l'ampleur à sept mois des Municipales 2015. Nous avons reçu l'appel d'un candidat du Sud qui nous informait qu'un de ses colistiers, employé dans une collectivité, s'est vu récemment retirer sa voiture et téléphone mobile "parce qu'il n'avait pas adhéré au bon parti".
Dans une commune toujours du Sud, "le maire est en train de réorganiser l'organigramme du personnel. "Ceux qui sont pour lui, bénéficient de promotion et d'un emploi du temps plutôt avantageux, alors que d'autres sont changés de poste ou sont mis au placard". A l'Ouest, "rien de nouveau", selon des syndicalistes. "La liberté syndicale est restreinte. Les représentants des salariés sont surveillés dans leurs moindres fait et gestes. Le "flicage" des employés prend des proportions inattendues. Les "macros" les plus zélés n'hésitent à suivre leurs cibles jusque dans les toilettes".
S'il est évident que le contexte pré-électoral ne va améliorer la situation de ces travailleurs, les souffre-douleurs, les bouc-émissaires et les "têtes à claques" n'ont pas fini de "déguster". Et, lorsqu'on sait que parmi leurs "bourreaux", beaucoup attendent qu'ils craquent et démissionnent pour prendre leur place, il est évident que cette longue période électorale (jusqu'en mars 2015) fera un grand nombre de victimes. Car, un constat alarmant s'impose aujourd'hui : les employés des collectivités disposent de peu de moyens pour se défendre.
D'une part, certains représentants syndicaux de personnel accèdent à ce poste dans le seul objectif d'avoir des promotions. D'autre part, la médecine du travail est réduit au silence, car tout est fait pour ne pas mettre le maire dans l'embarras. Remarquez, c'est facile de faire taire ces médecins, car ce sont les municipalités qui payent leurs honoraires. Ce qui explique qu'aucun rapport n'est sorti à ce jour, sur la souffrance des employés des collectivités.
Ce qui est surprenant, rares sont les personnes qui dénoncent la non-application de la loi du 12 mars concernant le plan de titularisation des employés communaux. Heureusement qu'il y a de temps en temps des élections municipales...
Dans une commune toujours du Sud, "le maire est en train de réorganiser l'organigramme du personnel. "Ceux qui sont pour lui, bénéficient de promotion et d'un emploi du temps plutôt avantageux, alors que d'autres sont changés de poste ou sont mis au placard". A l'Ouest, "rien de nouveau", selon des syndicalistes. "La liberté syndicale est restreinte. Les représentants des salariés sont surveillés dans leurs moindres fait et gestes. Le "flicage" des employés prend des proportions inattendues. Les "macros" les plus zélés n'hésitent à suivre leurs cibles jusque dans les toilettes".
S'il est évident que le contexte pré-électoral ne va améliorer la situation de ces travailleurs, les souffre-douleurs, les bouc-émissaires et les "têtes à claques" n'ont pas fini de "déguster". Et, lorsqu'on sait que parmi leurs "bourreaux", beaucoup attendent qu'ils craquent et démissionnent pour prendre leur place, il est évident que cette longue période électorale (jusqu'en mars 2015) fera un grand nombre de victimes. Car, un constat alarmant s'impose aujourd'hui : les employés des collectivités disposent de peu de moyens pour se défendre.
D'une part, certains représentants syndicaux de personnel accèdent à ce poste dans le seul objectif d'avoir des promotions. D'autre part, la médecine du travail est réduit au silence, car tout est fait pour ne pas mettre le maire dans l'embarras. Remarquez, c'est facile de faire taire ces médecins, car ce sont les municipalités qui payent leurs honoraires. Ce qui explique qu'aucun rapport n'est sorti à ce jour, sur la souffrance des employés des collectivités.
Ce qui est surprenant, rares sont les personnes qui dénoncent la non-application de la loi du 12 mars concernant le plan de titularisation des employés communaux. Heureusement qu'il y a de temps en temps des élections municipales...