Pour Harold et ses amis, tous enfants du pays, c’est l’événement de l’année. Ils sont partout : sur les stands, sur la ligne de départ, ou au cœur des festivités.
« Chez nous, la Fête de l’Ail, c’est notre fierté », confie Harold, le sourire large après la course.
Une course entre mer et montagne
Les festivités débutent dès l’aube, avec la course de l’Ail. Le départ est donné au bord de la mer, sur le site majestueux de Grande Anse.
Face à l’océan, les coureurs s’élancent dans une ambiance électrique, avant d’attaquer une montée spectaculaire à travers les sentiers et les quartiers de Petite-Île.
Après plusieurs kilomètres d’effort, l’arrivée se fait au Domaine du Relais, tout en haut de la commune. Là, entre ciel et terre, la récompense est belle : un panorama incroyable, des applaudissements, et une atmosphère de fête déjà bien lancée.
Un village en fête
C’est au Domaine du Relais que bat le cœur de la fête.
Les manèges tournent, la musique résonne, les marmays rient aux éclats.
Autour de la fête foraine, les producteurs d’ail, d’oignons, de patates, de carottes et de mille autres trésors du sol réunionnais présentent leurs récoltes. Les étals colorés embaument les allées, les conversations se mêlent aux notes de séga et de maloya.
« Quand ou marche là-dans, ou sent la fierté du pays ! » s’exclame Cassandra, une amie d’Harold, une botte d’ail à la main.
Petite-Île d’abord
À la Fête de l’Ail, tout le monde se retrouve : agriculteurs, familles, sportifs, artisans, et curieux venus d’un peu partout qui se sont un peu perdus cette année.
Mais pour Harold et ses amis, une chose ne change jamais : « C’est Petite-Île d’abord ! »
Ils vivent, ils courent, ils rient au rythme de leur commune. Et dans leurs yeux, on voit briller ce mélange unique de fierté, d’attachement et de joie simple qui fait tout le charme de cette fête.
Entre mer et montagne, entre effort et terroir, la Fête de l’Ail de Petite-Île continue d’unir les cœurs et de faire rayonner l’âme du Sud sauvage.
« Chez nous, la Fête de l’Ail, c’est notre fierté », confie Harold, le sourire large après la course.
Une course entre mer et montagne
Les festivités débutent dès l’aube, avec la course de l’Ail. Le départ est donné au bord de la mer, sur le site majestueux de Grande Anse.
Face à l’océan, les coureurs s’élancent dans une ambiance électrique, avant d’attaquer une montée spectaculaire à travers les sentiers et les quartiers de Petite-Île.
Après plusieurs kilomètres d’effort, l’arrivée se fait au Domaine du Relais, tout en haut de la commune. Là, entre ciel et terre, la récompense est belle : un panorama incroyable, des applaudissements, et une atmosphère de fête déjà bien lancée.
Un village en fête
C’est au Domaine du Relais que bat le cœur de la fête.
Les manèges tournent, la musique résonne, les marmays rient aux éclats.
Autour de la fête foraine, les producteurs d’ail, d’oignons, de patates, de carottes et de mille autres trésors du sol réunionnais présentent leurs récoltes. Les étals colorés embaument les allées, les conversations se mêlent aux notes de séga et de maloya.
« Quand ou marche là-dans, ou sent la fierté du pays ! » s’exclame Cassandra, une amie d’Harold, une botte d’ail à la main.
Petite-Île d’abord
À la Fête de l’Ail, tout le monde se retrouve : agriculteurs, familles, sportifs, artisans, et curieux venus d’un peu partout qui se sont un peu perdus cette année.
Mais pour Harold et ses amis, une chose ne change jamais : « C’est Petite-Île d’abord ! »
Ils vivent, ils courent, ils rient au rythme de leur commune. Et dans leurs yeux, on voit briller ce mélange unique de fierté, d’attachement et de joie simple qui fait tout le charme de cette fête.
Entre mer et montagne, entre effort et terroir, la Fête de l’Ail de Petite-Île continue d’unir les cœurs et de faire rayonner l’âme du Sud sauvage.
Partager
