« Cette fédération des pêcheurs artisans va vous permettre, d’abord de vous connaître nous mêmes, de vous organiser pour mieux défendre vos intérêts et de coopérer pour agir efficacement » déclare Wallace Cosgrow, ministre de la pêche dans son discours de clôture.
Le programme COI-SmartFish a apporté son appui à ce mouvement car « la future stratégie des pêches et de l’aquaculture de la COI pour la période 2015-2025 fait davantage ressortir le rôle important joué par la petite pêche dans la région et la nécessité de bien prendre en compte ses spécificités et ses besoins pour un développement durable et responsable dans nos pays », a rappelé le chef du projet, Dominique Greboval.
Les échanges entamés début 2013 entre le projet SmartFish de la COI et les groupements de professionnels de la pêche artisanale de la région ont fait ressortir la volonté partagée de création d’une «Communauté des pêcheurs de l’océan Indien». Après s’être rencontrés une première fois à La Réunion, en mars 2014, avec l’appui du CRPMEM, pour poser les bases d’une nouvelle coopération, les pêcheurs artisans de l’océan Indien ont initié la structuration d’un groupement régional représentatif de leurs intérêts.
Cette étape constitutive se termine aujourd’hui, avec le lancement officiel de la nouvelle Fédération des Pêcheurs Artisans de l’océan Indien (FPAOI). Son siège sera à La Réunion et saprésidence assurée par les Seychelles. La fédération est parainnée par le Secrétaire général de la Confédération africaine de la pêche artisanale (CAOPA). Le Caribbean Network of Fisherfolk Organizations (CNFO) était également présent.
La structuration de ce nouveau mouvement continuera dans les prochains mois, afin qu’il soit officiellement reconnu par les instances auprès desquelles il mènera son action de plaidoyer, en particulier les administrations des pêches dans les Etats membres de la COI et les organisations régionales actives dans le secteur des pêches. Elle seconsacrera également à son rôle de plateforme pour favoriser les échanges de bonnes pratiques et la coopération technique entre professionnels.
Dans nos îles de l’océan Indien, la pêche est l'un des cinq plus grands contributeurs au PIB. Elle représente près de 130.000 emplois directs, essentiellement dans le secteur artisanal qui recèle un considérable potentiel de développement socio-économique. De plus, le rôle des pêcheurs artisans dans la lutte contre la pauvreté et la sécurité alimentaire a fait l’objet de directives internationales adoptées l’an dernier par l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) qui participe à la mise en œuvre du programme COI-SmartFish.
Le programme COI-SmartFish a apporté son appui à ce mouvement car « la future stratégie des pêches et de l’aquaculture de la COI pour la période 2015-2025 fait davantage ressortir le rôle important joué par la petite pêche dans la région et la nécessité de bien prendre en compte ses spécificités et ses besoins pour un développement durable et responsable dans nos pays », a rappelé le chef du projet, Dominique Greboval.
Les échanges entamés début 2013 entre le projet SmartFish de la COI et les groupements de professionnels de la pêche artisanale de la région ont fait ressortir la volonté partagée de création d’une «Communauté des pêcheurs de l’océan Indien». Après s’être rencontrés une première fois à La Réunion, en mars 2014, avec l’appui du CRPMEM, pour poser les bases d’une nouvelle coopération, les pêcheurs artisans de l’océan Indien ont initié la structuration d’un groupement régional représentatif de leurs intérêts.
Cette étape constitutive se termine aujourd’hui, avec le lancement officiel de la nouvelle Fédération des Pêcheurs Artisans de l’océan Indien (FPAOI). Son siège sera à La Réunion et saprésidence assurée par les Seychelles. La fédération est parainnée par le Secrétaire général de la Confédération africaine de la pêche artisanale (CAOPA). Le Caribbean Network of Fisherfolk Organizations (CNFO) était également présent.
La structuration de ce nouveau mouvement continuera dans les prochains mois, afin qu’il soit officiellement reconnu par les instances auprès desquelles il mènera son action de plaidoyer, en particulier les administrations des pêches dans les Etats membres de la COI et les organisations régionales actives dans le secteur des pêches. Elle seconsacrera également à son rôle de plateforme pour favoriser les échanges de bonnes pratiques et la coopération technique entre professionnels.
Dans nos îles de l’océan Indien, la pêche est l'un des cinq plus grands contributeurs au PIB. Elle représente près de 130.000 emplois directs, essentiellement dans le secteur artisanal qui recèle un considérable potentiel de développement socio-économique. De plus, le rôle des pêcheurs artisans dans la lutte contre la pauvreté et la sécurité alimentaire a fait l’objet de directives internationales adoptées l’an dernier par l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) qui participe à la mise en œuvre du programme COI-SmartFish.