
L'on peut discuter des idées et des convictions de chacun, mais ces discussions doivent toujours s'inscrire dans une logique démocratique et surtout sans recours à la violence illégitime. Un responsable d'un parti de gauche, ancien socialiste, a crû bon de préciser que si, à l'occasion de l'élection présidentielle, Marine le Pen était un jour élue, il ne respecterait pas le verdict des urnes. C'est dire quel est, pour certains responsables politiques, le respect qu'ils ont pour notre démocratie.
Le courrier d'un certain Didier Bourse, paru dans vos colonnes en date du samedi 8 juin 2013, portant sur la mort de Clément Méric, m'a paru assez irraisonné et irresponsable, pour ne pas dire violent. Son auteur, un homme évidemment et éminemment militant, qui fustige la violence des groupes extrémistes de droite (qui ne serait pas d'accord ?...) et dénonce parallèlement le Front national de Marine Le Pen. Il ne dit cependant absolument rien sur la violence dont sont coutumiers également, les groupuscules de gauche.
On ne peut dénoncer objectivement et raisonnablement la violence d'un groupe, sans dénoncer celle de l'autre. Il apparaît donc important de savoir, pour une meilleure analyse, de notre « débat » que l'auteur de ce courrier n'est autre que le président de l'association locale "Attac". On ne peut ignorer non plus, car ce n'est un secret pour personne, que beaucoup de ces militants sont de tendance marxistes, voire même, pour une bonne part d'entre eux, clairement et directement libertaires. En somme, des gens qui haïssent l'Etat et ses institutions et encore plus les notions de « nation », ou pire de « patrie », clairement définies par notre République.
Mais revenons-en à l'ambiance du moment et la tentation de la récupération politique par les partis politiques et de M. Didier Bourse en particulier. Je crois important de rappeler à l'auteur, que tout n'est de la faute de l'ancien gouvernement, comme il tente de le faire croire. En dehors du fait, qu'on assiste depuis quelques mois à une surenchère politique et à la division des citoyens français (et ce n'est pas un gros mot...) sur des questions sociétales importantes, les Français dans leur ensemble, ne sont pas idiots ou crédules parce qu'ils n'adhèrent pas (tout simplement) aux idéaux politiques et économiques de M. Didier Bourse, forcément de gauche.
De même, vouloir contingenter l'électorat du Front national comme des « déshérités qui confondent social et national-socialisme » est indigne de sa part, mais démontre son profond mépris de la Démocratie. Je suis d'autant plus à l'aise pour en parler que je ne suis, contrairement à lui, « encarté » nulle part. Ainsi, lorsque l'on affirme avoir la droite la plus bête du monde et la gauche la plus archaïque, l'on ne désigne pas pour autant les sympathisants, mais plutôt les responsables politiques.
A lire la prose de M. Bourse, pleine de raccourcis, amputant l'objectivité et le nécessaire recul concernant ce regrettable et abominable fait (et nous sommes tous d'accord sur ce point, je le répète...), ce dernier nous donne le bâton pour le battre. Il considère, à le lire, que les manifestations « à répétitions » contre le mariage pour tous et l'action de Nicolas Sarkozy, ont été « des éléments déclencheurs de violence au point de libérer le geste ». Les manifestations ne seraient donc légitimes qu'organisées par sa gauche et pour des motifs qui lui siéraient ? C'est faire la plus parfaite démonstration d'une mauvaise foi et une acception bien particulière, car bien orientée de la Démocratie.
Il précise ensuite que la victime Clément Méric est morte, alors que « son combat était louable et juste ». C'est aller vite en fort en besogne. Un homme est mort, il s'agirait de respecter au moins sa disparition dans la transparence et l'honnêteté intellectuelle. Il ne sert à rien de chercher à tout prix des martyrs pour justifier ses opinions politiques. A la belle histoire éternelle que leur éducation populaire. Certains ont essayé en Chine, ils ont appelé cela « la révolution culturelle »...Quant à leur désir d'éradiquer la "haine", nous les invitons à ne pas l'instiller eux-mêmes.
Il est pathétique de constater que ceux-la même qui prétendent lutter contre la "haine", que certains autres partis politiques (jamais le leur..) et de droite généralement banalise, sont souvent ceux qui la déclenche et l'organise. Quant à sa diatribe sur la propagande libérale omniprésente sur les grands médias, qu'il révise un peu ses classiques et cesse de nous jouer ici les victimes, c'est indécent. Les médias en France, personne ne l'ignore, sont à 80% favorables à la gauche. Il n'est besoin que de constater les programmes des chaînes dites, thématiques, littéraires, et d'informations, qui sont pour la plupart toutes acquises à leur cause, la plupart du temps.
Enfin et pour en terminer avec ce militant particulier, il serait plus convenable et judicieux, avant d'écrire des énormités, en prenant prétexte de faits divers, souvent imprévisibles mais non moins douloureux, d'avoir la sagesse d'attendre la fin d'une enquête, pour comprendre une situation telle qu'elle s'est réellement déroulée. Ne pas ajouter de la haine, alors que c'est de la compassion et du partage dont on a besoin, serait un préalable.
En effet, suite à son "billet doux" paru ce samedi 8 février, des faits nouveaux dans l'enquête sont apparus. Des faits qui ne vont apparemment plus dans le sens donné à cette triste affaire par nos édiles de gauche et par ce monsieur. Et oui, cher Monsieur Bourse, ces « Skinheads », selon un témoin oculaire (témoin principal), ne cherchaient pas la bagarre ce fameux mercredi soir, rue Caumartin, à Paris.
Ce même témoin met même en cause, le groupe auquel appartenait la victime, dont l'un des membres aurait provoqué et incité ses dalons à se battre, alors que ces « skinheads » cherchaient à éviter l'affrontement et à partir discrètement....Nous restons donc en attente des autres éléments de l'enquête pour faire le point sur cette affaire de manière objective et sans parti pris. La mort de ce très jeune homme n'est due qu'à la bêtise de ceux qui les utilisent et qui les manipulent à des fins politiques. Ni plus, ni moins.
Peut être le souvenir du collectif "Domoun" créé en février 2012 par le même M. Bourse, pour empêcher la venue d'une présidentiable à la Réunion lui est-il monté à la tête. Mais avouez qu'à trop vouloir jouer les apprentis-sorcier, en militant et en complotant autant contre la République et ceux qui la respecte, l'on peut parfois aussi se brûler...
A bon entendeur salut !...
Le courrier d'un certain Didier Bourse, paru dans vos colonnes en date du samedi 8 juin 2013, portant sur la mort de Clément Méric, m'a paru assez irraisonné et irresponsable, pour ne pas dire violent. Son auteur, un homme évidemment et éminemment militant, qui fustige la violence des groupes extrémistes de droite (qui ne serait pas d'accord ?...) et dénonce parallèlement le Front national de Marine Le Pen. Il ne dit cependant absolument rien sur la violence dont sont coutumiers également, les groupuscules de gauche.
On ne peut dénoncer objectivement et raisonnablement la violence d'un groupe, sans dénoncer celle de l'autre. Il apparaît donc important de savoir, pour une meilleure analyse, de notre « débat » que l'auteur de ce courrier n'est autre que le président de l'association locale "Attac". On ne peut ignorer non plus, car ce n'est un secret pour personne, que beaucoup de ces militants sont de tendance marxistes, voire même, pour une bonne part d'entre eux, clairement et directement libertaires. En somme, des gens qui haïssent l'Etat et ses institutions et encore plus les notions de « nation », ou pire de « patrie », clairement définies par notre République.
Mais revenons-en à l'ambiance du moment et la tentation de la récupération politique par les partis politiques et de M. Didier Bourse en particulier. Je crois important de rappeler à l'auteur, que tout n'est de la faute de l'ancien gouvernement, comme il tente de le faire croire. En dehors du fait, qu'on assiste depuis quelques mois à une surenchère politique et à la division des citoyens français (et ce n'est pas un gros mot...) sur des questions sociétales importantes, les Français dans leur ensemble, ne sont pas idiots ou crédules parce qu'ils n'adhèrent pas (tout simplement) aux idéaux politiques et économiques de M. Didier Bourse, forcément de gauche.
De même, vouloir contingenter l'électorat du Front national comme des « déshérités qui confondent social et national-socialisme » est indigne de sa part, mais démontre son profond mépris de la Démocratie. Je suis d'autant plus à l'aise pour en parler que je ne suis, contrairement à lui, « encarté » nulle part. Ainsi, lorsque l'on affirme avoir la droite la plus bête du monde et la gauche la plus archaïque, l'on ne désigne pas pour autant les sympathisants, mais plutôt les responsables politiques.
A lire la prose de M. Bourse, pleine de raccourcis, amputant l'objectivité et le nécessaire recul concernant ce regrettable et abominable fait (et nous sommes tous d'accord sur ce point, je le répète...), ce dernier nous donne le bâton pour le battre. Il considère, à le lire, que les manifestations « à répétitions » contre le mariage pour tous et l'action de Nicolas Sarkozy, ont été « des éléments déclencheurs de violence au point de libérer le geste ». Les manifestations ne seraient donc légitimes qu'organisées par sa gauche et pour des motifs qui lui siéraient ? C'est faire la plus parfaite démonstration d'une mauvaise foi et une acception bien particulière, car bien orientée de la Démocratie.
Il précise ensuite que la victime Clément Méric est morte, alors que « son combat était louable et juste ». C'est aller vite en fort en besogne. Un homme est mort, il s'agirait de respecter au moins sa disparition dans la transparence et l'honnêteté intellectuelle. Il ne sert à rien de chercher à tout prix des martyrs pour justifier ses opinions politiques. A la belle histoire éternelle que leur éducation populaire. Certains ont essayé en Chine, ils ont appelé cela « la révolution culturelle »...Quant à leur désir d'éradiquer la "haine", nous les invitons à ne pas l'instiller eux-mêmes.
Il est pathétique de constater que ceux-la même qui prétendent lutter contre la "haine", que certains autres partis politiques (jamais le leur..) et de droite généralement banalise, sont souvent ceux qui la déclenche et l'organise. Quant à sa diatribe sur la propagande libérale omniprésente sur les grands médias, qu'il révise un peu ses classiques et cesse de nous jouer ici les victimes, c'est indécent. Les médias en France, personne ne l'ignore, sont à 80% favorables à la gauche. Il n'est besoin que de constater les programmes des chaînes dites, thématiques, littéraires, et d'informations, qui sont pour la plupart toutes acquises à leur cause, la plupart du temps.
Enfin et pour en terminer avec ce militant particulier, il serait plus convenable et judicieux, avant d'écrire des énormités, en prenant prétexte de faits divers, souvent imprévisibles mais non moins douloureux, d'avoir la sagesse d'attendre la fin d'une enquête, pour comprendre une situation telle qu'elle s'est réellement déroulée. Ne pas ajouter de la haine, alors que c'est de la compassion et du partage dont on a besoin, serait un préalable.
En effet, suite à son "billet doux" paru ce samedi 8 février, des faits nouveaux dans l'enquête sont apparus. Des faits qui ne vont apparemment plus dans le sens donné à cette triste affaire par nos édiles de gauche et par ce monsieur. Et oui, cher Monsieur Bourse, ces « Skinheads », selon un témoin oculaire (témoin principal), ne cherchaient pas la bagarre ce fameux mercredi soir, rue Caumartin, à Paris.
Ce même témoin met même en cause, le groupe auquel appartenait la victime, dont l'un des membres aurait provoqué et incité ses dalons à se battre, alors que ces « skinheads » cherchaient à éviter l'affrontement et à partir discrètement....Nous restons donc en attente des autres éléments de l'enquête pour faire le point sur cette affaire de manière objective et sans parti pris. La mort de ce très jeune homme n'est due qu'à la bêtise de ceux qui les utilisent et qui les manipulent à des fins politiques. Ni plus, ni moins.
Peut être le souvenir du collectif "Domoun" créé en février 2012 par le même M. Bourse, pour empêcher la venue d'une présidentiable à la Réunion lui est-il monté à la tête. Mais avouez qu'à trop vouloir jouer les apprentis-sorcier, en militant et en complotant autant contre la République et ceux qui la respecte, l'on peut parfois aussi se brûler...
A bon entendeur salut !...